« Can’t get you out of my head. » ♦ Barth X Felix [-18]



 

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« Can’t get you out of my head. » ♦ Barth X Felix [-18]

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Amy S. Adler
Amy S. Adler

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Amy est très douée dans son domaine, la couture. ⊹ Ressentais une profonde frustration envers son mari durant les cinq précédentes années, ce qui l'incitait à accepter plus facilement les avances d'autrui. ⊹ A des tendances névrosées et borderline. ⊹ Ne supporte pas/ou difficilement les enfants en bas âge. ⊹ Apprécie la compagnie de l'alcool et du tabac bon marché. ⊹ Est d'une grande immaturité. ⊹ Très facilement morte de jalousie en compagnie d'autres femmes. ⊹ Manque de confiance en elle-même et a souvent besoin qu'on la rassure sur son apparence. ⊹ Passe beaucoup trop de temps devant le miroir à peigner ses très longs cheveux noirs. ⊹ Femme de Felix J. Adler. ⊹ A ouvert récemment un bordel de luxe dans un vieil hôtel rénové de Whitechapel.
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MessageSujet: « Can’t get you out of my head. » ♦ Barth X Felix [-18] « Can’t get you out of my head. » ♦ Barth X Felix [-18] Icon_minitimeMer 21 Juin - 17:21


Can’t get you out of my head.

« Amy écrit sur comment Barth et Felix pourraient redevenir amis. »

Expliquer pourquoi ces deux hommes se trouvaient confiner dans ce vaste sous-sol serait beaucoup trop tortueux pour être pleinement analyser. Cependant, je peux vous en résumer les premières lignes. Assommée de l’inimité entre les deux anciens amis qu’étaient Mr Collins et Mr Adler, bien qu’elle eut du sens, Amy décida de les enfermer dans la cave. Tout simplement. Les forcer à porter un pyjama à deux aurait été une autre bonne idée, mais à elle toute seule, aucune chance qu’elle ait pu mettre son plan à exécution. C’est ainsi qu’elle les endormit tous les deux, et qu’elle les posa sur un vieux canapé qui se trouvait ici-bas, entouré de multiples autres bricoles autant utiles à Felix qu’à Amy. Le premier à se réveiller fut le brave et charmant Barth, qui, loin de ses précautions de noble, ressemblait enfin à quelque chose d’humain. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre ce qu’il se passait. La dernière fois qu’il avait eu les esprits clairs, Amy lui avait offert un café chaud. Que diable avait-elle pu mettre dedans? Mais ce qui le conforta dans son accusation, c’était la présence de Felix à ses côtés, qui ronflait à n’en plus pouvoir. L’alcool comme l’usage de drogue autre que le somnifère semblait avoir des effets plus que néfastes sur l’horloger, à noter.

Se prenant la tête entre ses mains, Barth entendit plus qu’il ne sentit Felix lentement se réveiller. Aucun problème de son côté, il reconnaissait parfaitement la cave qui se trouvait en sa possession. Il avait cependant plus de mal à comprendre ce que faisait son désormais ennemi de toujours, Mr Collins, à ses côtés. Encore un mauvais coup d’Amy. Il ne croyait pas qu’elle en était arrivée à cette extrémité pour les rapprocher. Soupirant, il ne put que sortir une montre de sa poche pour se rassurer au doux son des tic-tacs. Accepter un nouveau thé de la part de sa femme adorée alors être désormais bien plus compliqué.  Refusant d’adresser la parole à Barth, ne serait-ce que pour lui demander ce qu’il venait foutre dans cette galère, ce dernier ouvrit le premier la conversation:

- On ne sortira pas tant qu’on ne sera pas redevenu ami...j’en ai bien peur.

Ce n’était plus de la peur, à ce niveau là, c’était à un niveau de lassitude extrême qui n’avait rien à envier à la terreur la plus totale. Restant chacun silencieusement de son côté du canapé, le noble se retourna finalement vers l’horloger.

- S’il vous plait...je n’ai pas que ça à faire de mes journées.

- Moi non plus.

La réponse était sec et sévère. Felix était quelqu’un de patient, et il savait qu’il suffisait d’attendre que sa merveilleuse femme ait envie d’un câlin de sa part pour qu’elle lui ouvre la porte sans attendre une seule seconde de plus. Il n’avait donc aucune envie de faire l’effort de se rapprocher au noble. Ce dernier, face à la glaciale attitude de son ancien ami, finit par soupirer en marmonnant pour lui même:

- Je me demande bien ce qu’elle a pu vous trouver, tout de même…

Mais c’était mal connaître Felix, qui se retourna aussitôt et le fusilla du regard:

-PARDON ?!

Barth se retourna très tranquillement et affronta le regard magnétique de son interlocuteur, d’une lueur si spectrale et surnaturel qu’il lui en donnait des frissons.

- Amy...m’a toujours dit que vous étiez quelqu’un de merveilleux, et si elle s’est jetée dans mes bras, c’est parce que vous l’ignoriez malgré son amour pour vous ! Je ne suis pas stupide, mais je ne lui en veux pas...néanmoins, je ne comprends pas ce en quoi vous pouvez être aussi merveilleux ! Vous ne lui arrivez pas à la cheville, niveau compréhension.

Felix se retint de lui sauter à la gorge pour en finir une bonne fois pour toute. Cela ne plairait pas du tout à Amy, et il n’avait pas envie de remarcher jusqu’à Bessac une deuxième fois.

- Nous avons déjà eu cette conversation, vous ignoriez tout ce qui s’est passé entre nous. Je suis bien au courant que je ne vaux pas ma femme, mais je ferai tout ce qui est en mon pouvoir désormais pour qu’elle ne tombe plus dans des bras tels que les vôtres. Fin de la discussion.

Barth fit une moue des plus sophistiqués et regarda devant lui, cherchant à restreindre sa fierté grandissante. Car effectivement, même s’il ignorait beaucoup de choses sur la relation d’Amy avec son mari, le peu qu’il en savait -et surtout qu’il en voyait, ne lui permettait pas de répondre à sa simple question, pourquoi avait-elle choisi Felix ? Réfléchissant pour lui-même, il finit par lâcher une de ses réflexions à voix haute:

- Pourtant...nous sommes semblables…

- Répétez ça ?! Je n’ai rien commun avec quelqu’un comme vous.

- Physiquement. Nous sommes tous les deux grands, fins, avec les cheveux noirs et les yeux clairs...nous pratiquons tous les deux des métiers techniques et avons la peau pâle...nos yeux sont...enfin, les vôtres….enfin, ils sont ce qu’ils sont...hum...je dois vous avouer qu’ils m’ont toujours suscité une étrange admiration. Surtout lorsque vous vous êtes mis en colère, lors de cette fameuse journée. Ils étaient devenus presque blanc, était-ce normal?

Le noble Collins déglutit péniblement. Non pas qu’il eut peur de se retrouver confronté à la terrifiante colère de l’horloger, mais la soudaine déclaration qu’il venait de faire pouvait tellement prêter à confusion qu’il n’avait pas envie de se faire passer...pour quelqu’un d’autre. Chose qui ne manqua pas d’arriver, car Felix rougit soudainement dans l’obscurité de la cave et détourna son regard si spécial. Il était au courant que ceci le rendait particulier, mais jusqu’ici, le seul homme à lui en avoir fait le compliment, c’était Harry, bien avant qu’ils ne sachent leur lien de parenté. Il grogna alors tout simplement :

- Oui. (et par politesse, il rajouta, ce qui n’était pas totalement faux) Vous aussi vous avez des yeux...intéressants.

Toujours aussi doué pour faire des compliments, mais cela ne déplut étrangement pas à Barth qui en rougit à son tour. Il n’était visiblement pas insensible à cette étrange situation. Tous les deux, enfermés dans une cave avec seul échappatoire de se laisser aller à la sympathie et à l’amitié. Il y était en tout cas sur la bonne piste. Felix, trop nerveux pour tenir en place, se levant et fit quelques pas avant de placer sa montre contre son oreille. Cela fit sourire Barth, qui trouvait cela drôle. Voulant continuer sur une voie plutôt agréable et humoristique, il fit:

- Vous savez, nous les nobles, nous devons tellement ne montrer aucune émotion plus haute que l’autre que je suis certain que mon coeur doit battre avec la même régularité qu’une de vos montres.

Felix haussa un sourcil de doute, tandis que Barth ponctua sa phrase d’un rire qui se voulait léger, même s’il commençait à son tour  à devenir très nerveux. Son coeur n’allait certainement pas être aussi précis qu’il se vantait, avec tout ça. Mais dans son grand premier degrès, Felix se rassit sur le canapé, suffisamment près du noble pour que celui-ci puisse sentir leurs cuisses se toucher. Mais ce qu’il ne voulait, ce n’était pas sa jambe, mais poser son oreille contre le coeur de Barth. Au diable les convenances, ce n’était pas une remarque mais presque un défi à son métier qu’il lui avait lancé. L’horloger était placé de tel sorte qu’il encadrait le torse de Collins avec les bras, à tel point que le souffle de ce dernier s’accéléra. Il n’avait pas tellement l’habitude d’une telle proximité avec un homme, bien que son intérêt pour eux ait légèrement grandi avec les années. Il se questionnait jour après jour, surtout depuis qu’Amy ait coupé les ponts «intimes» entre eux. Son coeur se mit donc à battre la chamade, cependant à un rythme plus régulier que ce qu’aurait pu être un coeur standard, éducation de noble oblige. L’horloger se redressa donc et fit un sourire méprisant à l’égard de son interlocuteur:

- Vous ne battez pas les secondes au bon rythme, vous êtes au minimum trois fois trop rapide, c’est décevant.

Il n’avait aucune intention d’être aimable avec celui qui avait touché à sa femme. Mais alors qu’il allait s’écarter de Barth pour reprendre sa place initiale sur le canapé, Collins lui saisit le poignet et murmura :

- Attendez.

Pour finalement se baisser à son tour et écouter le coeur de Felix. Ce dernier ne battait pas non plus correctement les secondes, et tenait une course bien plus rapide que ce qu’il ne laissait percevoir de l’extérieur. Cette observation lui fit faire un bond dans son coeur, comme si cela avait une importance quelconque. Il redressa alors la tête pour que celle-ci soit proche de celle de l’horloger, leurs souffles se mélangeaient avec une extrême douceur. Leurs chaleurs stressantes se fusionnaient tandis que leurs regards clairs se croisaient, l’un chargé d’incompréhension et l’autre d’une quête muette. Finalement, Barth se mit à comprendre ce qui avait poussé Amy à rester avec Felix. C’était d’une évidence silencieuse, quelque chose qui ne se disait pas, mais qui se comprenait lorsque l’on restait suffisamment proche de lui. La perfection physique d’Amy était au miroir même de celle de Felix. Mais même s’il commençait à comprendre, il lui en fallait soudainement plus. Davantage. Comprendre au plus profond de la chose, pas seulement une apparence. Sans prendre le temps d’une demande, il embrassa Felix.

Ce dernier voulut l’arrêter, ne comprenant pas ce qu’il se passait. Il avait l’impression de revivre une désagréable situation. Néanmoins, il pouvait sentir l’onctuosité des lèvres presque féminine de Barth. Cette douceur qui se sentait jusqu’à la caresse de cette main qui lui tenait le poignet. Il n’était que tendresse et compréhension. Chacun pouvait goûter à ce que séparément Amy avait expérimenter et apprécier en tout deux. Avec cette idée en tête, Felix eut l’impression que la chose fut plus agréable à vivre. Comme si l’expérience le rapprochait de son épouse, d’une certaine manière. Aussi rendit-il le baiser, contre toute attente. Ce qui eut l’effet d’un choc électrique dans le corps de Barth, qui se tendit aussitôt, avec appétit. La main de Collins quitta le poignet de l’horloger pour venir se poser sur sa hanche, savourant sa merveilleuse bouche avec un renouveau toujours plus curieux.

Leurs cerveaux semblaient s’être éteints pour mieux ressentir ces nouvelles émotions qu’ils découvraient ensemble. Felix se vit même passer ses mains sur les épaules de Barth, et quand ce dernier posa ses propres mitaines autour du pantalon de l’horloger, ce dernier se crispa une seconde avant de se laisser faire. Le noble ne savait pas réellement ce qu’il faisait, mais cette expérience lui avait donné envie d’en savoir plus sur Adler, bien plus. Si c’était la saveur délicate de ce baiser qui avait pu la retenir auprès de lui, que pouvait-il alors bien se cacher dans le proéminent bas-ventre de ce cher monsieur. La réponse lui vint une fois qu’il cessa d’embrasser ce dernier, jetant un coup d’oeil en bas tandis que Felix appuya subtilement sur ses épaules pour le mettre à genoux devant lui, l’oeil luisant. L’horloger n’avait pas oublié qu’il avait une vengeance à prendre, et celle-ci serait la plus agréable qu’il puisse finalement trouver.

Barth s’agenouilla très courtoisement, n’ayant pas coupé à cette silencieuse obéissance auquel il avait été noblement éduqué. Il n’arrivait pas à se remettre du choc de la découverte. Une telle créature pouvait-elle donc exister? Non pas qu’il était lui-même amoindri, bien au contraire, mais il s’était toujours trouvé dans la norme, en comparaison de cette chose qui lui affamait l’esprit. Sa langue s’en rapprocha alors, la parcourant de très légers coups, comme l’on goûte une glace d’un parfum exotique pour la première fois. Le noble parcourut l’énorme chibre de long et en large, ne se résolvant pas à le prendre en bouche. Ce ne fut que lorsqu’il tâtait le terrain du gland, le prenant très légèrement entre ses lèvres, que Felix choisit pour lui. Il lui appuya la tête très fortement afin qu’il saisisse toute l’importance du membre dans la gorge. Bien heureusement, les dents ne le gênaient plus depuis longtemps, et avait fini par devenir une source d’excitation. Le mal-être soudain de Barth à cause de cette brusquerie le mit en joie, tant et si bien qu’après quelques aller et retour plus profond en lui, toujours manœuvré par Felix sans aucune précaution, il finit par pleurer de plaisir au fond de cette noble et blanche gorge.

Quand il se retira finalement, l’horloger ne put que regarder avec satisfaction Barth à quatre pattes sur le sol, crachant le sperme qui lui restait dans la bouche pour reprendre sa respiration. Barth n’avait jamais été du genre à être un soumis, et certainement pas avec Amy qu’il prenait plaisir à posséder comme un mari tendre, solide, viril et affectueux du 19ème siècle. Mais en cette seconde, la vision et l’absorption du membre de Felix avait réveillé en lui une part d’infériorité qu’il n’avait encore jamais ressenti jusqu’ici. Quelque chose qui lui chatouillait l’estomac et qui le faisait en demander davantage. Felix, qui reprenait son souffle en savourant sa vengeance prise, ne s’attendait pas à ce que Barth se redresse aussitôt, pour lui saisir la queue de ses deux mains, car une seule ne pouvait pas en faire le parfait tour. Léchant le bout où il restait encore un peu de liquide séminal, Barth jeta son regard bleu clair dans celui, encore plus fascinant à présent, de Felix.

- ...je...je comprends...maintenant… Recommencez, s’il vous plait, Monsieur Adler...faites comme si…si j’étais Amy.

Felix fronça les sourcils, n’appréciant pas tellement la comparaison. Surtout qu’il ignorait complètement comment la chose pouvait se faire avec un homme. Lui faire plaisir en recommençant cette fellation forcée était la dernière chose qu’il voulait. Il fallait qu’il trouve un autre moyen de rendre cette vengeance plus complète encore. Finalement, l’horloger reposa ses mains sur les épaules de Barth et l’allongea complètement sur le sol glacé de la cave. Hors de question de lui rendre la chose confortable. Ce fut à son tour de baisser le pantalon du noble Collins, alors que celui-ci tremblait de tous ses membres, affamé par la perspective nouvelle. De ses doigts, Felix chercha alors un emplacement. Il n’y avait pas de vagin sur les hommes, il le saurait. Et cet entrée-ci…le rendait perplexe. Amy n’avait jamais apprécié, tant l’impressionnant membre de son mari était puissant. Voilà qui rendait la perspective plus intéressante. Cela voudra dire qu’il ne ferait pas comme si Barth était Amy, vu qu’il ne lui aurait jamais imposé. Mais là, les possibilités étaient infinis dans leur restriction. Dressant son impétueux chibre fendant l’air, il ne prit toujours aucun précaution pour son partenaire -ne sachant de toute façon pas comment faire- et commença à entrer dans la propriété privé du riche Collins.

L’intense cri qui s’en réchappa fut si jouissif dans sa douleur pour Felix qu’il continua encore plus férocement. Barth se sentait brûlant de toute ce qui pouvait exister comme émotion sur cette terre. La queue virile de l’horloger lui fouillait le corps avec une telle force qu’il faillit perdre connaissance, tandis que doucement, la peine se transforma en plaisir, tandis qu’Adler atteignait de plus en plus son point d’orgasme. Il finit par en perdre la voix, tant il criait pour exprimer toutes les émotions qui le submergeaient tel un tsunami. Comment ne pas comprendre alors ce qu’Amy pouvait ressentir quand elle couchait avec son mari? C’était à se demander si ce dernier n’était pas magique, tant son membre était porteur d’excellente et de perfection. Après plusieurs orgasmes de sa part qu’il ne put contenir sur le sol, Barth se laissa tomber, ses genoux ne pouvaient plus le porter et son arrière-train le faisait souffrir. Pour une première fois, c’était exceptionnellement intense, mais il doutait de pouvoir revivre une telle divine extase, si ne c’était avec Felix Adler. Ce dernier finit par jouir à nouveau, même si c’était moins évident qu’avec sa merveilleuse femme. L’idée de souiller le noble était suffisante pour le mener jusqu’à sa propre jouissance, bien qu’il ne pouvait s’empêcher de penser à sa Amy chérie. Quand il se retira, il tapota les petites fesses de Barth comme l’on tapote la tête d’un animal bien dressé. Puis il se redressa, remit correctement sa chemise dans son pantalon fermé et alla frapper à la porte de la cave:

- C’est bon, on est ami.

Par Amy, Adler
© plumyts 2016
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http://amolitacia.deviantart.com/
W. Bartholomew Collins
W. Bartholomew Collins

Âge : 38
Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois.
Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞
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MessageSujet: Re: « Can’t get you out of my head. » ♦ Barth X Felix [-18] « Can’t get you out of my head. » ♦ Barth X Felix [-18] Icon_minitimeMer 21 Juin - 17:41

OMG cette fanfiction choc C'est un petit bijoux et c'est marrant de voir comment tu imagine ça. Mais jamais Barth se laissera soumettre par Felix, non mais oh ! NO
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Felix J. Adler
Felix J. Adler

Admin
Âge : 38
Emploi : Horloger Royal.
Informations : Souffre d'un autisme d'Asperger • Dyslexique • Est obsédé par son métier • Rêve de travailler sur l'horloge de Big Ben. • Insomniaque. • Parle peu • Se sent mal à l'aise dans une foule • A quelques bases d'Allemand et de Français • A le corps glacé et est d'une pâleur à faire peur • Origines Juives • Possède une Pamphobeteus Platyomma mâle pour animal de compagnie • Est le mari d'Amy S. Adler.
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MessageSujet: Re: « Can’t get you out of my head. » ♦ Barth X Felix [-18] « Can’t get you out of my head. » ♦ Barth X Felix [-18] Icon_minitimeMer 21 Juin - 19:15

Amy, tu as des étranges pensées ma chérie. aah

Quant à toi, Barth, fais gaffe à tes fesses. Tu ne le sais pas encore, mais tu es déjà à ma merci. browz
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MessageSujet: Re: « Can’t get you out of my head. » ♦ Barth X Felix [-18] « Can’t get you out of my head. » ♦ Barth X Felix [-18] Icon_minitime

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