Jolie petite histoire...
Quel bien maigre consolation de n’avoir qu’un père absent et instable pour palier l’absence d’une mère. Diana ne connu  jamais sa véritable mère, elle se contenta toute sa jeune vie d’Owen O’farrell. Cet homme qui se targua du mot de père dû s’occuper à contre coeur d’elle en parallèle de concrétiser son rôle de Monsieur Loyal dans le Cirque qui porterais son nom quelques années après leur départ d’Irlande pour Londres
Cette concrétisation créa en la jeune fille, depuis qu’elle était en capacité de marcher le brûlant désir de faire entièrement partie de son entreprise, comme envoûtée par la magie des spectacles qu'elle voyait chaque soir entre les pans des rideaux du chapiteau. Parfois se devait-elle de se cacher du regard de son père, au risque de recevoir une gifle sous prétexte qu’elle perturbait les artistes.
En dehors de ses chimères d’avenir, Diana demeura simple, se contentant des jours qui s’offraient à elle. Bonne élève, pas particulièrement douée mais de nature curieuse, une enfant au tempérament trop calme pour son âge et sans histoire, qui n'avait pas beaucoup d'amis. Pour elle, c’était de la plus banale des normalité de s'ennuyer comme ça, chaque jour qui passait, de ne pas ressentir de plaisir particulier de revoir son prétendu père rentrer d'on ne savait où, de ne même pas ressentir de soulagement à le voir partir. Elle cohabitais seulement avec lui, sachant pertinemment qu’elle n’avais pas d’autre choix que de subir son caractère difficile pour ne pas dormir sous les ponts.
Elle s’habitua à regarder avec indifférence les gens qui menaient une vie somme toute très standard.
Aucun ressenti ne parvenait à faire vibrer son âme, pas même lorsque des enfants de son âge prétendaient être ses amis, tentaient de l’inviter à leur jeux qu’elle jugeait dérisoire.
La seule chose qui lui arracha son masque pour le remplacer par un véritable sourire sincère, ce fut quand son père lui annonça qu'elle était désormais assez grande pour être utile. Enfin elle allait obtenir des responsabilité, peut être trouverais-t-elle une place dans cette société et arrêterait-elle de seulement attendre dans l’indifférence.
Mais au lieu de profiter du jeune corps de sa fille en lui faisant faire le trottoir, chose à laquelle elle se serait attendue, il fit preuve d'un peu plus d’intelligence -et/ou de paternalisme, et choisit une mise de capitale sur le plus long terme. Il lui montra un lion abîmé, récupéré au marché noir. Si ce lion devait mourir, qu'il meurt, s'il devait vivre, tu seras sa dresseuse et tu te produiras dans mon spectacle. Et s'il devait te manger et bien... ce sont les risques du métier, tu étais une grande fille maintenant.  Une façon de voir sa propre fille comme un bout de viande, mais un bout de viande plus indépendant que ceux destiné à arpenter les trottoirs nocturne.

Elle était maintenant une grande fille. Elle était en train de devenir une grande fille avec des responsabilité. Autrement dit : une femme.
Le lion ne lui posa aucun problème, et une forte relation se créa entre les deux créatures vides et blessés à l’intérieur de leur cages dorés. Pour Diana, ils étaient amis, drôle de terme pour entre une personne et un animal sauvage. A la différence que Diana était également un animal sauvage à savoir apprivoiser.
Elle se produisit donc sous les projecteurs et eut grand succès. De cela à dire qu'elle avait enfin acquis de l'intérêt et de l'importance aux yeux de son père, il n'y avait qu'un pas. Un saut de trapèze pour ainsi dire Mais elle s'en fichait, ce n'était pas son but.
Pour Owen, les gains entraient dans sa poche, c’est ce qui importait pour l’homme. Pour Diana, elle n'avait aucun but sinon de voir les jours se suivirent et se ressembler sans finalité. Le dicton raconte bien « Pas de nouvelles, bonne nouvelle »
La femme appréciait vivre cette existence, car au final, elle n'avait rien vécu de plus pour pouvoir la comparer. Comment être en manque de quelque chose dont on ignore l’existence ?
Elle possède néanmoins un soucis du détail et de la gestion incroyable, souhaitant pouvoir mener le cirque d'une main de fer, sans pitié comme son géniteur. En tant qu'héritière, elle est sévère et tenace, ayant bien appris des malversations de son paternel. Le seul bien du sang qu’il lui avait légué.

Dans la vraie vie, je suis...
Quel est ton pseudo ? Jenny Un mec ou une fille ? Fille Quel est ton âge ? 24 Comment as-tu connu le forum ? En y étant depuis un an ! Un avis dessus : Merveilleux ! As-tu un DC ? Jenny Smith :3 Pv/scénario/Inventé ? Réponse ici. Code de validation : Validé par Harry.

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<t>Krysten Ritter</t> → <y>Diana O'Farrell</y>

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