[ Bartholomew ] The day I first met you



 
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MessageSujet: [ Bartholomew ] The day I first met you [ Bartholomew ] The day I first met you Icon_minitimeLun 24 Oct - 15:51

I think you are my words
The Day I first met you
Bartholomew  ✧ Rosalinda
Il n'était pas tard quand Rosalinda eut terminé de faire ses tâches de la matinée. Elle n'était pas là depuis longtemps, une semaine tout au plus, et elle n'arrivait pas à se faire à l'idée de cette nouvelle grande maison. Elle avait retrouvé une de ses maîtresses qui s'était fiancé à un homme très bien. Monsieur Collins.

Rose' ne l'avait pas vu souvent, la première fois, ce fut pour les présentations, elle s'était incliné devant lui alors que sa fiancée lui avait dit qui était la jeune femme et depuis combien de temps elles se connaissaient. La deuxième fois, elle l'avait vu sortir d'un pas pressant, de la maison. Si elle ne l'avait pas vu longtemps, sa voix restait tout de même encré dans sa mémoire. Elle aimait entendre parler les gens. Pour elle, se son que pouvait sortir les gens était un trésor qu'elle ne possédait plus. D'ailleurs, elle se demandait si sa maîtresse avait pu dire à son fiancé qu'elle était muette.

C'était une toute autre atmosphère qui régnait ici, c'était autre chose que la chaleur des Errington, c'était autre chose. De plus, Rosa' devait réussir à se repéré rapidement dans la maison et ce n'était pas totalement le cas encore. Elle se trompait parfois de chambre entre avec une autre domestique. Mais l'autre femme était très gentille et l'a racompagnait toujours à sa chambre à titrée.

Sauf qu'aujours'hui, elle n'était pas là et elle devait se débrouillé toute seule pour retrouvé le couloir et l'étage des domestiques.

Elle avait alors monter un escalier en marbre, le pas hésitant mais léger, elle était arrivé à un couloir qu'elle n'avait encore jamais vu. Piquée par sa curiosité, elle avait continuer d'avancer même si sa raison lui disait de rebrousser chemin. Parmi toutes les portes fermées du couloir, l'une d'entre elles était entre-ouvertes. La jeune femme poussa legèrement la porte en bois et entra à l'intérieur doucement. Elle remarqua alors qu'il n'y avait personne. Elle alluma une bougie posée sur une table qui était là et ce qu'elle découvrit fut magique.

Rosalinda Crown était une femme qui n'a pas eu une enfance heureuse. A l'orphelina, elle jouait avec les autres enfants, mais elle n'avait jamais bénéficier de ce qu'elle voyait devant elle. Elle ne comprenait néanmoins pas pourquoi il y avait tant de jouets en bois devant elle car oui, elle venait de pénétré dans une pièce remplit de jeux pour enfants. La pièce dégageait une tout autre atmosphère que la maison, c'était plus agréable.

Elle prit une des marionettes en bois qui était à ses pieds et commença à jouer avec, un sourire était apparût sur ses lèvres et elle avait même lâché un petit rire. C'était la seule façon d'entendre sa voix.







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W. Bartholomew Collins
W. Bartholomew Collins

Âge : 38
Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois.
Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞
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MessageSujet: Re: [ Bartholomew ] The day I first met you [ Bartholomew ] The day I first met you Icon_minitimeMer 26 Oct - 15:25


Rosalinda Crown & W. Bartholomew Collins
La lumière vive, trop vive, ses yeux clairs plissés. Son visage écrasé contre son bras. Sa tête se releva pour scruter la pièce. Bartholomew était dans son atelier et il y était depuis la veille au soir. Il travaillait sur une maison de poupée complexe, une commande de connaissance de la famille pour leur fille. Voilà des mois qu'il travaillait dessus de temps à autre. Et il était temps pour entamer les finissions, si bien qu'il y avait passé la nuit. Sir Collins avait fini part s'écrouler sur sa table de travail alors que le soleil se levait. Le souvenir lui revenait maintenant alors que ses esprits n'étaient pas tous revenu encore. S'étirant sans gêne aucune, un râle s'échappant de sa bouche. C'était assez dur de se réveiller ainsi, mais c'était comme un quotidien pour lui en réalité. Depuis très longtemps, restée enfermée dans son atelier jour et nuit était une façon de se protéger. Mais depuis qu'il était à Londres, depuis peu en réalité, il sortait plus, il avait fait la connaissance d'un horloger, le mari de sa chère Amy. Qu'il n'avait toujours pas revu d'ailleurs. La ville, c'était une autre façon de vivre, il devait bien le reconnaitre.

Un soupir en dit long sur son humeur du moment. Son regard qui s'était baissé sur sa table de bois dur et poussiéreux, constata avec un certain amusement qu'il avait écrasé dans son sommeil quelques éléments pour la maison de poupée récemment achevée. Eh bien, il n'avait plus qu'a recommencé. Mais plus tard, son dos le faisait souffrir et il avait besoin de se passer un peu d'eau sur le visage. Histoire de se réveiller un peu d'avantages. Se levant enfin de sa chaise, il ne fit même pas attention à la porte laisser derrière son passage, encore entrouverte. Pensant en avoir pour peu de temps pour se rafraîchir. Mais ce fut sans compter sur sa sœur qui à peine réveillé elle aussi vient alors l'aborder. Une sortie, un bal, un cavalier, lui... Non... Trop tôt pour ça et pas assez bien réveillé et de bonne humeur. La moue de sa sœur, ses yeux noirs, il en avait l'habitude. Cela lui passera aussi vite que la brise du vent, ce n'était rien. Il avait déjà fait l'effort de l'introduire dans le monde de la puissante Londres quelques jours auparavant, il n'avait pas la moindre envie de remettre les pieds dans une soirée mondaine de sitôt.

Quand sa sœur le laissa enfin aller se passer de l'eau sur le visage, ce fut sa fiancée elle aussi tombée du lit, qui l’assomma de questions. Elle le connaissait et savait très bien où il avait passé la nuit. Il ne voyait aucune autre femme, elle le savait, pour quoi demander. Il ne sortait quasiment jamais. Ce n'était pas de la jalousie, elle savait leurs fiançailles vouées à l'échec, mais de l'inquiétude, Bartholomew le savait au ton de sa voix. Mais ce n'était pas vraiment le moment de se faire entendre. Alors aussi vite qu'il le pue, il retourna dans son atelier. Du moins, c'est l'intention qu'il avait. Mais alors qu'il arriva auprès de la porte, cette fois-ci ouverte presque en entier, il s'arrêta. Qui avait osé entrer ? Personne, même sa sœur, surtout sa sœur en fait, n'avait le droit d'entrée ici. Aucun domestique n'y était autorisé, le ménage, il le faisait lui, il cassait assez de choses seules, il n'avait besoin d'aide de personne pour cela. Ses sourcils froncés, il fit un pas de la pièce, silencieuse. Puis un second suivit. Un rire retentit. Son regard se pas alors plus loin sur les cheveux bruns d'une jeune femme. Il l'aurait reconnu entre milles, cette femme, cette nouvelle femme de chambre. Étrangement, son visage fermé et autoritaire, prêt à faire des remontrances, s'adoucit. Il n'osa bouger un instant, observant la jeune femme jouer avec ce pantin de bois qu'il avait surement laissé trainer comme tout ce qui était ici au final. Son regard bleu, il le voyait mal, mais le devinait par moment, brillant. Son sourire, magnifique, unique. Et ce rire, sonnant comme une délicate cloche agréable à ses oreilles. Elle était muette, Maddie le lui avait dit, et il avait regretté de ne pas entendre sa voix alors qu'il l'avait rencontré pour la première fois. Mais il ne fut pas déçu à cet instant de la mélodie qui se jouait à ses oreilles.

Wesley resta inerte, ses mains posées dans son dos, unies, patient, heureux finalement d'observer ce petit oiseau chanté à sa façon.
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MessageSujet: Re: [ Bartholomew ] The day I first met you [ Bartholomew ] The day I first met you Icon_minitimeMer 26 Oct - 16:34

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Bartholomew  ✧ Rosalinda

Son petit rire raisonnait dans la pièce, laissant aux oreilles des auditeurs les plus proches, la douce mélodie de sa voix. Si son rire était doux et léger, sa voix devait sans doute être rauque depuis le temps qu’elle ne s’en était pas servie. La figure articulée qu’elle avait dans les mains l’amusait et elle aurait adoré la ramener dans sa chambre pour pouvoir encore et encore la regarder avant de dormir. Elle se demandait à qui appartenait cette pièce, personne ne lui en avait parler.

Elle posa contre elle la figurine en fermant les yeux, se remémorant un instant son enfance. Pourquoi n’avaient-ils pas eu ce genre de choses à l’orphelinat ? Cela coutait-il si cher que cela ? Bien sûre, elle s’était amusée là-bas et à la place de jouer, elle avait appris à lire et à se comporter telle une lady -alors qu’elle n’avait aucun droit de l’être-. C’était une autre source d’amusement.

Elle avait cru entendre un bruit, une respiration dans le silence de mort qui régnait dans la pièce. Elle avait alors ouvert les yeux et avait tourné la tête. Dévoilant à qui appartenait la respiration. Sir Collins était là, debout, les bras derrière le dos. Pris de panique, elle lâcha la figurine qui tomba au sol. La jolie Rosalinda se mit à tête pour la ramasser, les lèvres pincées et rouge de honte. Elle n’aurait sans doute pas dû être là. Elle n’osait même plus regarder son nouveau maître.

Quelle sotte je suis ! Je n’aurais même pas dû venir dans cette pièce !

Les mains tremblantes elle tentait de recoller ‘par magie’ le bras de la figurine qui s’était déboité du reste du corps. Un léger sanglot avait pu se faire entendre de sa part. Elle n’avait pas voulu se faire prendre, ni même être désobéissante d’une quelconque loi qu’elle n’avait pas entendu lors des présentations.

Sir Collins avait l’air dur aux premiers abords, pourtant, quand elle l’avait vu, son visage était doux, il l’avait fixé, elle, simple femme de chambre jouant avec un jouet pour enfant. Il devait la prendre pour une folle et l’a renverrait de suite de sa maison...






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Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois.
Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞
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MessageSujet: Re: [ Bartholomew ] The day I first met you [ Bartholomew ] The day I first met you Icon_minitimeMar 1 Nov - 17:29


Rosalinda Crown & W. Bartholomew Collins
Bartholomew restait là, sage, tentant de se faire discret, il observait cette belle silhouette qui jouait calmement. Comme une enfant sage qu'on oublierait presque dans un coin d'une pièce. Sauf que l'enfance pour elle était déjà loin, moins que pour ce cher Collins, certes. Mais tout de même passé déjà de plusieurs années. Le jeune lord, alors, fut plus que touché alors qu'elle déposa la poupée contre son cœur, fermant ses yeux clairs. Il inspira et expira plus fort qu'il ne l'aurait souhaité alors. Et elle l'entendit cette fois-ci. Il fut démasqué, ou bien était-ce elle qui le fut alors. Il lui fit peur, c'était fort compréhensible à vrai dire. Mais dans sa surprise, elle avait laissé le pantin tombé au sol et se briser alors qu'elle s'était levée trop rapidement. Il s'en voulut un instant de lui avoir fait si peur. Ce n'était pas dans ses désirs. Le lord mit un instant à réagir, et se décider alors à détacher ses bras pour venir à son secours. Elle semblait si attristée et mal à l'aise d'avoir été prise ici alors que tous savaient l'interdiction qui régnait sur cette pièce. Mais peut-être encore plus d'avoir brisé le jouet.

En quelques pas, il fut vers la jeune femme de chambre. Il s'abaissa alors sans manière, un genou à terre. Son regard bleu vers la femme. Il empoigna avec une délicatesse rare ses mains qui tentaient de recoller par le Saint-Esprit les bras du pantin. Arrêtant son geste mécanique posant un regard touchant sur elle. Cherchant son regard alors.

« Ce n'est rien. Ce n'est rien. Je recollerais les morceaux. »

Se laissa-t-il entendre dire avec tout autant de délicatesse qu'il pouvait faire preuve à cet instant. Il se releva alors son visage doux laissant place à une grimace rapide. Ses vieux os qui avaient encore du mal à se réveiller n'avaient as apprécier son petit exercice trop "matinal" encore. Il avait gardé les mains de la femme dans les siennes. L'invitant à se relever avec lui.

« Ce n'est qu'un vieux pantin, il en a vu d'autre. »

Tenta le lord pour détendre un peu la jeune Rosalinda. Un sourire remplaçant sa grimace.
Mais comme si soudain il s'était rendu compte de la proximité de leurs deux êtres, il fît un pas en arrière, détachant ses mains de sa peau. Venant les replacer dans son dos, avec respect. Son regard cristal se détachant de la femme pour se poser ailleurs dans la pièce. Barth se sentait étrangement étrange alors, comme si son cœur battait trop vite dans sa poitrine. Comme si un vieux sentiment qu'il avait enfoui loin au fond de son cœur, refaisait surface. Comme si on venait de rallumer cette étincelle qu'il avait maintenue éteinte si longtemps. Il avala sa salive bruyamment alors.

« Vous savez cette pièce est normalement interdite à quiconque. »

Fit-il sans vraiment rattacher son attention à la femme. Sa voix fut plus sérieuse et plus rude alors. Mais il ne voulait pas voir la jeune femme partir en courant et sachant bien l'effet qu'il pouvait avoir parfois sur les gens. Il s'adoucit de nouveau.

« Mais, votre regard. Votre façon de... Jouer. »

Son regard se reposant sur Rosalinda. Il se doutait qu'elle n'avait pas toujours eu la vie simple. Loin de là. Il ignorait son enfance, mais il n'était pas idiot et les femmes de chambre, les employés de maison n'étaient que très rarement gâtée par la nature.

« J'ai eut l'impression un instant de revoir Kath jouer. »

Finit-il par avoué, sa voix embouer d'une émotion vive. D'une douleur profonde. Il détourna le regard de nouveau. Préfèrent éviter de croiser le regard de la femme, alors que le sien s'embuait des larmes. Katheen... Un sujet trop sensible pour en parler, pour même l'abordée. Et il avait mis les deux pieds dans le plat. À croire qu'il aimait vraiment souffrir.
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MessageSujet: Re: [ Bartholomew ] The day I first met you [ Bartholomew ] The day I first met you Icon_minitimeMer 2 Nov - 11:26

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Rose se sentait idiote. Elle était certaine, à présent, qu’elle allait être réprimander d’être venu dans cette pièce, elle avait peur pour sa place. Après tout, elle avait déjà entendu dire que certaines femmes de chambre se faisaient mettre à la porte pour moins que ça. Elle s’imaginait déjà dans les rues à chercher un toit, sans travaillant, sous la pluie, sans savoir parler pour exploser sa situation, c’était pour ça, aussi, qu’elle se précipitait à vouloir que les deux morceaux du pantin de bois se recolle comme par magie. Mais il fallait bien avouer que même un miracle ne servait à rien dans cette situation.

Les mains de son maître vinrent empoignées doucement les siennes, déclarant un frisson dans tous son corps. Jamais elle n’avait eu ce genre de chose auparavant. Elle avait même un peu sursauté en sentant la peau de Sir Collins sur la sienne. Elle se mit à le regarder, il avait des yeux magnifiques et si Sir Collins n’aurait pas été son maître, elle serait bien restée là à contempler pendant quelques minutes les pupilles de cet homme. Il semblait doux, contrairement à ce que les autres employés de la maison lui avaient racontés. Indiquant qu’il recollerait les morceaux, elle ne savait pas si elle devait le remercier ou non, alors, elle était restée là, à regarder son visage comme jamais elle n’en n’avait regardé un.

Sir Collins avait garder les mains de Rose’ dans les siennes, la faisant alors relevé en même temps que lui. La grimace qu’il avait fait n’avait pas échappé à la jeune femme et elle aurait voulu l’aider, il devait bien exister un moyen contre les douleurs, non ? Elle irait chercher en ville dès qu’il serait possible pour elle de sortir. Elle lui offrirait ce cadeau comme une excuse de son comportement du jour. Il indiqua, ensuite, que ce pantin n’était pas à sa première chute, elle s’en réjouit intérieurement. Plus les minutes passaient et plus Rosalinda se sentait bien avec Sir Collins, elle avait l’impression d’être dans la maison depuis des années.

Mais, alors qu’elle pensait cela, l’homme se referma sur lui, lâchant les mains de la jeune femme qu’il avait dans les siennes.

J’ai fait quelque chose de Mal ? Son regard n’est plus dans le mien, il est devenu froid...

Elle comprit à cet instant qu’ils étaient dans une position peu convenable et qu’il avait juste établis la hiérarchie qu’il y avait entre eux. Il était le maître de la maison, il n’avait pas à être aussi proche de la femme de chambre. Au départ, Rose’ fut attristée, hochant la tête négativement. Elle n’avait pas entendu cela le premier jour mais elle ne se risquerait plus à venir par ici. La tête baissée, elle se lançait des jurons intérieurement, puis, elle releva la tête avec surprise quand il indiqua que sa façon de jouer lui n’était pas indifférente.

Elle avait remarqué son ton de voix, sa posture, si Rosalinda Crown ne pouvait pas parler, elle avait appris à regarder, à sentir quand quelque chose n’allait pas. Elle aurait voulu lui montrer un signe de compassion, lui montrer qu’elle était si jamais ça n’allait pas. Elle voyait ses yeux bleu embuée de larmes.

Il semble si rude mais ce n’est qu’une carapace...C’est un homme charmant qui cherche à se protéger.

Elle continua de le regarder, puis, elle prit dans sa poche de robe, son carnet et son crayon de bois. Inscrivit une phrase de son écriture arrondie, arracha le morceau de papier et lui tendit.

Mêmes les chevaliers dans leurs armures sont blessés quelque fois, mais ils en ressortent plus fort.

Avait-elle écrit.

Elle ne savait pas si elle devait partir ou non, si ce n’était qu’elle, elle aurait voulu le saluer et repartir à ses tâches, mais quelque chose au fond d’elle lui refusait de bouger. Elle devait rester là, à le regarder, s’approchant de plus en plus de cette carapace pour y découvrir le véritable Sir Collins. Si sa maîtresse était là, aucun doute qu’elle n’aurait pas toléré cela, même si elles s’appréciait toutes les deux.






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MessageSujet: Re: [ Bartholomew ] The day I first met you [ Bartholomew ] The day I first met you Icon_minitimeMar 8 Nov - 11:19


Rosalinda Crown & W. Bartholomew Collins
La panique de la jeune femme, son regard désolé déjà embué et effrayer à l'idée d'avoir fait une bêtise avait empoigné le cœur de Bartholomew qui s'était précipité pour la réconforter. Lui indiquant que ce n'était rien, rien de grave du moins. Ses mains dans les siennes, sa peau n'était pas douce, elle était même sèche. C'était bien dommage, cela ne correspondait pas à son visage qui lui semblait si doux. Mais elle était employée de maison, elle ne flânait pas sans but réel comme sa sœur. Et ses mains témoignaient de son dur labeur. Bartholomew se remit alors à sa place, oubliant un instant qu'il était face à une employée. Il savait bien ce qui se disait sur lui, du moins il s'en doutait quelque peu. Et la jeune femme bien que nouvelle dans la maisonnée devait avoir eueut vent de son caractère fort détestable. Pourtant jusque-là, il lui avait montré son bon côté, pourquoi ? Il l'ignorait lui-même. Pourtant jusque-là, il lui avait montré son bon côté, pourquoi ? Comme ci avec elle, il n'avait plus besoin de se cacher. Mais il ôta cette idée de sa tête et avait fait un pas en arrière, ses mains dans son dos. Il se laissa même aller à une confidence, décidément, elle agissait étrangement sur lui. L'observant alors griffonner sur un carnet. Maddie lui avait parlé de cela. Elle était muette, et même si jusque-là, il l'avait quelque peu oublié. Il se souvint aussi que sa fiancée lui avait confié que la demoiselle s’exprimait via des mots sur un carnet. Il attendit sagement qu'elles lui tendent alors le papier.

Son regard sur les mots écrits là face à lui. Ses yeux déjà embués semblaient d'avantage se troubler. Comment de simples mots pouvaient être si touchants. Elle n'avait ce pas la parole, mais elle avait bien plus et il le constatait via ce papier. Rosalinda, de son prénom, le perçait à jour. Et c'était agréable, plus qu'il ne l'aurait jamais imaginé. Même Maddison n'avait jamais complètement réussi à le comprendre bien qu'elle essayait. Et Aurora, n'en parle pas, elle ne cherchait même pas. Mais cette jeune femme-là, en quelques minutes, elle avait trouvé la brèche qu'il avait lui-même laissée entre voir et elle avait su observer. C'était si rare dans ce monde. C'était touchant. Le jeune Lord avala alors sa salive difficilement et assez bruyamment, comme pour ravaler ses sentiments étranges qui l'animaient alors. Puis il releva le visage vers la jeune femme de chambre. Lui tendit son carnet pour qu'elle le récupère. Il inspira et expira fort alors que le carnet quittait ses doigts, comme soulager d'un poids certain. Il quitta sa position, laissant ses mains toujours dans son dos, droit. Son regard dévia de la jeune femme pour se poser sur la multitude d'étagères présente et bondées de jouets et objets divers de sa fabrication. Avançant jusque vers le mur face à lui, il se retourna, un léger sourire des plus sincère sur le visage.

« Vous aimez cette pièce . Ses objets ? Si tel est le cas alors soyez la bienvenue dans mon atelier. Quand vous le souhaitez, quand vous en avez besoin, j'aimerais que vous puissiez ici vous sentir bien. »

Sa voix était pleine d'émotion. Il se retourna une nouvelle fois, tendit un bras vers l'étagère face à lui pour ouvrir un coffre en bois sculpté et peint. Une légère musique en sortie, douce, agréable. Il sortit une clef et refera le coffre, y taisant la mélodie. Faisant face de nouveau à Miss Crown, il tendit la clef d'un geste un peu plus brusque que ce qu'il aurait à la base souhaitée. Et son froncement de sourcils indiquait son mécontentement passager de ne savoir être plus doux.

« Tenez, ainsi vous pourrez entrer à votre guise. Je ne vous demanderais qu'une chose. De ne pas chercher à ouvrir cette armoire-là. Et de ne pas toucher l'étagère juste à côté. »

Son autre bras indiqua alors les recoins interdits. Là où reposaient en réalité tous les objets qu'il avait créés pour sa défunte soeur Kathleen. Son visage se baissa un instant, ému de poser ses yeux sur les peluches cousues de ses mains pour elles qui trônaient sur une étagère aux côtés de la dit armoire. L'homme ignorait si tout cela n'était pas trop étrange ou déplacé, mais depuis Kath personne n'avait semblé si fascinée par ses créations. Et cela le touchait alors il voulait donner en retour de ce qu'elle lui avait offert alors. Ce regard innocent et émerveillé.
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MessageSujet: Re: [ Bartholomew ] The day I first met you [ Bartholomew ] The day I first met you Icon_minitimeDim 13 Nov - 13:54

[quote="Rosalinda Crown"]
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Les mots qu’avait écrit Rosalina était vrais. Elle tentait de montrer à son nouveau maître qu’elle comprenait sa souffrance, quoi qu’elle soit et d’où qu’elle vienne. Elle savait qu’elle ne pouvait rien n’y faire et qu’elle n’avait même pas le statut de savoir les raisons de l’humidité soudaine des yeux de Sir Collins. Elle voulait simplement lui donner comme devise, qu’il pourrait garder en lui les jours où il irait mal.

Cette phrase l’avait vraisemblablement mis mal à l’aise et Rosa s’en excusa intérieurement.  Elle avait repris son carnet pour le mettre dans sa poche avant de regarder son maître à nouveau qui lui, avait quitter son regard pour se poser sur les étagères de la pièce. Il avait alors quitté Rose pour s’installé près d’un des murs de la pièce. Il avait alors autorisé la jeune femme à venir ici quand elle le voulait. La surprise marqua le visage de la jeune femme. Pourquoi elle ? Elle n’avait rien fait de particulier, elle avait même cassé un jouet de sa création. Il ne l’a regardé pas, il ne pouvait pas voir qu’elle lui demandait du regard la raison de ce traitement de faveur.

Elle continuer de le regarder, tandis qu’il laissa une boite à musique fonctionné. La jolie mélodie ne pouvait empêcher Rosa’ d’être bien, un léger sourire s’était dessiner sur les lèvres de la femme de chambre. Elle avait ensuite vu son maître, toujours encré d’émotion, lui tendre la clé de cette boite. La surprise se lisant toujours sur son visage.

Elle avait hésité un moment avant de s’avancer vers lui pour prendre la petite clé, elle décrocha alors son collier qu’on lui avait offert à l’orphelinat, et glissa la clé sur la chaine. La petite clé se mit alors à côté de sa croix, puis elle le remit à son cou en souriant. Elle voulait lui montrer qu’elle l’a gardé contre elle et avec elle tous le temps. Cela serait leur petit secret. Elle continua de le regarder, voyant toute sa tristesse sur son visage, elle prit alors un des mouchoirs en tissus qu’elle avait tout juste finit de coudre elle-même. Elle osa prendre la main du lord, y déposa le mouchoir et ferma son poing. Comme pour le réconforter du mieux qu’elle pouvait car elle ne pouvait pas s’autoriser grand-chose, ni d’être proche avec lui. Même ils l’étaient devenu bien vite avec cette clé et ce privilège de venir quand elle le voulait.










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