amie spéciale ⊹ Finn est un client régulier d'Athénaïs. Il aime garder la même femme pour assouvir ses besoins sans pour autant avoir de sentiments pour elle. Et elle commence à le connaître aussi. Pour tout dire, Athénaïs est une des rares personnes à qui Finn fait confiance. Il lui arrive qu'elle lui serve de confidente en plus d'amie physique. Et il se peut qu'il ait besoin d'elle un jour ou l'autre dans ses multiples affaires.

ennemi par défaut ⊹ Cet homme est à la tête de Scotland Yard, il est donc par ce simple effet un obstacle à tout ce que Finn est en train d'entreprendre. Il l'évite à tout prix et reste sur ses gardes. Il sait que s'il attire trop son attention, il sera en zone rouge. Et il sait surtout qu'au moindre faux pas, Downcry sautera sur l'occasion pour le détruire. Finn compte bien faire en sorte que cela n'arrive jamais.

partners in crime ⊹ L'argent voilà qui parle à Finn, et Fergus l'a bien compris. Si les projets de Lynch pour son gang arrivent à terme, c'est tout un pan de l'économie clandestine auquel Finn aura accès, ce qui a amplement suffi à le convaincre de s'associer avec le criminel, avec qui il entretient désormais des liens de bonne intelligence proches de l'amitié. L'investissement initial, consenti par le prêteur sur gages, est en train de commencer à porter ses fruits, et celui-ci se prend de plus en plus au jeu, sa cupidité se plaisant à boire les paroles de Fergus, dont l'esprit regorge de projets pour mieux prendre le contrôle de Whitechapel ainsi que de Southwark, afin de rappeler aux plus nantis que tout ne leur est pas acquis... Ce qui, aux oreilles de l'Irlandais, sonne comme une promesse de revenus non négligeables, et surtout constants. Il est le premier fournisseur d'armes de la Tribu, le gang de Lynch, et quand bien même ce dernier a jusqu'à présent réussi à agrandir sa sphère d'influence sans coup férir, une telle ressource, doublée des informations de Finn et de ses relations représente un avantage non négligeable pour Fergus, dans le monde du banditisme londonien.

le béguin ⊹ Cela fait longtemps que les deux individus vivent à Londres, pour Belinda cela fait même toute sa vie. La maquerelle avait déjà repéré le jeune homme alors qu'elle traînait toujours dans les rues à effectuer une tâche ingrate ou une autre. Il la fascinait depuis le premier jour où elle aperçut l'horloger. Mais jamais elle ne put vraiment l'approcher. L'observant de loin comme elle l'avait toujours fait, Belinda ne sait toujours pas comment l'aborder. Surtout que Felix a maintenant une femme et des enfants... Mais l'amoureuse transie n'est jamais loin.

protégée ⊹ Comme la plupart de ses filles, Belinda considère Athénaïs comme sa famille. Elle tient à lui enseigner tout ce qu'elle sait, et pour dire, la petite apprend vite. Elle lui rappelle un peu sa jeunesse. Malheureusement la petite grecque n'a pas plus de chance que la maquerelle. Peut-être prendra-t-elle un jour sa place, en tout cas Belinda le lui souhaite et l'envisage de plus en plus chaque jour. Sous ce visage angélique se cache une volonté de se battre qui sort vraisemblablement du lot.

l'enfant chanceuse ⊹ Belinda reçut un jour un paquet disant de le garder pur, moyennant une somme d'argent mensuelle. Ce paquet, c'était Indianna. La maquerelle s'en occupa depuis ses plus jeunes jours et la garda comme domestique, contrainte de ne pas vendre ses charmes comme ceux de ses filles. Lorsque Indianna ne fut plus enfant, ces dernières commencèrent à crier à l'injustice. Belinda les comprenait, mais se devait de protéger la rouquine. Pour l'argent, et parce que l'élever pratiquement l'avait attendri à son égard. Mais Belinda compense l'injustice en la faisant travailler dur, regrettant que seules ses filles mettent la main à la pâte.

Persona Non Grata. ⊹ La maquerelle ne voulait plus qu'il remette les pieds ici, même s'il insistait et qu'elle avait beau le menacer d'appeler la police. Ce client n'apportait que des problèmes et n'avait généralement jamais assez pour s'offrir les services de ses filles. Et bien évidemment, il s'énervait, criait que c'était beaucoup trop cher, etc. Belinda ne supportait simplement ces mâles en chaleur. Ils l'étaient tous. Mais certains n'avaient vraiment aucune tenue en plus de n'avoir aucune dignité.

L'Intolérante. ⊹ Les deux femmes ne se portaient pas forcément dans leurs cœurs. Elles ne se détestaient pas non plus, mais disons que les quelques petits différents qu'elles ont eu ont suffi à supprimer toute possible entente entre elles. Alors Belinda laisse Mylene faire ses petites affaires dans son coin tant qu'elle ne vienne pas gêner les siennes et celles de ses filles.

L'Aimée. ⊹ Owen était tombé éperdument amoureux de cette femme alors qu'ils s'étaient rencontrés d'une manière parfaitement banale. L'Irlandais avait tout de suite chercher à savoir son nom, son adresse à tel point que cela ressemblait presque à du harcèlement. Cependant, la jeune femme ne semblait pas du tout partager ses sentiments, bien au contraire, n'hésitant pas à le lui dire sans cesse.

La Gérante. ⊹ Frustré d'être toujours célibataire mais ne refoulant pas pour autant ses désirs primaires, Owen rendait souvent visite au bordel de Belinda, pour évidemment se payer les services des filles. Néanmoins, il faisait partie de la liste noire des clients, ses relations avec la gérante étant plutôt houleuse. En effet, vivant constamment au-dessus de ses revenus, Owen n'avait souvent plus assez de quoi payer les filles et n'hésitait pas à faire des scandales dès qu'on lui refusait d'entrer.

Le Dernier Recours. ⊹ Owen n'aimait pas tellement à avoir recours à des amateurs mais vu que les établissements professionnels le refusaient, il devait se tourner vers des femmes comme Daisy qui vendait son corps pour les fins de mois difficiles. Owen était donc un client plutôt régulier, qui la payait certes, mais pas autant qu'elle devrait l'être, bien évidemment.

La Fille. ⊹ S'il ne l'avait jamais battu, la relation entre le père et la fille restait bien neutre, d'une absence presque terrifiante et qui expliquait peut-être le manque d'émotions humaines de la jeune femme devenue adulte. Il reste pourtant fier de ses spectacles, du dressage de son lion et de sa loyauté parfaite envers le Cirque. Il est certain de faire un jour d'elle l'héritière du Cirque, quand il sera mort -mais ce sera pas pour tout de suite. Une relation plus proche du patronat que du véritable paternalisme mais les choses peuvent évoluer.

Le Noble Haï. ⊹ Loban fut le noble venu arraché des mains d'Owen Lydess, sa diseuse de bonne aventure. Tel un preux chevalier peu crédible, il était venu engager le combat avec lui, bien que totalement déséquilibré, Loban étant plus jeune et plus fort, ayant suivi un entraînement militaire. Depuis, il voue une haine incontestée à ce noble arrogant et rêve de le faire supprimer, par tous les moyens. (Sans avoir à se salir les mains cependant.)

La Protégée Reniée. ⊹ Owen est un peu l'homme qui  a sauvé Lydess de la pauvreté qui était sienne depuis la sortie de l'Orphelinat. S'il ne l'avait accepté dans ses rangs, Dieu seul savait ce qui aurait pu advenir de la petite demoiselle. C'est donc un grand respect que la diseuse de bonne aventure voue au propriétaire du Cirque, elle pourrait lui rendre service avec joie. Cela dit, il n'est pas toujours très tendre avec elle, n'hésitant pas à la faire travailler davantage que les autres ou à volontairement l'exclure du reste du groupe. Simple fantaisie sadique de la part d'un homme auquel Lydess n'était pas au goût. Cependant, lorsqu'elle retrouva son ancien ami d'orphelinat, Lord Loban Renfield, Lydess demanda à Owen de la laisser partir, chose qu'il refusa et ce qui occasionna un combat à mains nues entre Owen et Loban. Combat que Loban gagna, et depuis ce jour, Lydess ne fut plus la bienvenue.

La Mercenaire. ⊹ Owen avait déjà entendu parler de cette tueuse à gages, de cette mercenaire qui ne posait pas trop de questions, ce qui était un avantage indéniable, et hésitait de plus en plus sérieusement à se payer ses services pour se débarrasser de cibles gênantes comme le Lord Renfield qui semblait mettre plus d'importance à la légalité de ses activités qu'à la traque de l'Éventreur. Le voir disparaître de la scène politique, ou même disparaître tout court, l'arrangerait fortement, surtout si quelqu'un d'autre, de plus compétant que lui, se salissait les mains pour lui. Et puis qui sait ? Peut-être aurait-il de nouveau besoin des services de la mercenaire un jour ?

L'Harceleur. ⊹ Elle le déteste, le hait. Ils s'étaient rencontrés un jour dans une rue et cet homme avait eu un comme un coup de foudre. Rien de bien méchant jusque là sauf qu'il était incroyablement tenace et persévérant, voulant à tout prix avoir ses coordonnées, s'ils pouvaient se revoir un jour. Annie n'avait pas répondu et espérait juste qu'il ne la retrouve jamais.

L'Enquiquineur Indispensable. ⊹ Annie a fait la connaissance de Fergus -ou plutôt est tombée nez à nez avec lui- alors qu'elle cherchait à sensibiliser les femmes de Whitechapel au féminisme. Il semblerait que ce quartier devienne de plus en plus le fief des gangs, qui en contrôlent les accès, que celui de la loi... Néanmoins, Lynch s'est montré courtois avec elle, une fois ses motivations exposées afin de montrer patte blanche, voire même un peu narquois : les gens d'ici ont, d'après lui, des problèmes bien plus prosaïques contre lesquels lutter chaque jour, comme la faim, le froid, ou la maladie, pour se soucier de l'égalité homme-femme. Il n'a pas tort, mais en même temps, Annie est prête à soutenir mordicus ses convictions. S'est donc installé entre un petit jeu rhétorique où la jeune femme y perd son latin au profit d'une irritation certaine ; ce qui ne manque pas d'amuser Fergus, qui semble prendre plaisir à l'agacer. Pourquoi ne pas tout simplement ne plus jamais revoir cet impertinent personnage ? Parce que, comme nous le disions, Whitechapel n'est plus un endroit sûr, et que le gang de Lynch gagne en importance : la journaliste a besoin de lui pour se ménager une porte d'entrée dans le quartier, où elle n'est rien de plus qu'une étrangère prêchant difficilement ses concepts, et pourquoi pas assurer sa sécurité, si elle consent à négocier. Marchander avec un tel homme, à la fois gouailleur, flirtant avec l'illégalité et étonnamment bon orateur pour quelqu'un de son milieu ne lui fait pas vraiment plaisir, mais a-t-elle le choix ? Il est vrai que leurs joutes, malgré tout, ne sont pas si déplaisantes... (inspiré de Han Solo et de la princesse Leia, dans Star Wars)

la meilleure amie ⊹ Cette jeune demoiselle à la verve fringante avait été rapidement connu par les services de police pour simple vol de nourriture. Le policier, qui était alors occupé de sa courte garde à vue, avait eu largement le temps de discuter avec la charmante et une connivence d'opinion se mua très rapidement entre eux. Une fois qu'elle se retrouva au Cirque, il vint très régulièrement la voir pour se faire lire son avenir avec de grands yeux hagards ou tout simplement converser du dernier roman fantastique qu'il venait de lire. Il admire sa progression dans la société, quand bien même il n'en souhaiterait pas, étant bien là où il est. Ils continuent de se voir et de discuter des heures durant, le tout devant un bon café et le journal du matin. Une photo ici d'eux en train de déconner, encore.

le big boss ⊹ Il n'y a peu de choses à dire par rapport au rapport qu'il entretient avec le grand patron. S'il n'était qu'un petit pion entre ses mains de directeur, il s'en moquait bien. Car il a de l'admiration pour cet homme qui a tout une institution entre les mains. Thomas a confiance en lui pour trouver ce Jack, et il prêterait tout son être et son âme pour le servir, avec toute la loyauté qui lui convient.

l'amical collaborateur ⊹ Ils se connurent tout comme Harry connut l'entièreté de Scotland Yard, à la suite d'une enquête. Un meurtre pernicieux que personne ne parvenait  à résoudre. Puis il vint, cet homme étrange au grand sourire, portant dans ses bras un petit chien touffu. Tous chuchotèrent à son passage, toutes les émotions passèrent dans les regards. Mais Thomas...comme à son habitude, fut admiratif du charisme bizarre qui émanait de lui. Aussitôt il vint à lui pour tenter d'apprendre de ses méthodes et de comment il déjouait des jeux de l'esprit. Thomas n'espérait pas devenir aussi visiblement intelligent, mais s'il pouvait en ressortir quelques astuces, cela l'aiderait lui-même pour lutter contre le crime. Il se faisait donc dès que possible son assistant sur place.