Jolie petite histoire...
C'était en juillet 1876, à Dublin que Sloan avait vu le jour. Ses parents faisaient tous deux parties de la bourgeoisie. Sa mère, Granna, était bizarre avec lui, comme si, cette dernière ne l'avait pas vraiment mise au monde. Tandis que son père, Aedan, était un homme de science pratiquant la médecine. À vrai dire, si l'enfant avait écouté les rumeurs qui couraient sur la famille Fitzgerald, il aurait compris. Il aurait compris qu'il n'était pas leur fils biologique, qu'il avait été soit adopter, soit kidnapper. Mais comme il n'avait pas tendu les oreilles, il ignorait donc ce détail.

L'ambiance familiale était assez strict, avec de tonne de règles diverses et variés. Son paternel était le seul à être très proche avec lui, aimant particulièrement le fait qu'il était intelligent. Digne d'être un homme de savoir, un futur inventeur, un grand rêveur qui pourrait faire avancer les choses. L'enfant avait une certaine logique, logique qui pouvait en détourner plus d'un. Il pouvait manipuler son entourage sans vraiment s'en rendre compte au premier abord. Mais surtout, il avait cette soif d'apprentissage ainsi qu'une curiosité insatiable. Tant que la chose l’intéressait, il pouvait apprendre a la vitesse de l'éclair, mais si cela ne l'intéressait pas, il n'arrivait pas à se concentrer.

Les premières choses que le gamin avait apprises, c'était lire, écrire et compter dans sa langue natale à l'âge de trois ans. Son écriture était un peu fouillis, voir illisible, il manquait des mots, il y avait des fautes. L'enfant s'était pourtant expliqué, ce n'était pas de sa faute, sa pensée allait juste plus vite que sa main. Lire était quelque chose qu'il avait tout de suite aimer faire. Il lissait tellement vite que lire a haute voix était une vraie difficulté. Compter était si simple ! Il n'avait pas besoin de poser les calcules pour trouver la solution, c'était comme s'il voyait le résultat se faire tout seul et il lui suffisait de 'copier' la réponse.

Vers ses cinq ans, Sloan voulait apprendre une nouvelle langue, surtout quand il était tombé sur un ouvrage dans le bureau de son père qui n'était pas en irlandais. L'homme lui avait appris que c'était de l'anglais. Alors, l'enfant avait quémandé apprendre l'anglais. Aedan n'avait que très peu hésité, avant d'engager un professeur d'anglais pour sa descendance. Le gamin n'avait pas mis très longtemps avant de comprendre le fonctionnement de cette langue nouvelle ! Si bien qu'il n'avait même pas d'accent.

En 1882, Sloan âgé de six ans avait surpris son père en train d'assassiner sa mère. L'enfant avait été de marbre, incapable de comprendre le pourquoi du comment ainsi qu'incapable de réagir. Aedan avait expliqué a son fils que ce n'était qu'une traîtresse, qu'elle les avait trahis. L'enfant n'avait pas compris. Comment aurait-il pu ? Son paternel tenait des propos incohérents, complètement paranoïaque, ayant peur de quelque chose qu'il ne comprenait pas. Sloan avait tenu le chandelier pour éclairer son père tandis qu'il creusait un trou dans le jardin pour y enterrer sa mère. Le gamin n'avait pas vraiment versé de larme, disons qu'il trouvait que cela était du gâchis d'enlever la vie d'un être humain, mais que si son père disait la vérité, c'était un gâchis obligatoire. Mais par contre, il s'était mit à sérieusement douté quand de nouveaux trous avaient dû être creusé pour enterrer les voisins. Il en avait compté dix-sept, tous de la bourgeoisie, des femmes comme des hommes, même des enfants. C'était du gâchis n'arrêtait pas de dire Sloan. Très bien, faisons en sorte que les autres n'en soit pas avait fini par dire Aedan. Les cinq autres n'avaient pas été du gâchis, mais des cobayes. Le paternel lui avait montré l'intérieur du corps humain, lui avait incité a trifouillé le corps d'un gamin de son âge. L'enfant trouvait cela bizarre, mais très intéressant, c'était une façon d'apprendre.

Un an après, Aedan était recherché par les forces de l'ordre, son identité étant tombé, il avait pris son fils avec lui et avait fuis le pays. De l'Irlande, ils étaient passé illégalement en Angleterre. De la bourgeoisie, ils étaient passé à la classe ouvrière. De Dublin, ils avaient posé leurs maigres bagages à Londres, dans le quartier de Whitechapel. La petite famille Fitzgerald s'était fondu dans la masse, mais malheureusement son père avait continué à semer la mort. Sloan avait compris que son paternel avait un problème d'ordre psychique et qu'il était un sujet passionnant. Alors, le fils avait commencé à étudier le père dans ses agissements. Et le père n'y voyait rien du tout. Aedan avait fini par se faire arrêter tandis qu'il tentait d'assassiner une bourgeoise. Sloan avait compris que son père prenait trop de risque, qu'il était tout simplement instable. Il ne réfléchissait pas avant d'agir, ce qui avait conduit à sa perte. L'enfant s'était réfugier dans Southwark, trouvant cela plus judicieux que de rester dans le même quartier. La séparation entre lui et son père lui avait fait ni chaud ni froid. Disons que son paternel était pour lui un boulet, un gâchis obligatoire. Devoir vivre seul dans les rues de Londres était pour lui une nouvelle façon d'en apprendre plus sur la vie, d'un nouveau point de vue.

Sloan avait donc commencé a volé pour survivre, faire les poches des passants n'étaient pas si compliquer puisqu'il analysait les passants pour trouver des proies simples possédant de l'argent et qui n'étaient pas très futé. Le problème s'était qu'il commençait à trouver cela trop facile, ainsi que pas assez rentable. De plus, il avait une grande envie de lire des ouvrages de sciences ! À dix ans, il avait décidé de se mettre à apprendre l'art complexe du crochetage de serrure. Pour s'aider, il s'était exercer sur la porte arrière d'une boutique qui avait été abandonné. Une fois qu'il avait été en mesure de comprendre le fonctionnement, le petit voleur savait crocheter. Il avait pénétré dans des lieux où il était sûr de trouver des bouquins, volant ces derniers, les lisant puis les revendant. Bon au passage, il dérobait des trucs a mangé ou des bijoux. À chaque fois, le gamin prenait quand même le temps d'étudier ses proies pour ne pas se faire prendre.

Puis, une fois, il était tombé sur un coffre-fort. Curieux, il avait pris le temps de comprendre son fonctionnement avant de finir par réussir à l'ouvrir. Il y avait trouvé un colt, ainsi que des liasses de billet. Ses yeux avaient failli sortir de leurs orbites ! Sloan avait pris tous les billets sans culpabilité. Il s'était amusé, en faisant attention, avec l'arme, parce que même s'il était très intelligent, il restait un enfant avec beaucoup d'imagination. Il n'avait pas gardé le colt, c'était trop dangereux et il ne savait pas comment l'utiliser. Il ne pouvait décidément pas bidouiller avec (comme avec les serrures) pour comprendre le fonctionnement. Sloan n'avait pas envie de se tirer dessus par accident ou de blesser quelqu'un. Rien que pour se moquer, il avait laissé un seul billet, puis avait refermé le coffre-fort, rigolant dans sa barbe. De retour dans son quartier, avec ces nombreux billets, l'enfant avait décidé d'en faire profiter anonymement des gens. Ainsi certaines personnes, celles ayant des enfants où étant eux même des enfants, avait trouvé dans leur poches ou directement chez eux une centaine de billets. Il ne pouvait pas faire plus, mais c'était déjà un début. Il avait gardé une somme inférieure pour lui. Ce qui lui convenait amplement. Le petit Fitzgerald, âgé de onze ans, avait continué son action au moins une fois par semaine. C'était qu'il observait ses victimes avant de dérober, donc il lui fallait du temps !

Un an après, il se mettait à s'entraîner a réalisé des illusions pour dérober un semblant de richesse aux passants. Ainsi il pouvait aussi observer les vas-et-viens des bourgeois dans leur petite demeure tout en faisant des tours de passe-passe non loin de là dans des habits plus luxueux -qu'il avait dérobé dans un appartement et qu'il gardait sous le coude-. On pensait de lui que c'était un petit garçon de douze ans qui s'amusait a égayé la journée des passants. Les femmes repartaient sans leurs bijoux, les hommes sans quelques billets. Mais des fois, l'enfant 'oubliait' de les voler, il aimait tellement voir leur incompréhension face à ses tours, ainsi que de voir des enfants de son âge avec des yeux pétillants d'amusement. De temps en temps, un bon monsieur lui donnait un petit billet pour l'encourager a continué dans cette direction.

Sloan avait découvert son homosexualité vers ses treize ans. Il n'avait aucune peur à ce propos. Il trouvait l'humanité aussi intelligent que des primates, les trouvant fort peu ouvert d'esprit. Maintenant, âgé de quinze ans, Sloan souhaitait tellement apprendre de nouvelle choses !

Dans la vraie vie, je suis...
Quel est ton pseudo ? Loki. Un mec ou une fille ? Mec. Quel est ton âge ? 18 ans. Comment as-tu connu le forum ? Top site. Un avis dessus : Innovant. As-tu un DC ? Nop. Pv/scénario/Inventé ? Inventé. Code de validation : [Validé ♥]

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<t>Thomas Brodie-Sangster</t> → <y>Sloan Fitzgerald</y>