Jolie petite histoire...
Balthazar Sandy est né à St Pancras, d'un père qu'il n'a jamais connu. Bien qu'élevé par une famille adoptive, il passait tout de même ses vacances dans la famille de sa mère, à la campagne. C'est là qu'il apprit à monter à cheval, et qu'il développa un penchant décidé pour l'équitation. Il considéra même l'un des chevaux comme son ami, ce bon vieux Gunther. Un Cheval qui n'était pas de première jeunesse mais avait qui Balthazar entretenait un lien assez fort. Combien d'heure avait-il pu passer à lui nettoyer la toison et à lui donner son avoine ? Voila une question à laquelle il serait difficile de répondre.
Bien tristement, ce vaillant mammifère mourut trop rapidement pour un Balthazar bien trop attaché à lui, ce qui fut pour ce dernier la première perte d'un être chère.

Malgré de vains efforts et de longues recherches, Balthazar ne put jamais percer le mystère entourant la véritable identité de son père. Il quitta l'école précocement, et manqua de peu de tourner mal. C'est grâce à un club de boxe amateur qu'il fréquentait à cette époque, qu'il rencontra Eddie Gambino, un immigré italien, de 15 ans son aîné, dont il devint le protégé. Gambino lui permit de découvrir l'amour de la pâte à pizza, en l'introduisant dans sa pizzeria en tant que serveur le week end, commerce encore très  hors norme mais très prometteur.
En semaine, Balthazar s'occupait d'une modeste boutique de cordonnier qu'il avait réussit à ouvrir grâce à diverse économie, boutique qu'il avait surnommé "A la corde joyeuse". Une affaire florissante dont il rêvait pouvoir transmettre à sa descendance sur des générations.
Descendance qu'il aurait d'ailleurs aimé avoir avec son amour de jeunesse, Lucy Hamilton, sa sœur d'adoption avec qui il passa toute son enfance. Mais le destin n'avais pas donné son accord pour une quelconque union : Lucy était d'origine africaine et les mœurs de l'époque n'auraient jamais accepté le déshonneur qu'un européen puisse ressentir quelques émotions pour une étrangère. Il se résolus donc à n'être qu'un frère confident à ses yeux, à la fois pour son plaisir et pour son désespoir.

Par la suite, alors que son commerce de cordonnier fleurissait et qu'il avait acquis une certaine notoriété ainsi qu'une présence typiquement british avec les bonnes manières qui vont de pair, Eddie l'invita à rejoindre un groupe d’investigateur afin de résoudre quelques mystères ma foi fort mystérieux. En effet, son ami italien s'intéressait aux affaires occultes, mais voyez cela comme des histoires toute simple (le vent dans les rideaux à la place de fantômes, de pauvres albinos à la place de vampires, ou encore un sol trop glissant à cause du cirage). Malgré tout, Balthazar voyait cela comme une animation et développant chez lui une certaine curiosité pour les enquêtes. Sa politesse anglaise n'aidait pas non plus à dire non lorsque son ami pizzaïolo l'invita dans ses investigations.
Ce groupe très particulier (composé d'un prêtre allemand, d'un commerçant de fourrure québécois ainsi que de l'italien Eddie), permis à Balthazar de connaître le monde policier, et principalement à débattre sur différents sujets très vaste tel que la spiritualité dans notre monde de pauvre mortel, la meilleure façon de juger autrui, la cuisson de la pâte à pizza, ainsi que l'ouverture d'esprit sur les différences.
Fort malheureusement, Eddie préférait avoir une vie paisible dans sa cordonnerie anglaise, et dû refuser régulièrement les offres d'aventure pour diverse enquête. Il entretiens malgré tout une relation d'amitié régulière avec Eddie, son ami de toujours et malgré son caractère bourru d'italien. Ce dernier lui narra différentes aventure rocambolesque bien étrange, et Balthazar s'estima heureux de rester dans la chaleur de sa boutique lorsqu'il écouta d'une oreille attentive des histoires de bateaux maudit, de miroirs hanté ou encore de goules voulant conquérir le monde (bien que cela paraissait exagéré).

Pour Balthazar, sa plus merveilleuse aventure était finalement de connaître Lucy dont il garda une photo dans la poche de veston en toute circonstance. Il s'était promis secrètement d'être toujours présent pour elle.
Et aussi de connaître son passé en apprenant l'identité de son père. Peut être un jour, dans l'avenir.

Dans la vraie vie, je suis...
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<t>Christopher Lee </t> → <y>Balthazar Sandy </y>