How do you dare ?! [ft Lord Loban V. Renfield]



 
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How do you dare ?! [ft Lord Loban V. Renfield]

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MessageSujet: How do you dare ?! [ft Lord Loban V. Renfield] How do you dare ?! [ft Lord Loban V. Renfield] Icon_minitimeDim 13 Nov - 4:25



How do you dare ?!

« I'm picky and all the girls I drive them crazy »

Théâtre Alhambra, The Strand, 1890.

Une jeune fille à son bras, entrain d'attendre à l'entrée du théâtre, c'était comme ça que Griffin aimait passer ses vendredis soir; en bonne compagnie à profiter de l'éloquence et de la grâce de personnes qui devaient apprécier l'art de jouer la comédie, de prendre le rôle d'un autre et de duper autrui presque autant que lui qui le faisait quotidiennement.
Certes, il ne se cachait ni d'être un manipulateur, ni d'aimer sa personne plus que quiconque; mais il feignait très bien de s'intéresser aux autres et à leurs préoccupations futiles et ennuyeuses, ce qui lui avait notamment permis d'être accompagné d'une ravissante Française ce soir là. Ah les Frenchies, comment ne pas les aimer. Avec leurs fausses manières empruntées à la noblesse et leur inimitable décadence...
Cette dernière avait d'ailleurs ce regard emplis de malice et de sous-entendus si caractéristique qui avait mené le jeune entrepreneur à s'intéresser à une soi-disant grande dame comme elle; car comme chacun le sait on ne baratine pas un baratineur, et même si cette demoiselle était une riche bourgeoise à présent, elle n'était certainement pas de haute naissance et avait du gagner sa fortune en se faisait aimer par un homme haut placé.

Après quelques minutes d'attentes qui lui semblèrent durer des heures puisqu'il n'avait pas pu en placer une, la jolie blonde tentant de donner l'impression qu'elle possédait une vie exaltante; ils finirent par entrer dans la grande salle où se tenait la représentation.
-Ma chère Agatha, si vous voulez bien prendre la peine de lier vos lèvres quelques instants et de lever les yeux, vous pourrez ainsi profiter de la vue, dit il en faisant un geste de la main vers le plafond, même si vos cabarets sont innovants et magnifiques j'en convient, je suis certain que vous Français, ne pouvez rester insensibles au charme de cette oeuvre architecturale.
Pour une fois, l'entrepreneur n'exagérait en rien. Même si il connaissait les moindres recoins du théâtre par coeur, il restait toujours émerveillé devant la beauté et la complexité de son plafond.

Il fut soudain tiré de sa contemplation par un grondement de rage, à peine étouffé par la cohue environnante.
-Griffin Lloyd, espèce d'immonde pervers !
Une brune aux formes généreuses, lourdement maquillée et vêtue d'une robe presque transparente, visiblement pour jouer une fille de joie dans la pièce à venir, était entrain de s'avancer vers lui sans s'inquiéter de bousculer des gens au passage.
-Miss Peterson, je vous croyais en route pour l'Italie...
Il n'eu pas réellement le temps de finir sa phrase que déjà il voyait la petite main de la jeune femme se lever. Il mit donc son bras en travers de sa route, ce qui la fit légèrement reculer, laissant donc sa paume s'abattre de plein fouet sur la joue d'un autre dandy passant à ce moment là.
L'expression de l'actrice passa en un éclair de la fureur à la surprise.
-Oh mon dieu, je suis navrée monsieur, je ne pensais pas...
Elle ne savait tout bonnement pas quoi dire et n'ajouta donc rien de plus, se mordillant la lèvre tout en jetant un œil à la marque qu'elle avait laissée au Lord qu'elle venait de gifler par inadvertance.  
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Emploi : Home Secretary.
Informations : Comte de Warwick. • A été adopté à l'âge de sept ans. • A hérité d'une fortune incommensurable à la mort de son père adoptif, mais aussi des titres honorifiques. • Possède une grande force physique, ayant subi un entraînement militaire intensif pendant plusieurs années. • A passé plusieurs années en Inde, Chine et Japon. • Connait quelques arts martiaux. • Est connu pour ses fêtes mondaines où il n'apparaît jamais, se tenant à l'écart. • A un comportement et un caractère assez puéril. • Fait parfois preuve d'une grande naïveté. • Se met rarement en colère. • Passe certains de ses soirs dans Whitechapel, au sein de la Tribu de Fergus Lynch. • Est considéré comme un excentrique de par ses idées. • Son prénom vient d'un prénom juif mal orthographié. • A une petite cicatrice sous l'œil gauche et ailleurs sur le corps. • Origine sino-écossaises.
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MessageSujet: Re: How do you dare ?! [ft Lord Loban V. Renfield] How do you dare ?! [ft Lord Loban V. Renfield] Icon_minitimeLun 21 Nov - 21:56



How Do You Dare?!

« So how dare you try and steal my flame? »

Théâtre Alhambra, The Strand, 1890.

Il n’était pas rare de croiser le Lord Renfield à l’Alhambra. C’était un lieu de raffinement et d’arts et quiconque le connaissait un minimum n’ignorait qu’il portait une affection particulière à la diversité culturelle d’un peuple. Un jour viendrait où il irait explorer les terres sauvages de l’Afrique ou méconnues de l’Asie pour apprendre les différentes mœurs de ces peuples. C’était un grand curieux, le Lord Renfield. Et malgré ce qu’il pouvait montrer, c’était un homme instruit qui passait beaucoup de temps dans sa bibliothèque quand il n’était pas en train d’user des poings dans les bas-fonds de Whitechapel pour quelques pence mais surtout son amusement personnel. Là était tout le paradoxe chez Mr Renfield. Homme de lettres le jour et superviseur politique de la sécurité intérieur du pays, vague vaurien s’adonnant à des combats illégaux la nuit. Il avait de quoi se faire renvoyer du gouvernement britannique, juste pour le fait de participer à ses activités illicites mais personne ne disait rien étrangement. Alors il continuait. Pourquoi pas après tout ? Mais ce soir-là, il était d’humeur à être quelqu’un de distingué, pour ne pas dire civilisé. Il ne prenait pas les brigands de Whitechapel pour des sauvages, mais il devait avouer qu’il y avait une nette différence de culture, justement, entre leurs classes sociales.

C’est donc pour cela qu’il se rendit au théâtre ce soir-là. Revenir parmi la légalité, peut-être. Mais aussi, notamment, parce que la pièce qui allait être représentée avait attiré son attention. Il paya donc sa place, comme tout le monde, bien qu’il en ait eu une dans les loges, tant qu’à faire. On y voyait mieux et à l’abri de tout bruit parasite. Il rentra dans la salle principale, où le public traînait dans les allées, avant d’aller rejoindre leurs places. Le spectacle commencerait dans une bonne demi-heure, et la plupart des personnes profitaient de la salle et des modestes rafraichissements que l’établissement proposait durant l’attente. Loban se frayait donc un chemin parmi la foule, entre les bourgeois qui criaient leur petite fortune à qui voulait l’entendre et leurs femmes qui se faisaient de l’air à qui mieux mieux avec des éventails en dentelle. Des éclats de rire, de querelles politiques et économiques, voici ce qui tombait dans les oreilles du jeune Lord, venu seul, comme d’habitude. Il avançait d’un pas vif, esquivant les spectateurs qui lui coupaient brusquement la route avant de se recevoir une gifle sur la joue.

Par réflexe, il arrêta sa marche, posa une main sur l’endroit de son visage qui avait été frappé et se redressa. Il regarda en direction de son potentiel agresseur et vit une femme, apparemment déguisée qui le dévisageait avec un air déconfit et rouge de honte. En face d’elle se tenait un homme blond richement vêtu de bleu, une femme à son bras et tous deux le regardait avec surprise. Loban ne sut trop comment réagir dans un premier temps, essayant de comprendre ce qu’il venait de se passer. Sur le pourquoi on l’avait frappé. À en voir les indices laissés par l’expression des visages et des positions, c’est la femme déguisée, une actrice très probablement, qui l’avait giflé. Mais, à en croire son air paniqué, ce n’était que purement accidentel. Il sourit alors et prit la main de l’actrice avant de lui faire un baisemain galant avant de se redresser doucement. Il n’allait pas en vouloir à une pauvre femme qui ne faisait sûrement qu’essayer de se défendre. Il la regarda dans les yeux, l’air presque charmeur malgré la trace de main dessinée sur sa joue et se tourna vers l’interlocuteur masculin, son sourire ne disparaissant pas.

- Ce n’est rien, Milady. Mais ce gentilhomme vous importune-t-il de sa présence pour que vous ayez eu recours à la violence ?

Sans s’en rendre compte, il avait fait rimer sa phrase. Quoi de mieux pour se donner de la prestance, quitte à passer pour un beau parleur (ce qu’il était un peu après tout) ? Son regard ne se détourna pas des yeux de l’homme en face à qui il tendit une main courtoise néanmoins.

- Je suis le Loban Renfield. Puis-je avoir le nom du malotru qui dérange une actrice avant sa représentation ?

Son sourire n’avait pas bougé d’un pouce. Peut-être était-ce une démonstration de toute l’arrogance et de la confiance qu’il avait en lui ou juste un réflexe instinctif pour essayer de dominer implicitement son interlocuteur. Loban affectionnait voler à la rescousse des opprimés. Et plus précisément, des opprimées.
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MessageSujet: Re: How do you dare ?! [ft Lord Loban V. Renfield] How do you dare ?! [ft Lord Loban V. Renfield] Icon_minitimeMar 22 Nov - 0:15



How do you dare ?!

« If it feels good, tastes good, it must be mine ! »

Théâtre Alhambra, The Strand, 1890.

Le jeune bourgeois se sentait profondément vexé. Pervers et malotru... On pouvait le nommer de bien des manières, mais certainement pas de la sorte, car il accordait une importance toute particulière à la façon dont il traitait les dames; et au grand jamais il ne se serait permit d'atteindre à l'une d'entre elle, de quelque manière que ce soit.
-Je ne vous permet pas Monsieur, dit-il tout en serrant tout de même la main du Lord en retour. Je me nomme Griffin Lloyd, et cela fait des semaines que je n'ai plus revu cette demoiselle. Les premiers mots auxquelles j'ai eu droit ce soir de sa part sont des insultes, qui s’avèrent d'ailleurs fausses...
Après avoir lâché la main de son interlocuteur, il planta son regard froid dans celui de l'actrice, restant néanmoins extrêmement calme. Certes, elle l'avait offenser et tenter de le gifler, mais elle restait une jeune femme, et une jeune femme charmante qui plus est.
-Miss je crains que vous ne fassiez un scandale d'un simple malentendu.

Il l'avait courtisée lors d'une de ces sorties nocturnes en solitaire qu'il aimait tant, de celles où il mettait ses atouts ainsi que son jeu de séduction à l'épreuve. Il l'avait remarquée lors de sa dernière représentation en tant qu'Antigone, et avait décidé qu'elle serait sa proie de la soirée. La complimenter sur son jeu d'actrice et quelques verres de porto avait suffit à ce qu'elle accepte de rentrer avec lui et lui propose de lui offrir plus. Evidemment, le dandy n'avait pas décliné, sans préciser par ailleurs qu'il était marié et que le lendemain au petit matin il serait déjà parti travailler. Si bien qu'elle avait été réveillée par une domestique qui lui avait fait comprendre qu'elle devait déjeuner, s'être changée et quitter la demeure avant que Mme Lloyd ne se lève à son tour.
En apprenant cela elle était devenue rouge de colère, mais avait finit par se contenter du repas ainsi que de la magnifique robe offerte, même si elle s'était sentie quelque peu blessée par cette forme de paiement.

Griffin de son côté n'avait aucun scrupule. De son point de vue, il ne lui avait pas laissé de doutes sur le fait que ce serait sans lendemain. Pourquoi les femmes s'accrochaient-elles tant à cette envie d'être privilégiée !? C'était l'une des raisons qui faisait son attirance pour la gente masculine. Comme la chose était risquée et mal vue par la société, la plupart ne se faisaient pas trop d'idées et se contentaient donc de relations claires et concises, qui ne servaient qu'à assouvir leurs désirs charnelles. Les discussions sur l'oreiller n'étant qu'un plus que le tombeur aimait s’octroyer.

En parlant de ça l'aristocrate avait quelque chose qui lui plaisait. Peut-être était-ce son sourire presque moqueur, ou encore son regard effronté, allez savoir. Dans tous les cas il le détaillait allègrement, se montrant même plus intéressé par son vis à vis masculin que par la ravissante française à son bras. Cette dernière sembla d'ailleurs le remarquer et lança un regard de jalousie, d'abord à l'actrice, puis à son sauveur.
-Puis-je savoir qui sont ces personnes ? Bougonna-t-elle, ses mots se tintant de cet adorable accent que notre homme trouvait si plaisant.
Elle n'avait visiblement pas compris l’entièreté de ce qui venait de ce passer, le tout accentuer par son manque de vocabulaire en anglais.
-Je vais vous le dire moi Madame, répondit la petite blonde en croisant les bras sur sa forte poitrine. Cet homme vous considère simplement comme un jouet, il se joue de vous, et il est marié qui plus est !
-Calmez vous Milady, nous venons simplement voir un pièce de théâtre, comme deux personnes civilisés...
Il avait dit cela d'un air blasé, comme si ces accusations étaient routinières et en devenait de ce fait lassantes.
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MessageSujet: Re: How do you dare ?! [ft Lord Loban V. Renfield] How do you dare ?! [ft Lord Loban V. Renfield] Icon_minitimeLun 16 Jan - 9:51



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« So how dare you try and steal my flame? »

Théâtre Alhambra, The Strand, 1890.

Loban regarda l’homme et ses compagnes sans plus s’en mêler. Cela ne le fit pas partir pour autant. Il était toujours friand de ce genre de petites distractions avant une pièce de théâtre. Il lui serra la main avec un grand sourire, l’écoutant avec un sourire amusé quand son interlocuteur essayait de se défendre en disant que la femme, l’actrice vraisemblablement, ne faisait que prononcer des inepties. Le Lord se méfia de la véracité de ses dires mais ne dit rien, continuant d’observer la scène d’un œil extérieur. Il préférait faire sa propre opinion en analysant ce que chacun disait. Et, étrangement (ou pas), il ne serait guère étonné si ce qu’affirmait l’actrice venait à être vrai. Mais il n’était pas là pour juger les gens. Il regarda sans rien dire Mr Lloyd faire une dernière remarque à son interlocutrice. Loban eut un air plus inquiet, se demandant si l’homme ne serait peut-être pas violent. Et s’il y avait bien une chose qu’il n’appréciait pas, c’était les hommes violents envers les femmes. Ceux qui pensaient que le sexe masculin avait une sorte de supériorité sur le sexe féminin. Des raclures humaines, aux yeux de Loban. Certes, il n’était pas le plus galant des hommes et se laissait aller aux jeux de la séduction, mais toujours dans le respect de l’autre.

Cependant, il revit son jugement, essayant de ne pas avoir des à priori trop hâtifs sur les personnes en face de lui. Après, il ne connaissait personne, il resta donc silencieux un moment. Puis, la femme qui escortait Mr Lloyd prit la parole, sur un ton agacé, ce qui était parfaitement compréhensible. Loban les laissa donc parler, attentif et curieux, trouvant le petit accent de la dame parfaitement charmant. Mais l’actrice reprit la parole, le regard du Lord Renfield jonglant entre les interlocuteurs comme s’il assistait à un match de tennis. Après tout, ce genre de joute verbale y ressemblait fortement parfois. Cependant, là où ça devint intéressant fut au moment où la nouvelle venue, visiblement jalouse de la compagne de Griffin, lâcha que celui-ci était déjà marié. Loban haussa les sourcils de façon surprise mais amusée avant de se tourner vers l’homme, attendant sa réponse. Il s’était promis de ne pas juger les gens trop vite mais il était convaincu que celle qui était à son bras n’était pas son épouse. Les propos que Mr Lloyd tint alors dérangèrent Loban qui fut surtout gêné par l’emploi de « civilisés ». Il s’éclaircit alors la gorge.

- Excusez-moi, mais si vous étiez aussi civilisés que vous le dites, vous sauriez que ce genre de proximité avec une femme qui n’est pas votre épouse est… mal vu, pour faire simple.

Il prit une coupe de champagne, posée sur un plateau qu’un serveur qui passait par là portait sur sa paume ouverte. Il le remercia d’un regard avant de reporter celui-ci vers son interlocuteur masculin, tout en lui souriant.

- Je sais que je me mêle de ce qui ne me regarde pas, et j’en suis désolé. Je sais que c’est un de mes innombrables défauts que je n’arrive pas à corriger, mais je me sens obligé de faire un commentaire. Personnellement, je pense que cette pauvre actrice a raison de vous en vouloir et que vous méritiez clairement votre gifle que j’ai malencontreusement reçue à votre place. Après… Pourquoi n’amenez tout simplement pas votre femme à cette soirée ?

Il but une gorgée de sa coupe tout en regardant Mr Lloyd droit dans les yeux, souriant toujours, avec une pointe d’arrogance. Il n’était pas venu chercher les problèmes. Juste un petit peu d’animations.
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