Sujet: « It's not about words. » ☼ Dimitri Ravinsky Sam 25 Fév - 17:57
Stephen
« Dimitri Vassilievitch Ravinsky »
Kloer
« It's not about words. »
FT. Adrien Brody
CARTE D'IDENTITÉ
Nom : Ravinsky, Kloer comme nom de substitution. Prénom(s) : Dimitri Vassilievitch, Stephen pour se fondre dans Londres. Âge : 35 ans. Groupe : Les Démunis, pour le moment.
Nationalité : Russe. Lieu de naissance : St Petersbourg. Date de naissance : Réponse ici. Situation Civile : Célibataire. Religion : La Musique, ou plus particulièrement Euterpe, Muse de la Musique. Orientation Sexuelle : Ne s’est jamais vraiment posé cette question. Profession : Pianiste célébrissime, mais actuellement pianiste dans un bar. Quartier Résidentiel : Whitechapel Activités Illicites : Immigration illégale
Jolie petite histoire...
La musique est un langage. C’est une manière de s’exprimer quand les mots ne suffisent plus, quand ils dépassent les barrières limites de la compréhension de l’esprit pour en venir à celle du cœur. Et cela, le jeune Dimitri l’avait parfaitement compris. Très tôt dans sa jeunesse, il avait acquis cette incroyable capacité d’adaptation à l’apprentissage, non seulement du piano, mais également de la société en général. Tristement perdu entre des murs de bon sens et de savoir-vivre que seules les mélodies parvenaient à franchir, il devint ce que l’on appelle « un génie musical », un surdoué. Les concerts n’étaient pas pour lui un moyen de gagner de l’argent, ou de gagner en notoriété, mais plutôt comme un moyen de s’exprimer, loin des convenances et des étiquettes qu’imposait le langage, qu’il fut parlé ou écrit. La seule personne avec qui il parvenait un peu à s’exprimer avec le cœur, autrement que par la musique, c’était sa jeune cousine, une amoureuse de l’accord et d’Euterpe. Ainsi allait la vie dans l’agréable noblesse russe. Si tous les lendemains chantaient bleu, la fadeur de cette existence tremblait très souvent dans les longs doigts osseux de Dimitri. De son piano s’élevait une plainte misérable, mêlant grave et aiguë dans une mélopée semblable à celle qui l’avait rendu célèbre.
Seulement, la célébrité, quelle qu’en fut la manière de l’obtenir, attire les foudres des regards d’en bas. De même que l’argent que cela apportait, conspué par le peuple. Qu’importe si cela avait demandé des heures d’apprentissage, des sacrifices ultimes de sociabilisations pour ne se concentrer que sur le mélange de ces touches noires et blanches. Seul n’était visible que la façade, ce Dieu vivant au teint blanc et gracile, au talent tout droit descendu du ciel. Autant de grâce n’était pas permise dans ce monde. Il fallait réclamer justice. Et ainsi commença l’enfer. Qui aurait pu savoir jusqu’où cette chasse au sorcière aurait pu se terminer ? On ne pardonne pas facilement les plus fortunés, surtout les plus innocents. Plutôt que de continuer à subir l’opprobre pour vivre d’un art auquel il avait consacré sa vie, Dimitri décida de fuir. Grâce à ses relations, cela ne fut pas difficile de traverser l’Europe, accompagner de sa cousine qu’il ne pouvait se résoudre à abandonner à cet horrible peuple revanchard. Leur plan était des plus simples. Traverser l’Europe jusqu’à atteindre l’Angleterre et là-bas, traverser jusqu’à un port de la côte qui accepterait de les envoyer en Amérique, la terre que tous disaient libre. Les choses ne se passèrent pas comme cela. Un changement d’emploi du temps des policiers leur fut fatal. Il n’y avait pas qu’eux, mais d’autres immigrés, un contrôle d’identité inopiné, un renvoi dans les cages. Jamais un être de la noblesse n’aurait pu se sentir davantage humilié.
Envoyé dans une prison pour homme, là où il y avait encore de la place, dans les reclus sombres des condamnés à mort et autres plaisantins. On ne savait pas encore ce qu’on ferait de Dimitri, alors c’était là que l’on envoyait les oubliés. Ici, les plus anciens faisaient la loi, et les nouveaux les subissaient par un bizutage absolument terrifiant. Au deuxième jour de sa présence, on lui en détermina les règles. Un tabassage en règle, sans aucune restriction. Pour entrer, il faut accepter d’être briser. Rien n’était moins simple que de se transformer en poupée sans volonté. Avec toute sa dignité de noble déchu, Dimitri mit les mains dans les poches et leur dit sans préambule : « Vous pouvez me faire tout ce que vous voulez, si vous ne touchez pas mes mains. » Qui aurait pu dire que cela serait pris au pied de la lettre. On ne pourra ici décrire ce que la décence réprouve pour décrire les tourments que lui causèrent le groupe de belligérant. Blessé dans son honneur, ce qui ne devait s’avérer qu’être une cassure se révéla être bien plus violent que cela. Aucun médecin ne fut appeler pour voir l’étendu des dégâts et il semblait qu’à défaut de ne pouvoir toucher ses mains par quelque silencieuse politesse, ils s’en étaient donné à coeur joie sur toute la partie basse de son corps. Quand la douleur disparut, il ne sentit plus rien...du tout. Impossible de se déplacer sans des béquilles qui le traînaient pitoyablement, les autorités décidèrent, sans en confier à la juridiction, de jeter l’handicapé dans la rue. Estimant qu’un tel rebut ne ferait pas long feu, ils le firent passer pour mort et l’oublièrent.
Les premiers jours à se traîner et à faire la manche le long des rues de Whitechapel furent terrifiants. Jamais il n’aurait cru atteindre un tel niveau de bassesse, et la fadeur de ses anciens jours glorieux lui parurent comme un graal qu’il n’aurait du rejeter. Si la mort ne l’avait cueilli à temps, ce n’était que grâce à un barman dans les tréfonds de Whitechapel, là où passait toutes les pires engeances de la Terre. Il était dit de ce bar qu’il rendait les gens aimables et courtois, que l’amabilité de son patron était incroyable et bien qu’il fut paranoïaque, cela ne l’empêchait pas d’être généreux. Allant à cet adresse, il demanda asile et proposa ses services comme pianiste en échange d’un toit et de nourriture. L’argent n’avait jamais été quelque chose d’important pour lui, et plus encore à présent. Il passait le plus clair de son temps assis à son piano, aussi son handicap n’était jamais perçu. Si au grand dieu l’on cherchait un russe sans jambe, qui irait chercher Stephen Kloer, pianiste irlandais mélancolique et un peu feignant ?
CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT
D’un tempérament très calme et toujours renfermé sur lui-même, coincé dans une éducation de noble où les émotions sont peu apprécié et les débordements toujours sévèrement réprimandé, Dimitri a vécu une vie noble, avec tout ce que cela implique. La seule chose où vous le verrez prendre un peu de hauteur est la musique...et sa cousine bien sûr, n’ayant pas d’autres véritables proches. Cependant, la musique peine même à penser son coeur en ce moment, et une profonde tristesse et mélancolique peuvent se lire sur son visage pendant qu’il joue. Dépossédé de ses jambes, il n’a pas encore fait le deuil de sa perte et se confronte à des sentiments auquel il n’avait encore jamais fait face auparavant. La colère, la haine, le désespoir, autant de sentiments qui n’avaient encore aucune place dans son esprit auparavant. Aujourd’hui, il s’agit d’un être complexe et potentiellement instable, se cherchant un nouveau sens ainsi que son unique ancre, sa cousine. Cependant, il reste d’un grand romantisme et espère toujours que l’être humain n’est pas aussi horrible qu’il n’y paraît, et que chaque personne est bonne naturellement.
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CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES
Il n’est pas rare de voir des hommes dans l’ombre, se trouvant aussitôt une apparence squelettique en se découpant une silhouette longiligne et sobre. Le corps de Dimitri, lui, était naturellement aussi fin et maigre qu’un de ces cadavres. Son teint pâle et maladif avait toujours été légèrement présent, mais jamais autant que depuis son arrivé à Londres. Ses yeux clairs sont les reflets de sa mélancolie perpétuelle, tandis que ses cheveux châtains foncés presque noir, autrefois tellement bien entretenu, était à présent presque chaotique sur le sommet de son crâne. S’il avait une taille immense, ce n’était pas cela qui sautait le plus aux yeux mais plus son nez, un incroyable et splendide nez aquilin qui dépassait toutes les règles de la logique.
Dans la vraie vie, je suis...
Quel est ton pseudo ? Amolitacia ! Un mec ou une fille ? Une lapine !Quel est ton âge ? 22 ans...bordel. Comment as-tu connu le forum ? : huhu : Un avis dessus : :huhu : As-tu un DC ? Amy, Harry, Jonathan et Lydess ! Code de validation :[Validé par une entité inconnue à grande oreilles]
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Sujet: Re: « It's not about words. » ☼ Dimitri Ravinsky Sam 25 Fév - 18:01
La famille *---*
~Perhaps, somewhere, some day, at a less miserable time, we may see each other again~
Felix J. Adler
Admin
Âge : 38 Emploi : Horloger Royal. Informations : Souffre d'un autisme d'Asperger • Dyslexique • Est obsédé par son métier • Rêve de travailler sur l'horloge de Big Ben. • Insomniaque. • Parle peu • Se sent mal à l'aise dans une foule • A quelques bases d'Allemand et de Français • A le corps glacé et est d'une pâleur à faire peur • Origines Juives • Possède une Pamphobeteus Platyomma mâle pour animal de compagnie • Est le mari d'Amy S. Adler. Avatar : Johnny Depp Quartier Résidentiel : Lambeth. Messages : 3763Date d'inscription : 14/09/2016
Sujet: Re: « It's not about words. » ☼ Dimitri Ravinsky Sam 25 Fév - 20:18
Je m'absente une journée et t'as déjà fini. è_é
Félicitations, camarade !
« TE VOILA PRÊT À METTRE TA PATTE DANS LA FOURMILIÈRE ! »
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plumyts 2016
Fergus Lynch
Âge : 36 Emploi : Fondeur Informations : Orphelin déposé au seuil d'une institution quelques semaines après sa naissance ✘ Ignore tout de ses origines, et n'y accorde aucune importance ✘ Fraie dans le monde de la petite délinquence depuis sa plus tendre enfance ✘ Ancien chef d'une bande gosses aventureux, à présent dissolue ✘ Suite à ça, a passé plusieurs mois en maison de correction ✘ La mort d'un de ses meilleurs amis, atteint de syphilis, a suffi à le convaincre de ne pas s'approcher des prostituées, règle qu'il suit toujours ✘ A fondé la Tribu, gang des rues sévissant à Whitechapel, dont il connait les moindres recoins ✘ Participe régulièrement à des combats illégaux organisés dans des bars, desquels il tire un joli pactole, ainsi que quelques petites cicatrices sur tout le corps ✘ Amateur d'armes blanches, il se sépare rarement de son couteau de boucher, tout comme de son vieux chapeau melon ✘ Se moque bien des forces de police, avec lesquelles il n'hésiterait pas à en découdre ✘ Ne voue que mépris à l'aristocratie et aux autres parvenus, mais grâce aux paiements reçus en échange de l'aide de son gang, il recrute de plus en plus d'adeptes, et accroît l'influence de la Tribu : son ambitieux objectif n'est autre que de faire tomber sous sa coupe Whitechapel et Southwark, pour mieux leur donner un second souffle, ainsi qu'une capacité de réponse envers les injustices infligées par les strates plus aisées de la société. Avatar : Michael Fassbender Quartier Résidentiel : Les bas quartiers de Whitechapel, son modeste fief Messages : 365Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: « It's not about words. » ☼ Dimitri Ravinsky Dim 26 Fév - 12:25
Eh bah ça c'est du rapide Rebienvenue miss, tu as eu mille fois raison de craquer
Bon jeu avec Stephen !
W. Bartholomew Collins
Âge : 38 Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois. Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞ Avatar : Tom Hiddleston Quartier Résidentiel : Londres Messages : 351Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: « It's not about words. » ☼ Dimitri Ravinsky Dim 26 Fév - 17:03
ENCORE TOI !!! Re bienvenue choukette
Felix J. Adler
Admin
Âge : 38 Emploi : Horloger Royal. Informations : Souffre d'un autisme d'Asperger • Dyslexique • Est obsédé par son métier • Rêve de travailler sur l'horloge de Big Ben. • Insomniaque. • Parle peu • Se sent mal à l'aise dans une foule • A quelques bases d'Allemand et de Français • A le corps glacé et est d'une pâleur à faire peur • Origines Juives • Possède une Pamphobeteus Platyomma mâle pour animal de compagnie • Est le mari d'Amy S. Adler. Avatar : Johnny Depp Quartier Résidentiel : Lambeth. Messages : 3763Date d'inscription : 14/09/2016
Sujet: Re: « It's not about words. » ☼ Dimitri Ravinsky Lun 27 Fév - 17:46
Hihihi, c'était un scénario avec Adrien Brody, j'ai craqué. J'ai pas pu m'en empêcher. Merci à tous pour votre accueil, j'espère que je vais bien m'amuser.
EDIT: PARDON, j'avais pas remarqué que c'était le compte de Felix, je lui ai emprunté son ordinateur. xDDDDD
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Sujet: Re: « It's not about words. » ☼ Dimitri Ravinsky