Sujet: (M) HARRY LLOYD - Stephen Eliacin Jeu 27 Juil - 18:43
Stephen [libre]. Eliacin
« Noblesse »
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FT. Harry Lloyd (négociable)
CARTE D'IDENTITÉ
Nom : Eliacin Prénom(s) : Stephen, autre(s) au choix Âge : 31 ans
Nationalité : Britannique Religion : au choix (mais pas très fervent quoi qu'il en soit) Profession : Banquier Quartier Résidentiel : Westminster Activités Illicites : Aucune à priori, mais sentez-vous libre de lui en trouver si vous le souhaitez. Signes particuliers : Les yeux vairons (il a une tâche dorée dans l'iris gauche)
« Histoire & Tempérament »
Physique - Stephen est une grande asperge pas très musclée. Il mesure un peu plus d'1m80, et pourtant à côté de sa femme (qui est presque aussi grande que lui), il semble bien petit. Il dégage une certaine classe naturelle, "le flegme britannique" comme on aime à dire et est gâté d'un visage fin, presque androgyne. Cheveux châtains impeccablement coiffés et beaux yeux noirs, si ce n'est une pastille mordorée dans le coin de son iris gauche. Quand il sourit ou qu'il parle, il a des fossettes qui creusent ses joues et lui donnent un air cynique et moqueur.
Caractère - Malgré les apparences, il n'y a pas plus digne et droit que Stephen Eliacin. Idéaliste notoire, amateur de poésie et de théâtre, il est doux comme un agneau, tempéré et épris de justice. Plutôt effacé et discret, très pudique, c'est un curieux qui préfère le calme d'une bibliothèque aux soirées mondaines auxquelles il se doit de se présenter. Il prend son travail très à coeur plus par amour du travail bien fait que par réelle passion. De ce fait, il n'est pas très proche de sa famille, banquiers de génération en génération. C'est aussi un grand rêveur passionné d'astronomie. Mais derrière cette facette douce-amère et un tantinet dans sa bulle, Stephen cache une grande mélancolie. Son âme est fatiguée, délavée. Il cache son amour à sa femme, sachant qu'elle ne voit en lui qu'un ami cher, reportant son amour infini sur les enfants qu'elle lui a donné. Il souffre de voir sa femme en aimer d'autres que lui, mais ne cherche pas à la restreindre, se disant qu'il vaut mieux qu'au moins un d'eux deux connaisse le bonheur plutôt que de se tirer mutuellement vers des gouffres de désespoir.
Histoire - Né dans une prestigieuse famille de banquiers et a été destiné tout jeune à prendre la relève. De même qu'il a été promis à Sinéad O'Sullivan, fille d'un éminent ambassadeur de la culture britannique en Inde. Il a eu la chance, grâce à l'insistance de la mère de sa promise, de la connaître quelques années avant le mariage et ils se sont tout de suite bien entendu. Amis puis confidents, il s'est pourtant vite rendu compte que Sinéad ne l'aimerait jamais plus que comme un frère. Et cela lui convenait parfaitement, au départ, puisqu'il ne pouvait nier que la jeune fille lui faisait un peu peur. Contrairement à lui, elle dégageait une telle force, parvenait toujours à s'imposer avec un naturel qui le déconcerta.
Mais de fil en aiguille, il vint à s'éprendre de la femme qu'elle devenait et en souffrit beaucoup. Avec elle, il se comporte toujours comme s'il ne la voyait que comme une amie chère, mais chaque mensonge lui perce à chaque fois un peu plus le coeur.
Puis vint le jour où il tenta de s'opposer à elle. Sinéad venait d'apprendre que son père jetait la disgrâce sur sa mère et ses soeurs en divorçant; et elle avait pris l'initiative de les soutenir financièrement, risquant de jeter la disgrâce sur son couple par la même occasion. Stephen la força donc à cesser ses versements. Que n'avait-il pas dit là ! Folle de rage, sa femme lui répondit en ces termes : Ne cherche plus jamais à me contrôler, jamais, ni à me séparer de sa famille davantage que mon père et la vie ne l'ontdéjà fait ou bien, mon adorable époux, je serais ta ruine et tu maudiras le jour où je suis née fille, et celui où l'on m'a lié à toi. Plein de chagrin en voyant que sa femme était capable de paroles si cruelles alors qu'il faisait tout pour ne pas entraver son bonheur, il la gifla avec violence, la mettant à terre. Dès l'instant où sa main percuta la joue de Sinéad, il voulut que ce moment ne soit jamais arrivé et ne put que constater avec horreur le regard cruel que lui rendait sa femme, mais aussi sa profonde tristesse.
Il s'en veut toujours de ce jour, mais se satisfait de voir que sa femme ne lui en a tenu rigueur que quelques mois.
D'ailleurs, malgré son opposition pour qu'elle verse une rente à sa mère en piochant dans leur argent, il a par la suite fait en sorte de rendre discrète les transactions que Sinéad effectuait avec l'argent que la vente de ses toiles rapportait. C'est en couvrant sa femme qu'il se rendit compte d'irrégularité dans sa comptabilité et apprit, à force d'enquête, qu'elle tenait également tout un réseau de bar à opiums depuis qu'elle était rentrée d'un voyage en Chine, peu avant la naissance de leur premier enfant (un petit garçon nommé Siam). Puisqu'elle ne lui en avait jamais parlé, il tut son savoir, mais surveilla de loin ce commerce pour la protéger si jamais on essayait de la faire tomber.
Sinéad Eliacin
Femme adorée⊹La Perle de Londres comme il aime l'appeler est l'être le plus proche et à la fois le plus distant de lui qu'il connaisse. Il l'aime d'un amour sans borne, fasciné par sa force de caractère et admiratif de tout ce qu'elle représente. Il souffre de savoir qu'elle ne l'aimera jamais comme lui peut l'aimer mais a pris le parti de lui cacher ses véritables sentiments pour qu'elle se sente libre de trouver le bonheur ailleurs. Il lui cache aussi qu'il est au courant de son commerce illégal d'opium et fait le nécessaire pour la protéger.
Siam & Lyara Eliacin
Ses enfants, la prunelle de ses yeux ⊹Siam est un petit garçon de 8 ans et Lyara une fille de 4 ans. Ils les aime de tout son coeur et trouve auprès d'eux l'affection qu'il n'aura jamais de leur mère. Il se sent revivre à chaque fois qu'il voit leurs yeux d'enfant se poser sur lui. Il est fier de sa progéniture bien qu'il laisse leur éducation à leur mère.
Sujet: Re: (M) HARRY LLOYD - Stephen Eliacin Jeu 27 Juil - 18:54
Mes Petites Exigences
« Là où l'on peut marchander »
Coucou toi, vous. Et merci de ton intérêt pour ce cher Stephen (tu es bien là pour ça, non ?) !
Sache que je suis prête à négocier beaucoup de choses dans sa fiche et surtout son apparence physique. Je te demanderais juste de conserver son allure de grand échalas, pour le reste, blond, brun, yeux bleus ou noirs, c'est comme tu préfères. Concernant son caractère, tu peux lui choisir d'autres passions si tu veux, tant que tu gardes son côté introverti et sa relation avec Sinéad intacte.
Dans l'histoire, tu verras aussi que j'ai surtout développé les points de sa relation avec sa femme, mais pour le reste, libre à toi ! Et si tu veux qu'on revoie certains trucs, n'hésite pas à me solliciter. Je ne dis pas que j'accepterais tout mais on peut en discuter, après tout, ce sera toi qui le jouera, donc il faut qu'il te plaise tout entier.
En cas de besoin, tu peux aller jeter un oeil à ma fiche (j'y parle beaucoup de Stephen) ou me contacter directement par MP, je me ferais un plaisir de répondre à tes questions.
Bon, voilà, je crois que je t'ai tout dit, alors merci de m'avoir lu et j'espère à très vite
AVATAR Tout à fait négociable. J'aime bien la bouille de Mr Lloyd mais si tu as envie de quelqu'un d'autre (de préférence un peu fin/androgyne quand même), n'hésite pas à proposer !