"She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met"



 
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"She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met"

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MessageSujet: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitimeLun 12 Juin - 18:40



Daisy Margaret Blackwell

« Mirror on the wall... »


FT. HOLLIDAY GRAINGER
CARTE D'IDENTITÉ


Nom : Blackwell.
Prénom(s) : Daisy; Margaret.
Âge : Vingt-neuf ans.
Groupe : La Bourgeoisie.

Nationalité : Britannique, elle est anglaise et écossaise.
Lieu de naissance : Oxford, Angleterre.
Date de naissance : 13 mars 1862.
Situation Civile : Célibataire, à la poursuite d'un riche époux et considérée comme une presque vieille fille.
Religion : Anglicane, bien qu'elle ne soit pas très pratiquante, ni même croyante.
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle.
Profession : Jeune femme de bonne famille, chasseuse de potentiel époux.
Quartier Résidentiel : The Strand.
Activités Illicites : Aucune, vous pensez bien.

Jolie petite histoire...

John Blackwell était un homme affable, qui aimait les plaisirs de la vie. Il dépensait sans compter, était d’une générosité sans faille avec ses amis, jouait, mangeait, buvait sans doute plus que de raison. Peu fait pour la campagne, il passait le plus clair de son temps à profiter des distractions de Londres. Bourgeois prospère, son père lui avait légué une coquette fortune ainsi que des terres, qui devaient lui permettre de conserver un certain style de vie tout au long de son existence. Nul ne comprit vraiment pourquoi il choisit une femme aussi différente de lui: Jane était sèche, froide, aussi rigoureuse et économe que son époux était dispersé et dépensier. Rarement union fut moins assortie, et pourtant, ce fut probablement elle qui sauva la fortune familiale. Jane méprisait son époux. Elle le trouvait fat, faible d’esprit, et bien qu’il passe communément pour séduisant, elle ne lui voyait aucun attrait. Elle ne l’avait épousé que parce qu’il lui avait été imposé par sa famille, et sachant que c’était son devoir, s’était accommodée de la situation. Durant de nombreuses années, elle fit de son mieux pour faire de sa maison un foyer correct et surtout pour maintenir les finances familiales à flot, tout en remplissant ses obligations d’épouse.

Malheureusement, le destin ne lui offrit jamais le fils qu’elle attendait tant, mais deux filles. La première fut nommée Catherine, et la deuxième Daisy. Jane eut très rapidement de grands espoirs en ce qui concernait son aînée: Catherine était docile, mais fine. Elle était dotée d’une élégance naturelle et d’un bon sens rassurant. Malgré les difficultés financières, on mit à sa disposition les meilleurs précepteurs, afin qu’elle bénéficie d’une excellente éducation. Toute sa vie elle fut préparée à servir son avenir d’épouse et de mère de famille. Ce n’était malheureusement pas le cas de Daisy.
Dès son plus jeune âge, cette dernière tenait déjà plus de son père. Elle était dissipée, brusque, parlait trop fort, trop vite et semblait ne jamais rien vouloir écouter. Tout ceci était en partie la faute du patriarche, dont elle était la préférée. Il la couvait, la gâtait, et lui passait tous ses caprices, tandis que Jane, elle, ne parvint jamais à dissimuler son aversion pour cette enfant. Parce qu’elle était bien trop différente d’elle, mais surtout parce qu’elle n’était pas vraiment une Blackwell. Elle était l’incarnation d’une honte, sa honte d’avoir fauté avec un autre homme. Il était plus que probable que son idiot de mari ne s’en rendrait jamais compte, mais elle avait si peur qu’elle préféra éloigner Daisy le plus rapidement possible. Elle n’eut que peu de difficulté à convaincre son époux qu’au vu de leur situation financière, il fallait sacrifier l’une de leurs deux filles. La fillette fut ainsi envoyée dans un pensionnat pour jeunes filles au nord de l'Angleterre.

Elle qui avait toujours connu la liberté et l’opulence fut horrifiée par cet endroit glacial et austère. Elle fut immédiatement heurtée par la sévérité des femmes qui les encadraient. Elle était rabrouée sans cesse, devait se plier à un cadre extrêmement rigide qui s’accordait mal avec son caractère. Eloignée des siens, elle se sentait comme déchirée et les premières semaines, pleura toutes les nuits. Il lui fallut du temps, et ses premières amies, pour se faire à ce nouvel endroit. Doucement, et tant bien que mal, elle parvint à s’y faire une place et retrouva goût à la vie. Face aux interdictions multiples, les jeunes filles trouvaient le moyen de conquérir une certaine liberté. Ainsi, un véritable trafic de romans non autorisés avait lieu au sein de l’école. Daisy lut tous les romans policiers et gothiques sur lesquels elle put mettre la main, ainsi que certains contenant des moeurs proprement scandaleuses, dont elle discutait avec ses amies tout en gloussant. Ces lectures contribuèrent à développer son imagination débordantes et ses rêves d’aventures. Les demoiselles trouvèrent également le moyen de tromper la vigilance des enseignantes pour partager à certaines occasions les jeux et bagarres des garçons du village d’à côté.

Durant toutes ces années, elle n’eut que peu de contacts avec sa famille, à peine une lettre de sa mère de temps en temps et ne les voyait que lorsqu’elle rentrait pour les vacances. Elle apprit le mariage de sa soeur avec un Lord, certes bien plus vieux qu’elle, mais dont la fortune permettrait de les aider. Au fil des années, certains meubles, équipements et objets de famille avaient dû être vendus afin de maintenir leur train de vie, ou plutôt celui du patriarche. Régulièrement, elle demanda la permission de revenir vivre parmi les siens, ce à quoi sa mère ne cessait de répondre qu’au vu de l’état de leurs finances, elle ne pourrait répondre favorablement à sa demande. Néanmoins, Daisy était devenue adulte et il était hors de question qu’elle demeure indéfiniment au pensionnat. Elle fut envoyée ailleurs une fois de plus, cette fois-ci en Ecosse, chez une vieille tante qui réclamait de la compagnie. Les années qui suivirent furent sans l’ombre d’un doute plus mornes encore que les précédentes. En dehors de la vieille dame gâteuse, elle n’avait que peu d’occasions de parler à qui que ce soit, à l’exception de quelques voisines avec lesquelles elle pouvait prendre le thé de temps en temps. Elle attendait avec impatience le jour où elle aurait la possibilité de revenir à Londres, jour qui finit heureusement par venir.

Malheureusement, les affaires familiales ne s’arrangeaient guère. Et pour couronner le tout, Catherine annonça à sa mère que son époux avait pris la décision de ne plus les aider financièrement. La jeune femme semblait d’ailleurs satisfaite de se détacher de ces parents si encombrants pour continuer à évoluer dans de plus hautes sphères. Face à cette situation de crise, il n’y avait plus qu’une solution: faire revenir Daisy, et s’arranger pour qu’elle aussi fasse un beau mariage. Du moins, le meilleur possible et Mrs Blackwell sut très rapidement que l’affaire serait compliquée. Certes, sa fille possédait un visage de poupée qui pouvait encore plaire, mais elle était déjà beaucoup trop âgée. Et son attitude laissait réellement à désirer. Tenue trop longtemps à l’écart du monde, elle n’avait pas la moindre idée de la bonne manière de se comporter en société. Habituée aux robes grisâtres et aux coiffures simples, elle se jeta avec bonheur sur les tenues les plus extravagantes qu’elle pouvait trouver, tout en se fardant avec outrance. Prenant sa mission à coeur, elle se jetait littéralement aux cous des gentlemen, riait trop fort sous le moindre prétexte, parlait sans réfléchir et avait tendance dès qu’elle élevait la voix à prendre le ton et l’intonation d’une marchande de poissons, ce qui lui valut le surnom de La Poissonnière, dès qu’elle tourne le dos. Elle parvint en quelques mois à peine à se tailler une solide réputation, et à devenir, sans s’en rendre compte, la risée des cercles mondains. Elle ne sut jamais que si elle était invitée partout, c’était pour que ces dames puissent se rire d’elle et la singer dès le moment où elle avait le dos tourné. Ces messieurs quant à eux, s’en amusaient également tout en regardant ses courbes, ou bien méprisaient sa vulgarité. Inutile de dire que dans ces conditions, la chasse au mari pourrait s’avérer compliquée...

CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT

Il ne faut en général que quelques minutes à n’importe qui pour cerner Daisy. Elle paraît presque immédiatement frivole, vulgaire et complètement idiote. Elle est la preuve vivante que la coquetterie ne va pas de pair avec élégance. Elle est brusque dans ses gestes et dans sa voix, parle trop, souvent trop fort, semble se jeter sans cesse au cou des hommes et a un rire fort peu discret. Les femmes la méprisent, les hommes également, tout en jetant un oeil à ses courbes au passage. Pourtant, la jeune femme est loin d’être aussi sotte qu’on le pense. Elle a en revanche beaucoup de coeur, et est surtout extrêmement naïve. Ayant trop peu fréquenté le monde, elle a du mal à percevoir les sous-entendus, et encore moins l’hypocrisie qui règne à son encontre. Incroyablement romanesque, elle n’éprouve aucune difficulté à pourchasser les hommes riches, persuadée que c’est sans doute ainsi qu’elle tombera amoureuse. Mais ce qu’elle préfère, ce sont les histoires fantastiques et policières, qu’elle rêverait de vivre. D’ailleurs elle a de grandes capacités de déduction et un don tout particulier pour se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. Elle peut avoir très mauvais caractère et aime avoir raison.
CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES

Daisy a un véritable physique de poupée, qu’elle continue de conserver à son âge. Son visage aux joues rondes et souvent rougissantes est encadré de longues boucles blondes. Ses traits sont très expressifs et ses yeux bleus brillent souvent d’excitation et de malice. Elle n’est pas très grande et de petite corpulence. Pourtant, elle possède une force physique impressionnante pour son gabarit, en particulier lorsqu’elle a peur ou se met en colère. Elle est également plutôt rapide, malgré ses robes toutes plus extravagantes les unes que les autres. Elle a tendance à être trop maquillée, coiffée et habillée de manière trop excentrique pour pouvoir être élégante. En réalité on la considère en général plutôt comme ridicule.  

Dans la vraie vie, je suis...

Quel est ton pseudo ? Beetle. Un mec ou une fille ? Fille. Quel est ton âge ?  bougie . Comment as-tu connu le forum ? Sur PRD je crois. Un avis dessus : Je suis amoureuse du contexte! As-tu un DC ? Nope. Pv/scénario/Inventé ? Sorti de ma tête. Code de validation : [Validé par Harry]

Code:
<t>Holliday Grainger</t> → <y>Daisy Blackwell</y>
©️ plumyts 2016

©️ plumyts 2016
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Fergus Lynch
Fergus Lynch

Âge : 36
Emploi : Fondeur
Informations : Orphelin déposé au seuil d'une institution quelques semaines après sa naissance ✘ Ignore tout de ses origines, et n'y accorde aucune importance ✘ Fraie dans le monde de la petite délinquence depuis sa plus tendre enfance ✘ Ancien chef d'une bande gosses aventureux, à présent dissolue ✘ Suite à ça, a passé plusieurs mois en maison de correction ✘ La mort d'un de ses meilleurs amis, atteint de syphilis, a suffi à le convaincre de ne pas s'approcher des prostituées, règle qu'il suit toujours ✘ A fondé la Tribu, gang des rues sévissant à Whitechapel, dont il connait les moindres recoins ✘ Participe régulièrement à des combats illégaux organisés dans des bars, desquels il tire un joli pactole, ainsi que quelques petites cicatrices sur tout le corps ✘ Amateur d'armes blanches, il se sépare rarement de son couteau de boucher, tout comme de son vieux chapeau melon ✘ Se moque bien des forces de police, avec lesquelles il n'hésiterait pas à en découdre ✘ Ne voue que mépris à l'aristocratie et aux autres parvenus, mais grâce aux paiements reçus en échange de l'aide de son gang, il recrute de plus en plus d'adeptes, et accroît l'influence de la Tribu : son ambitieux objectif n'est autre que de faire tomber sous sa coupe Whitechapel et Southwark, pour mieux leur donner un second souffle, ainsi qu'une capacité de réponse envers les injustices infligées par les strates plus aisées de la société.
Avatar : Michael Fassbender
Quartier Résidentiel : Les bas quartiers de Whitechapel, son modeste fief
Messages : 365
Date d'inscription : 05/10/2016

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MessageSujet: Re: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitimeLun 12 Juin - 18:57

Bienvenue demoiselle alpagay


Excellent choix d'avatar, Holliday a vraiment une bouille d'amour ♥️ Bon courage pour ta fiche et bon jeu !
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Dick H. Fusslebottom
Dick H. Fusslebottom

Âge : 34
Emploi : Gardien de cimetière.
Avatar : Brendon Urie
Messages : 377
Date d'inscription : 24/03/2017

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MessageSujet: Re: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitimeLun 12 Juin - 19:14

Bienvenue!! unicorn coeur

Je te souhaite le meilleur des époux! 8D
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MessageSujet: Re: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitimeLun 12 Juin - 20:29

Merci beaucoup à vous deux coeur
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Felix J. Adler
Felix J. Adler

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Informations : Souffre d'un autisme d'Asperger • Dyslexique • Est obsédé par son métier • Rêve de travailler sur l'horloge de Big Ben. • Insomniaque. • Parle peu • Se sent mal à l'aise dans une foule • A quelques bases d'Allemand et de Français • A le corps glacé et est d'une pâleur à faire peur • Origines Juives • Possède une Pamphobeteus Platyomma mâle pour animal de compagnie • Est le mari d'Amy S. Adler.
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MessageSujet: Re: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitimeLun 12 Juin - 23:31

Bienvenuuuuuuuuuue ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à venir nous trouver ! saltbae
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Harry J. Downcry
Harry J. Downcry

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MessageSujet: Re: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitimeLun 12 Juin - 23:38

Bienvenue ! love

Bon courage pour ta fiche, n'hésite pas à nous trouver si tu as des questions ! coeur
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MessageSujet: Re: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitimeLun 12 Juin - 23:41

Merci beaucoup à vous !!! love
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Devlin Stanton
Devlin Stanton

Âge : 40
Emploi : Détective / Gentleman-Cambrioleur / Chasseur de créatures surnaturelles.
Informations : -1m75 (5’’74), 73 kg (167 lbs)
-Yeux ambre
-Détective depuis 11 ans. plus par passion et goût du défi que pour en vivre.
-Est devenu gentleman-cambrioleur, laissant sur les lieux de ses forfaits une carte: un valet de cœur, ce qui lui vaut le surnom, par les journaux, de "Jack of Heart" ("Valet de Cœur" en anglais.)
-A créé, avec Lydess Hentswig et Katherina Romanov, la Fondation Luna, un groupe de gens qui affrontent les dangers surnaturels.
La Fondation recrute de nouveaux protecteurs ayant assez de courage pour affronter l'inconnu.

-Jamais marié, aucune descendance... du moins, connue.
-Possède un Doberman nommé Athos dont il ne se sépare jamais.
-Asocial et légèrement misogyne en apparence. En réalité, égalitaire.
-Pratique la lecture labiale
-Est devenu le tuteur de Joséphine par la force des choses.
-Fume la pipe uniquement en soirée, la porte à la bouche non allumée pour réfléchir.
-Excellent tireur et virtuose du combat à mains nues, alliant boxe, savate et techniques de lutte. manie aussi la canne de combat et la rapière.
-Musculature fine mais très dense et efficace, doté d'une force insoupçonnable pour son gabarit et d'une grande résistance aux coups.
-Très discret, marche toujours sans faire de bruit et sait observer sans être repéré.
-Siffleur musical de talent et bon chanteur. A une ouïe bien entrainée.

<> Fiche de personnage

<> Fiche de liens

<> Fiche de Rp

Avatar : Robert Downey Jr
Quartier Résidentiel : The Strand
Messages : 1025
Date d'inscription : 26/11/2016

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MessageSujet: Re: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitimeMar 13 Juin - 3:50

Bienvenue chez les fous, chère amie!

Je te souhaite un bon amusement, un bon époux et une bonne fifiche! coeur
Ca promet! dance
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MessageSujet: Re: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitimeMar 13 Juin - 11:33

Héhé merci beaucoup !! love
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W. Bartholomew Collins
W. Bartholomew Collins

Âge : 38
Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois.
Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞
Avatar : Tom Hiddleston
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Messages : 351
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MessageSujet: Re: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitimeMar 13 Juin - 12:57

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MessageSujet: Re: "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" "She is, without any doubt, the most ridiculous, vulgar woman I have ever met" Icon_minitime

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