Sujet: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe Mar 16 Mai - 13:25
Liebe Zuckerman
« I would rather be a rebel than a slave »
FT. CAREY MULLIGAN
CARTE D'IDENTITÉ
Nom : Zuckeman. Prénom(s) : Liebe. Âge : Trente ans. Groupe : Bourgeoisie.
Nationalité : Anglaise bien que née de parents juifs allemands. Lieu de naissance : Londres. Date de naissance : 4 Octobre 1860. Situation Civile : Célibataire, vieille fille, dira-t-on. Religion : Juive. Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle. Profession : Médecin au New Hospital for Women et biologiste, membre du laboratoire de recherches de son père. Quartier Résidentiel : City of London. Activités Illicites : Pratique des avortements.
Jolie petite histoire...
Elles sont trois. Les trois filles Zuckerman qui égaient la demeure familiale de Londres depuis leur naissance. Il y a d’abord la plus jeune, Miriam, née en été1870. Oh c’est un véritable rayon de soleil ! Une enfant toujours souriante et avec un mot gentil à dire, de magnifiques boucles blondes et des yeux d’un bleu éclatant : parfait réplique de sa mère. Depuis le berceau, on s’émerveille devant les traits fins de Miriam qui, d’un battement de cils, fait craquer n’importe qui. L’entourage est charmé par les jolies aquarelles qu’elle réalise avec tant d’application et de délicatesse. Pourtant Miriam est d’une timidité maladive, ne sait comment parler en société et garde, en présence d’inconnus, presque toujours le silence. Nous avons ensuite la cadette, Raizel, qui a vu le jour au printemps 1875. Son épaisse chevelure châtain est toujours bien coiffée, sa toilette ajustée et surtout, à la dernière mode. Jamais vous ne verrez Raizel porter une robe démodée, jamais ! Raizel, c’est une mondaine, elle se plait dans les bals à danser jusqu’au petit matin. Elle sait mener une conversation, et lorsqu’on l’entend sans réellement l’écouter, on pourrait presque croire qu’elle est intelligente. Ce n’est pas le cas, Raizel est ce qu’on pourrait appeler une sotte mais est-ce si grave ? Bien sûr que non, vous dira Mme Zuckerman, car au moins, sa cadette est bien mariée : preuve absolue de la réussite féminine. Et Liebe ? Me demanderez-vous.
Liebe, elle est un grain de sable dans le mécanisme du model sociétal mis en place depuis des siècles.
Liebe, elle n’a jamais été intéressée par les poupées et les toilettes, faisant la moue lorsqu’elle recevait une ravissante dinette de porcelaine fine pour son anniversaire. Liebe, elle s’est vite tournée vers les livres, au début sa mère la guidait vers des romans, vers des lectures « convenables » pour une fille avant de s’émanciper rapidement. Elle se glissait, tard le soir, dans la bibliothèque paternelle pour emprunter un ouvrage qui, bien que largement trop compliqué pour une petite fille de huit ans, la fascinait. Elle est devenue ce fils que Friedrich Zuckerman n’a jamais eu, celle à qui il pourra transmettre sa passion : celle des sciences et plus précisément de la médecine. Professeur de médecine et chercheur en chimie à St Thomas’ Hospital (un des campus du King’s College of London), il voulait quelqu’un auprès de qui il pourrait s’épancher sur son métier, ses lectures et ses voyages. Liebe était l’oreiller parfaite. Le sexe de l’enfant n’a jamais été, aux yeux de Friedrich, un problème. Il est loin des pensées arriérées de ses pairs et a toujours encouragé son aînée dans ses inclinations pour les sciences qu’elles soient médicales ou bien chimiques. Alors que Raizel s’épanouissait dans les soirées mondaines et les tea parties, que Miriam usait de ses délicats pinceaux pour ravir les yeux, Liebe passait ses journées enfermées dans la bibliothèque à lire. Au grand damn de sa mère ! Oh ce que Hannah était désespérée de voir sa fille aînée ainsi désintéressée des occupations respectables d’une jeune fille de la bonne société. Combien de fois les parents Zuckerman se sont-ils querellés sur l’avenir de leur première fille ? Elles sont si nombreuses que la maisonnée s’en est acclimatée, n’y faisait même plus attention. Pendant toute son enfance et son adolescence, Liebe est l’ombre de son père, le suivant partout ou presque. Il l’emporte avec lui en France, à des conférences. Lorsqu’elle est jeune, on ne sourcille pas mais en grandissant, une jeune fille sur les bancs d’une université, dérange. Alors on prétend que Friedrich a une terrible entorse du poignet, l’empêchant de prendre des notes, tâche qui revient donc à sa fille. Le père et la fille sont complices, les moments en tête-à-tête ayant fortement resserrés leur lien. A vingt-et-un ans, elle est sur les bancs de la London School of Medicine for Women ; première faculté de médecine anglaise pour les femmes, fondée sept ans plus tôt par Sophia Jex-Blake et Elizabeth Garrett Anderson. Liebe se plonge corps et âme dans ses études, constamment encouragée par un père on ne peut plus fière de sa fille aînée. Le chemin est semé d’embuches, bien que depuis le « Médical Act » de 1876 autorise toutes personnes, peu importe le sexe, à devenir médecin, les femmes restent peu considérées dans cette branche. Les études sont éprouvantes, aucun répit n’est laissé aux jeunes étudiantes de médecine ; les règles sont strictes, les directrices, notamment Jex-Blake, sont intransigeantes. Cela ne dérange pas Liebe, dans ce siècle d’innovations, on ne facilite pas l’émancipation des femmes et quand bien même on obtient un diplôme de médecine, encore faut-il être inscrit sur le registre des médecins. Toujours des batailles, beaucoup de défaites mais quelques petites victoires. Elle a eu de la chance, Liebe, d’avoir derrière elle un père qui a tout fait pour lui ouvrir les portes fermées du monde scientifique. Même si le Professeur Zucherman l’a aidée, la jeune femme doit surtout ses victoires à elle-même ; car l’influence de son père ne pouvait pas tout, faire ses preuves : voilà ce qu’il fallait. C’est exactement ce qu’elle a fait, réussissant brillamment ses études cliniques au Royal Free Hospital : premier hôpital universitaire à autoriser les femmes en formation. Elle a vingt-six ans lorsqu’elle atteint son objectif. Son chemin semble plus ou moins tracé et elle est embauchée au New Hospital for Women, fondé par l’une des directrices de la London School of Medicine, Elizabeth Garrett Anderson. Donner des soins aux femmes les plus pauvres, soins prodigués par des femmes. Une révolution. Une première. Toujours sur les pas de son père, elle se lance en parallèle dans la biologie ; voie peu ouverte aux femmes mais qu’importe ! Liebe a l’habitude de briser les murs, de les faire s’effondrer. Encore une fois, son père lui sert de mentor, l’aide dans ses recherches et l’introduit auprès de scientifiques parfois bien réticents à parler sciences avec une femme, bien que médecin. Une thèse sur la bacille de Koch (responsable de la tuberculose, bacille au nom de Robert Koch) découvert en 1882. Dans sa tête, la folle envie d’éradiquer la terrible maladie qu’est la tuberculose.
Et alors qu’elle s’épanouie dans ses recherches, son emploi de médecin et auprès de son père, la mère désespère. A trente ans, son aînée n’est toujours pas mariée, pire encore ! On n’a jamais vu l’ombre d’un quelconque prétendant. Tandis que Raizel a épousé un industriel riche (et juif, un soulagement pour Hannah) et a déjà deux fils de deux ans et huit mois, Liebe fronce les sourcils lorsque sa mère tente de l’attirer dans l’un de ses pièges. La mère et la fille se disputent, le père reste en dehors et bien souvent, Raizel met son grain de sel lorsqu’elle est présente. Mme Zuckerman ne ressent aucune fierté devant sa fille diplômée, seule l’élévation sociale compte, à la grande exaspération de Liebe. Tant pis, elle n’a nullement besoin de l’avis ou de l’approbation de sa mère et n’en aura jamais besoin.
CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT
Elle a les mains pleines de sang, Liebe, mais cela ne la rebute pas. Cela ne l’a jamais rebutée. Ce liquide écarlate et brûlant, source de vie, qui la fascine depuis son plus jeune âge. Elle n’a jamais été comme ses deux autres soeurs, Liebe, ne s’intéressant pas aux toilettes et aux bals. Les livres et les sciences, voilà ce qui l’intéresse. Elle a la tête sur les épaules, fait toujours preuve d’un grand pragmatisme. Être née femme pourrait être un frein, son sexe pourrait la limiter mais Liebe est une entêtée qui obtient toujours ce qu’elle veut. Devenir médecin ? Elle le voulait et elle l’a fait. Liebe est cultivée, sûrement beaucoup trop pour une femme, diront certaines mauvaises langues. C’est sa soif d’apprentissage, de liberté, qui ont toujours régis la vie de la jeune femme et non pas la bienséance et le patriarcat comme le voudrait l’époque. Elle se proclame socialiste, s’intéresse à la vie politique ; s’attirant souvent les remarques un peu acerbes d’une mère exaspérée par le comportement peu « féminin » de son aînée. C’est une mélomane mais n’aime pas jouer. Elle a pourtant eu droit à une éducation musicale, sa mère pensant qu’ajouter « joue du piano » sur la liste des quelques qualités de Liebe, lui apporterait un mari. Dans la demeure familiale, plusieurs langues sont parlées au quotidien : l'anglais, bien évidemment. L'allemand, était la langue maternelle de Friedrich et Hannah Zuckerman, mais également le yiddish, langue des juifs ashkénazes. Puis le français, celui-ci principalement enseigné aux filles Zuckerman pour qu'elles puissent "briller" en société. Mais des trois enfants, Liebe est celle qui le maîtrise le mieux, notamment grâce à ses lectures assidues. Liebe n'a pas la fibre maternelle, elle saura s'occuper médicalement d'un enfant mais ne lui laissez pas un de vos charmants bambins entre ses mains pour s'en occuper d'une autre manière. D'autant que les enfants ennuient profondément la jeune femme, notamment les bébés. Elle met souvent les pieds dans le plat, n’ayant pas peur de choquer les esprits, de secouer les moeurs bien trop ancrées de cette société dans laquelle ils vivent. On l’aime ou on ne l’aime pas, Liebe, mais elle ne laisse jamais indifférent.
CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES
Ses cheveux châtains sont souvent décoiffés, des mèches folles s’échappent régulièrement du chignon dans lequel sa chevelure est ramenée. Plus jeune, déjà, il était impossible de discipliner l’épaisse crinière de la jeune femme et cela désespérée sa mère. Pas même sur les sérieuses photos de famille, Liebe est tirée à quatre épingle. Une robe un peu tâchée, des cheveux défaits car la gamine ne tenait pas en place, voilà l’image que donne Liebe a son entourage. Son apparence physique ne lui importe que peu, elle ne s’est, de toute façon, jamais trouvée jolie. La beauté n’est pas une chose dont elle a hérité contrairement à ses deux soeurs qui attirent les regards de la gente masculine. Liebe elle passe partout, ses vêtements sont simples et elle n’aime pas la fioriture, peu ou pas de bijoux, un chapeau basique. Elle a pourtant des yeux bruns qui brillent d’intelligence mais ce n’est pas une chose que l’on recherche chez une femme. Elle est menue, de taille moyenne et, en toute somme, banale. On ne se retournera pas sur son passage et cela lui convient parfaitement.
Dans la vraie vie, je suis...
Quel est ton pseudo ? Réponse ici. Un mec ou une fille ? Mlle, s'il vous plait ! Quel est ton âge ? Vingt-quatre ans. Comment as-tu connu le forum ? Une pub sur fb. Un avis dessus : Il a l'air chouette. As-tu un DC ? Nop. Pv/scénario/Inventé ? Inventé. Code de validation : [Validé par Amy !]
Amy est très douée dans son domaine, la couture. ⊹ Ressentais une profonde frustration envers son mari durant les cinq précédentes années, ce qui l'incitait à accepter plus facilement les avances d'autrui. ⊹ A des tendances névrosées et borderline. ⊹ Ne supporte pas/ou difficilement les enfants en bas âge. ⊹ Apprécie la compagnie de l'alcool et du tabac bon marché. ⊹ Est d'une grande immaturité. ⊹ Très facilement morte de jalousie en compagnie d'autres femmes. ⊹ Manque de confiance en elle-même et a souvent besoin qu'on la rassure sur son apparence. ⊹ Passe beaucoup trop de temps devant le miroir à peigner ses très longs cheveux noirs. ⊹ Femme de Felix J. Adler. ⊹ A ouvert récemment un bordel de luxe dans un vieil hôtel rénové de Whitechapel. Avatar : Eva Green Quartier Résidentiel : Londres Messages : 3210Date d'inscription : 17/09/2016
Sujet: Re: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe Mar 16 Mai - 13:30
Bienvenue !
Je te remercie mille fois de ton intérêt pour le forum, nous en sommes toutes très heureuses ! Cependant, Jenna Coleman est déjà prise, il faudrait que tu changes d'avatar, s'il te plait. Tu peux vérifier sur le bottin.
En tout cas, une femme médecin, ça donne trooooop envie. Si tu as des questions, n'hésites pas, nous sommes toutes à ta disposition !
Indianna Peters
Âge : 25 Emploi : Servante, fille à tout faire. Informations : Se pense orpheline ➸ Es servante pour Miss Bolton au bordel depuis toujours ➸ Est en réalité la fille illégitime de M. Harrington. Mais ignore tout, évidement ➸ Est sous la protection de Miss Bolton pour une obscure raison, mais la considère comme une mère. Même si cette amour n'est pas réellement réciproque ➸ Travail très dure chaque jour, mais ne s'en plein jamais ➸ Ne sais pas lire mais tente d'apprendre seule ➸ Parle assez peu, mais écoute beaucoup ➸ Peu avoir un tempérament de feu. Pourtant la plupart du temps elle sera douce, agréable et serviable ➸ Malgré son corps de femme c'est une enfant qui à grandi trop vite ➸ Son plus grand plaisir, courrir dans les champs sous la pluie. Ce sentir libre et sans attache ➸ Est "amoureuse" d'un homme qu'elle ne connais pas an réalité ➸ Dessine parfois le soir à la lumière d'une bougie, quand Morphée lui refuse ses bras. Avatar : Sophie Turner Quartier Résidentiel : Londres Messages : 482Date d'inscription : 29/09/2016
Sujet: Re: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe Mar 16 Mai - 13:33
Bienvenue parmi nous, merci de nous avoir rejoint Si tu as besoin d'aide pour te trouver une nouvelle tête, hésite pas à demander. Bon courage pour ta fiche, ton personnage promet en tout cas
Invité
Invité
Sujet: Re: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe Mar 16 Mai - 14:07
Amy : comme une débile, j'ai pas fait gaffe que y'avait deux listes séparées. #boulet Mais le petit souci d'avatar est résolu. J'ai également changé le prénom, le premier n'allait pas avec la tête de Carey. Et ouai, une médecin & feminazi. On va faire cramer le patriarcat.
Indianna : Merci beaucoup.
Felix J. Adler
Admin
Âge : 38 Emploi : Horloger Royal. Informations : Souffre d'un autisme d'Asperger • Dyslexique • Est obsédé par son métier • Rêve de travailler sur l'horloge de Big Ben. • Insomniaque. • Parle peu • Se sent mal à l'aise dans une foule • A quelques bases d'Allemand et de Français • A le corps glacé et est d'une pâleur à faire peur • Origines Juives • Possède une Pamphobeteus Platyomma mâle pour animal de compagnie • Est le mari d'Amy S. Adler. Avatar : Johnny Depp Quartier Résidentiel : Lambeth. Messages : 3763Date d'inscription : 14/09/2016
Sujet: Re: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe Mar 16 Mai - 14:29
Bienvenue ! Si tu as des questions, n'hésite pas !
Devlin Stanton
Âge : 40 Emploi : Détective / Gentleman-Cambrioleur / Chasseur de créatures surnaturelles. Informations : -1m75 (5’’74), 73 kg (167 lbs)
-Yeux ambre
-Détective depuis 11 ans. plus par passion et goût du défi que pour en vivre.
-Est devenu gentleman-cambrioleur, laissant sur les lieux de ses forfaits une carte: un valet de cœur, ce qui lui vaut le surnom, par les journaux, de "Jack of Heart" ("Valet de Cœur" en anglais.)
-A créé, avec Lydess Hentswig et Katherina Romanov, la Fondation Luna, un groupe de gens qui affrontent les dangers surnaturels.
La Fondation recrute de nouveaux protecteurs ayant assez de courage pour affronter l'inconnu.
-Jamais marié, aucune descendance... du moins, connue.
-Possède un Doberman nommé Athos dont il ne se sépare jamais.
-Asocial et légèrement misogyne en apparence. En réalité, égalitaire.
-Pratique la lecture labiale
-Est devenu le tuteur de Joséphine par la force des choses.
-Fume la pipe uniquement en soirée, la porte à la bouche non allumée pour réfléchir.
-Excellent tireur et virtuose du combat à mains nues, alliant boxe, savate et techniques de lutte. manie aussi la canne de combat et la rapière.
-Musculature fine mais très dense et efficace, doté d'une force insoupçonnable pour son gabarit et d'une grande résistance aux coups.
-Très discret, marche toujours sans faire de bruit et sait observer sans être repéré.
-Siffleur musical de talent et bon chanteur. A une ouïe bien entrainée.
Avatar : Robert Downey Jr Quartier Résidentiel : The Strand Messages : 1025Date d'inscription : 26/11/2016
Sujet: Re: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe Mar 16 Mai - 14:48
Hello to you! Bienvenue chez les fous!
Je te souhaite une bonne fifiche et j'espère que tu vas bien t'amuser!
Invité
Invité
Sujet: Re: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe Mar 16 Mai - 15:20
Merci beaucoup.
Joséphine E. Morel
Âge : 28 Emploi : Officiellement aucun, officieusement romancière. Informations : ◈ Fiche de présentation
◈ Fiche de liens
◈ Mes RPs
✎ Eugène Morel est le pseudonyme utilisé pour signer ses romans.
Joséphine est féministe et fait de ses convictions le sujet principal de ses romans.
Habite la demeure du cousin de son père, M. Devlin Stanton, dans The Strand.
Afin de mousser son inspiration pour ses romans, Joséphine s'habille parfois en homme pour se promener incognito dans les rues de Londres. Avatar : Helena McKelvie Messages : 1620Date d'inscription : 25/11/2016
Sujet: Re: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe Mar 16 Mai - 16:11
POUVOIR AUX FEMMES!!!
Bienvenues à toi
W. Bartholomew Collins
Âge : 38 Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois. Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞ Avatar : Tom Hiddleston Quartier Résidentiel : Londres Messages : 351Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe Mar 16 Mai - 18:03
Bienvenue parmi nous, bon courage pour la rédaction de ta fiche. Hâte de te lire et de te voir en jeu. Une femme forte c'est super sympa comme personnage
Fergus Lynch
Âge : 36 Emploi : Fondeur Informations : Orphelin déposé au seuil d'une institution quelques semaines après sa naissance ✘ Ignore tout de ses origines, et n'y accorde aucune importance ✘ Fraie dans le monde de la petite délinquence depuis sa plus tendre enfance ✘ Ancien chef d'une bande gosses aventureux, à présent dissolue ✘ Suite à ça, a passé plusieurs mois en maison de correction ✘ La mort d'un de ses meilleurs amis, atteint de syphilis, a suffi à le convaincre de ne pas s'approcher des prostituées, règle qu'il suit toujours ✘ A fondé la Tribu, gang des rues sévissant à Whitechapel, dont il connait les moindres recoins ✘ Participe régulièrement à des combats illégaux organisés dans des bars, desquels il tire un joli pactole, ainsi que quelques petites cicatrices sur tout le corps ✘ Amateur d'armes blanches, il se sépare rarement de son couteau de boucher, tout comme de son vieux chapeau melon ✘ Se moque bien des forces de police, avec lesquelles il n'hésiterait pas à en découdre ✘ Ne voue que mépris à l'aristocratie et aux autres parvenus, mais grâce aux paiements reçus en échange de l'aide de son gang, il recrute de plus en plus d'adeptes, et accroît l'influence de la Tribu : son ambitieux objectif n'est autre que de faire tomber sous sa coupe Whitechapel et Southwark, pour mieux leur donner un second souffle, ainsi qu'une capacité de réponse envers les injustices infligées par les strates plus aisées de la société. Avatar : Michael Fassbender Quartier Résidentiel : Les bas quartiers de Whitechapel, son modeste fief Messages : 365Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe Mar 16 Mai - 21:49
Bienvenue Liebe !
Ton perso est très enthousiasmant Avec toutes les féministes du forum, et Elizabeth, tu ne vas vraiment pas t'ennuyer
Et Carey est si choute :
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Sujet: Re: As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe
As long as she thinks of a man, nobody objects to a woman thinking. ✖ Liebe