Sujet: [Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town Mar 8 Aoû - 8:17
Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town
«La beauté est indissociable du regard de celui qui voit.»
15 mai 1891, retour chez soit (après l'event)
L'orage grondait et l'averse lavait les rues sales de Londres. À part le tonnerre au loin et de pas dans la boue, rien ne se faisait entendre. Une silhouette sombre remontait la rue. Une silhouette féminine cachée par des vêtements d'hommes recouverts de taches rouges se faufilait parmi les ombres. Ce sang ne lui appartenait pas, mais n'avait pas été versé par elle. Malgré la pluie qui la nettoyait plus ou moins, elle sentait encore l'odeur de putréfaction et de sang planer dans l'air. Probablement était-ce tout simplement le mauvais souvenir de cette nuit épouvantable qui remontait à la surface. Trempée, elle replaça les mèches de cheveux sortant de son chapeau melon de sorte qu'elle puisse voir où elle allait. Si le cocher, Charles, avait eu la gentillesse de l'attendre, il n'avait pas voulu l'emmener devant la demeure Collins -probablement à cause de l'odeur- et l'avait déposé à quelques rues. Elle ne lui en avait pas tenu rigueur et avait fait le reste du chemin à pied.
Quand elle vit bientôt la maisonnée, elle soupira de soulagement. Bientôt elle pourrait se plonger dans de l'eau chaude! Elle se dépêcha à remonter la rue et, enfin, elle monta les marches et ouvrit la porte. Silence... Personne n'était levé. Silencieusement, elle monta à l'étage et se dirigea vers le bureau où se trouvait une cheminée. Elle ne pouvait pas garder ces vêtements. Elle ne pourrait pas expliquer à Bartholomew comment elle avait réussi à tomber dans une flaque de sang. Rapidement, elle retira la tenue empruntée à son fiancé et jeta les tissus dans les flammes. Il ne lui restait que ses dessous pour la couvrir. Elle eut un éternuement. Ayant peur d'avoir fait du bruit, elle tendit l'oreille pour écouter. Pas un son... bien, elle n'avait réveillé personne, croyait-elle. Elle quitta le bureau pour rejoindre la salle d'eau pour se rafraîchir un peu, se mettre du parfum, puis mettre de l'ordre dans sa chevelure. Une fois faite, elle décida de rejoindre sa chambre. Seul petit détail, elle devait passer devant la chambre de son futur mari. Priant pour qu'il n'entende pas les lattes du plancher craquer, elle marcha sur la pointe des pieds en se dirigeant vers chambrette en ne remarquant pas que, justement, ce dernier venait d'ouvrir la porte et pouvait s'imaginer des choses vu la tenue qu'elle abordait cette nuit-là.
Âge : 38 Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois. Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞ Avatar : Tom Hiddleston Quartier Résidentiel : Londres Messages : 351Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: [Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town Lun 21 Aoû - 19:42
Madelyne Errington & W. Bartholomew Collins
La nuit était sombre, plus qu'à son habitude, peut-être plus étouffante aussi. Le nez en l'air dans son atelier, son regard porté au-dehors de la petite fenêtre. Sa bougie pour seul éclairage, non loin de lui sur son bureau. Un instant pensif, pourquoi cette nuit lui semblait plus trouble qu'une autre ? Peut-être le manque de sommeil de ses derniers jours. Il avait eu beaucoup à faire, il travaillait toujours sur ce carrousel, comme l’œuvre de sa vie, peut-être. Ce n'était pas son premier, mais son plus aboutit jusque-là. Cherchant à retranscrire une certaine réalité dans les mouvements dans les courbes et autres détails peut-être trop insignifiants pour y accorder tant de temps. Mais Bartholomew était ainsi, parfois trop excessif. Mais ses yeux le piquaient, ses trois dernières nuits bien trop courtes, l'avaient épuisé, il irait donc se coucher rapidement. Soufflant sur sa bougie une fois l'objet en lieu sûr dans sa commode fermé à double tour, il quitta sa pièce la fermant aussi avec soin. Il avait horreur qu'on pénètre à l'intérieur de son atelier, ses gens le savaient, Maddie le savait et ils respectaient cela. Aurora aussi, mais elle était plus chipie et aimait parfois y faire un tour au plus grand regret de son ainé. Saluant d'un sourire rapide les derniers employés de la maisonnée qui eux aussi allaient au lit. Depuis quelques mois, depuis qu'il avait enfin accepté ses fiançailles avec Maddie, l'homme bien que toujours rustre était plus convivial. Plus heureux et apaiser de sa vie ici. Au grand plaisir de tous apparemment.
Sa chambre non loin de son atelier, il se laissa couler dans le grand fauteuil des plus confortables non loin d'une fenêtre donnant sur la rue. Il n'avait pas pris soin de se défaire de vêtement encombrant. Il l'avait déjà fait, jamais il ne travaillait en tenue convenable. Sa chemise d'un blanc passé qui avait même un ou deux minuscules trous, son pantalon de détente, plus large que les autres. Il avait tout de même laissé ses chaussons libres de ses pieds alors qu'il les avait soulevés vers le rebord intérieur de la fenêtre. Le livre de Madelyne sur le guéridon non loin, il l'avait déjà relu, mais il l'avait commencé une nouvelle fois, comme s'il redécouvrait avec plaisir chacune des lignes qu'elle avait écrites. Le livre entre ses mains, il regarda la couverture, la caressant comme il l'avait déjà fait, un sourire sur les lèvres. Le laissant un instant sur ses jambes. Son visage tournant vers la fenêtre, se perdant dans la nuit presque noire de la rue. Seuls les lampadaires de feu illuminaient, assez mal, la rue. Une silhouette se dessina, coupant ce monotone paysage. Le front de l'artiste se crispa un instant. Maddie ? Impossible, on aurait un homme, maigrelet, mais familier. Peut-être un employé sorti en ville, ou simplement un voisin. Sans plus, se préoccuper de cela, il retourna son attention sur le livre, l'ouvrant à la page qui l'attendait depuis quelques jours.
Le lord à l'oreille fine, dans le silence apaisant de la maison sembla entendre la porte d'entrée se fermer. Étrange, un employé serait passé par la porte de service, non par l'entrée principale. Un cambrioleur ? Le soin qu'on avait mis à clore la porte l'inquiéta. Il laissa le livre retrouver sa place sur la petite table à côté du fauteuil. Ses longues jambes musclées, mais fines, retrouver le sol. Sans prendre la peine d’enfiler ses chaussons, il glissa sans bruit auprès de sa porte de chambre fermée alors. L'oreille collée au bois, attentif au moindre son. Prêt à user d'une quelconque force pour faire partir un intrus si tel était le cas. Divers bruits lui parvenaient, étranges, non pas ceux où n cambrioleur rapide est assez peu précautionneux. Entrouvrant la porte, il aperçut la salle d'eau allumée d'une petite lueur, une bougie. De plus en plus étrange. Jamais il ne commencerait par là pour cambrioler une si vaste maison que la sienne. Refermant un peu l’encablure de la porte alors qu'ont sorti de sa salle de bain, au combien fut-il surprit de croiser le corps de sa fiancée bien dévêtue, plus qu'à la normale vertueuse à faire le moins de bruit possible pour ne réveiller personne. Un sourire se dessina sur le visage de Bartholomew, amusé de la voir ainsi agir. Marchant sur la pointe de ses pieds. Elle n'était plus très loin de sa chambre.
Il hésita un instant, refermant sans bruit sa porte pour éviter qu'elle ne le remarque, son oreille coller à sa porte, toujours. Il la laissa passer et alors qu'il pensa cela fait, avec discrétion toujours, il ouvrit grand sa chambre et sortie de la pièce. Nu pied, il semblait presque tel un fantôme. Alors que la brune s’apprêta à entrée dans sa chambre, juste à côté, non sans un sourire large il l’interrompu d'une voix un peu plus forte qu'à la normale.
« Je vois qu'on sort en cachette maintenant. Il me faudra te donner des leçons de discrétion. »
Le ton était volontairement sec et accusateur. Il savait Maddie droite, et même si elle avait peut-être dans le passer salie son nom. Il doutait qu'elle risque de nouveau cela à présent.
Sujet: Re: [Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town Lun 28 Aoû - 14:40
Elle sursauta en entendant sa voix forte et elle se tourna vers l'homme qui la regardait avec un large sourire, mais son ton avait été rude et sec. Il était mécontent ou amusé? Elle avait du mal à saisir. Quand elle baissa son regard sur sa propre tenue, elle devint rouge pivoine et croisa les bras pour cacher le haut de sa poitrine dénudée. Rien de bien alarmant pour les gens du 21ième siècle. On voyait pas tant de peau, mais pour une femme digne comme Madelyne, s'était honteux de se tenir devant son fiancé dans une telle tenue au beau milieu du couloir avant même le mariage! Après, ils avaient convenus des règles et ils s'étaient mis d'accord pour ne pas se sentir obligé de suivre les mœurs, mais la bourgeoise avait eu une éducation stricte et jamais au grand jamais elle se serait montrée aussi peu vêtue devant un honnête-homme. Encore moins devant Bartholomew qui, à bien y penser, semblait surtout amusé...
- Tu te moque! C'est pas gentil! Tu m'a fais peur! J'ai cru avoir affaire à un voleur ou que sais-je?! Que fais-tu encore debout à cette heure avancée?
Elle grelottais un peu en étant aussi peu habillée et trempée suite à son bain bien mérité après tout ce qu'elle avait vécue. Elle se demandait encore si elle n'avait pas rêvé la moitié de ce qu'elles avait vu.
- Si j'étais dehors... Je... Disons que je voulais me mettre dans la peau d'un détective afin d'améliorer ma plume pour mon prochain ouvrage! J'ai dû... vous emprunté une tenue...
Vêtements qui servaient à allimenter le feu de cheminé dans le bureau... Par ailleurs, elle détailla la tenue de son fiancé. Décontracté. Il s'étonnait avec le décors. On aurait imaginé un écuyer. Un écuyer fort joli... Elle se baffa mentalement pour avoir pensé ça.
W. Bartholomew Collins
Âge : 38 Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois. Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞ Avatar : Tom Hiddleston Quartier Résidentiel : Londres Messages : 351Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: [Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town Jeu 7 Sep - 13:11
Madelyne Errington & W. Bartholomew Collins
La voix forte et sévère du Lord avait fait sursauter sa fiancée. Son visage dur et ses traits tirer s'étaient détendus un instant pour laisser apparaître un sourire qu'il réprima vite. Et même si ses yeux semblaient encore sévères ses lèvres se mouvait dans un combat intérieur pour ne pas s'élargir dans un large sourire. Bartholomew avait pris soin de garder les yeux levés au vu de la tenue de la jeune femme. La regardant dans les yeux ou du moins son visage. Mais il remarqua son mouvement comme pour cacher cette nudité qui pourrait être gênante. Bartholomew avait connu en réalité peu de femmes dans sa vie. Amy avait été la première, et cela, date d'il y a un peu plus de dix ans aujourd'hui. Il avait eu une aventure avec une autre femme une unique autrefois par la suite et puis Maddie était entrée dans sa vie il y a trois ans même s'il n'avait pas accepté le mariage, du moment où la jeune femme était apparue dans sa vie il avait alors considéré son statut à fiancer très au sérieux. Plus aucune autre femme n'était entrée dans sa vie. L'acte de chair avait pour lui une signification très importante, et même s'il s'était laissé aller à une expérience après Amy, il avait su que ce n'était pas fait pour lui ce genre de chose. Avec Amy c'était bien différent, mais il avait nourri pour elle des sentiments puissants. Qui même aujourd’hui encore grignotait son cœur. Mais la situation, aujourd'hui, avait aussi évolué et il avait fait sa demande à Maddie, leur mariage était à présent prévu vers la fin de l'année, et même si Amy avait toujours sa place dans son cœur, Maddie, aujourd'hui, y prenait la plus grande part. Il savait qu'un jour, il l'aimerait réellement et sincèrement, car voilà qu'en trois ans déjà ses sentiments avaient beaucoup évolué. Madelyne avait à présent son importance dans sa vie.
« Tu sais bien que je dors peu. Mais j'avais décidé d'aller lire un peu quand j'ai entendu du bruit. »
Fit alors l'homme d'une voix plus douce et calme. Son visage enfin déridé un léger sourire naissant sur les lèvres. Il la vit frissonner alors, en bon gentleman et homme qui se souciait de sa personne il quitta le couloir pour rentrer dans sa chambre et y saisit à la volée sa robe de chambre rayée de vert sombre et de rouge pâle. Écoutant avec attention ce que la jeune femme racontait. Elle lui avait emprunté des vêtements . Il ne s'en était même pas rendu compte. A vrai dire sa garde-robe bien qu'assez remplie lui servait si peu. Il remettait souvent les mêmes deux ou trois tenus. Ses journées souvent enfermées dans son atelier il était plus souvent habillé ne décontracter qu'en homme digne de son rang. Revenant dans le couloir après une très courte absence, il s'approcha de la femme et délicatement déposa sa robe de chambre assez épaisse sur ses épaules dénudées. Lui faisant face de nouveau, plus proche que précédemment cependant il la détailla davantage, maintenant qu'elle était plus couverte. Il remarqua une légère trace sur sa nuque d'un rouge sombre. Il fronça les sourcils.
« J'espère que ton aventure nocturne n'a pas été trop turbulente ? »
Laissa entendre l'homme alors qu'il mouillait déjà une manche de sa chemise plus beige que blanche avec sa salive. Tendant le bras vers la tâche, il tenta de l'enlever, mais elle était tenace. Il ne voulut pas trop frotter de peur de lui faire mal.
« Informer-moi quand vous quittez la maison ainsi. Non pas que je souhaite vous contrôler, mais je refuserais qu'il vous arrive quoique se soit. »
Reculant d'un pas, il l'observa plus soucieux. Tous deux s'étaient mis d'accord pour se laisser vivre l'un comme l'autre malgré leur mariage. Mais Bartholomew devait avouer se soucier des aventures peut-être dangereuses de sa future femme. Sa position droite, ses mains dans son dos, comme souvent, il fit un pas sur le côté et d'un geste de la main invita Madelyne à entrer dans sa chambre.
Sujet: Re: [Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town Ven 13 Oct - 17:42
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W. Bartholomew Collins
Âge : 38 Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois. Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞ Avatar : Tom Hiddleston Quartier Résidentiel : Londres Messages : 351Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: [Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town Sam 21 Oct - 15:46
Madelyne Errington & W. Bartholomew Collins
Bartholomew semblait quelque peu troubler, il avait tutoyé puis vouvoyé sa fiancée, pour la tutoyer ensuite. Tous deux s'étaient mis d'accord pour faire simple et sans mondanité entre eux. Mais les vieilles habitudes étaient tenaces pour le Lord. Mais la jeune femme ne semblait même pas avoir remarqué. Sa soirée semblait avoir été mouvementée, il pouvait le voir à son regard. Elle semblait encore à demi en état de choc, il ne voulait pas trop s'imposer ou sembler intrusif alors il l'avait invité dans ses appartements pour être plus au calme. Loin des oreilles indiscrètes des servants. Ses bonnes manières l'avaient laissé debout à peine fut-elle entrée alors. Bartholomew ferma la porte derrière lui. Et écoutèrent alors ses mots, tout en restant lui-même debout. Non pas gêné à son contraire, mais plus pour l'écouter avec attention et ne pas la couper dans son élan. Un sourire léger emplit ses lèvres dans un premier temps, puis il le perdit pour revenir de nouveau alors que Madelyne parla du home Secretary, qui n'était autre qu'un très bon ami de la famille et de Bartholomew. Même si voilà des années qu'il ne l'avait pas vu. D'ailleurs peut-être devrait-il lui demander d'être son témoin. Il hésitait encore sur la personne à choisir, Dagmar, un nouvel ami avait été dans ses pensées et évidemment Loban, le home Secretary donc. Mais il n'avait contacté personne pour l'instant. Sortant de ses pensées, qui le stressaient quelque peu, alors qu'il sentit le corps de Maddie s'approcher de lui. D'un geste naturel, il entoura son corps frêle et frais. Elle sentait bon, elle venait de se laver alors elle sentait le savon à la vanille. Bien qu'un peu hésitant, il comprit vite qu'elle avait besoin de soutien. Alors il serra un peu plus ses bras autour d'elle. Une main dans son dos, l'autre dans ses cheveux. À ses dernières paroles, quelques peut effrayantes, il fallait bien l'avouée, il fit pression sur son crâne afin qu'elle se laisse aller contre lui. Un léger "chute" apaisant et douce sortie d'entre ses lèvres. Se voulant rassurant, il apposa son visage contre sa chevelure, serrant encore un peu ses bras autour d'elle.
« C'est terminée maintenant, tu es là, avec moi. Personne ne te fera du mal, je te le promets. Je ne laisserais personne te faire du mal. »
Assez naturellement, il déposa un baiser sur son crâne alors qu'il brisa avec douceur leur étreinte. La regardant un instant dans les yeux, un visage rassurant, légèrement souriant. Collins glissa une main dans la sienne et l'invita à s'installer dans le fauteuil où il s'était précédemment posé. S’asseyant contre le rebord de la fenêtre, il la regarda, sans lâcher sa main pour autant.
« Tu sais que tu peux tout me dire. Je ne te jugerais pas. Mais avant, est-ce que tu veux quelques choses ? Tu es un peu pâle. Un verre de lait avec du miel et un gâteau ? »
Pas vraiment, que Maddie est le teint très coloré en général, mais elle allait presque finir par se confondre avec la blancheur des encadrements de fenêtre et de la porte. Alors oui Bartholomew s'inquiétait. Non pas pars devoir, mais réellement. Même si ce mariage était encore un peu un devoir, il appréciait vraiment la jeune femme aujourd'hui, et même un peu plus, peut-être. Doucement, il apprenait à se laisser aller avec elle et à lui ouvrir son cœur, ce qui n'était pas choses bien compliquer.
« Mais tu peux te confier à moi. Puis si vraiment, je pense que tu délires, j'irais voir Loban, se chère Home Secretary qui vous soi-disant sauvé. C'est un très bon ami à moi. »
Bartholomew se voulut alors plus léger. Son visage plus souriant, il rit légèrement. Le Lord, avait retenu qu'elle n'y avait pas été seule, ou du moins qu'elle n'avait pas été seule dans cette soirée cauchemardesque et que les choses avaient bien mal tournée, pour qu'elle et les autres, qu'importe qui ils étaient, soit sauvés d'un danger. Curieux, Bartholomew voulait forcément en savoir davantage. Et il se promettait, à lui-même, que si les dires de sa fiancée étaient trop abracadabrants, il irait voir Loban pour un second avis. Mais il doutait fortement qu'elle délire, quoiqu'il lui soit arrivé, quoiqu'elle soit bien pue bien voir. Il y avait une explication à tout ! Oui.
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Sujet: Re: [Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town Sam 13 Jan - 0:34
Madelyne Errington a écrit:
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W. Bartholomew Collins
Âge : 38 Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois. Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞ Avatar : Tom Hiddleston Quartier Résidentiel : Londres Messages : 351Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: [Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town Dim 21 Jan - 17:07
Madelyne Errington & W. Bartholomew Collins
Bartholomew tentait par sa simple présence de réconforter la femme tremblante et désorientée qui était venue se réfugier au creux de ses bras puissants. L'entourant, lui promettant ainsi que rien ne pourrait lui arriver ici, pourtant elle semblait d'autant plus fébrile. Barth n'était pas une montagne et était contre la non-violence en général. Mais pour Maddie et les gens qu'il aime, Aurora, ou encore Félix et Amy ou son cher Loban, il était prêt à tout pour protéger ses quelques rares âmes qui avaient sût pénétrer la coquille fortifiée de son coeur. Oui Bartholomew n'était pas un homme très ouvert sentimentalement parlant, ayant perdu trop de gens à son goût à qui il tenait, sa mère dans un premier temps est Katheleen sa soeur ainée, l'amour de sa vie. Puis était venue le tour d'Amy de repartir au bras de son mari, ce qui n'était que juste une chose au fond. Mais tout cela avait forgé le coeur dur de l'homme qui apprenait avec Madelyne à s'ouvrir doucement. Encore maladroit pourtant il tentait tant bien que mal de l'aider dans cette épreuve qui semblait tant la bouleverser. La posture de la femme sur le fauteuil, cette auto-protection qu'elle transpirait au travers de sa posture. Il aurait aimé l'entourer une nouvelle fois de ses bras, la rassurant encore. Mais il ne le fit pas, comme si son éducation et son rang ne lui permettaient pas. Comme s'il n'osait pas encore approcher celle qui allait devenir sa femme sous peu.
Il écouta alors avec attention les paroles tremblantes de la femme qui osait lui parler à coeur ouvert. Effrayer de sa soirée, il ne pouvait que le constater démunie plus que de raison face à cela d'ailleurs. Ses yeux qui avaient fuient jusque-là s'ancrèrent dans ceux de Bartholomew, comme pour appuyer les paroles folles qu'elles allaient énoncer. Prouver leurs véracités au travers de son regard, ne trichant pas. Si ses mots étaient semblables à ceux de fou, certes. Batholomew ne pouvait que la croire. Elle n'avait que peu cligné des yeux et son regard n'avait pas un instant dérivé. Puis à quoi bon mentir sur de telles choses. La peur qui trahissait son comportement, cette odeur désagréable, qui malgré une douche parvenait à son nez. Aucun doute n'était permis. S'il n'avait pas assisté à la scène et qu'il n'avait pas vu de telles choses de ses propres yeux. Son esprit ouvert et la confiance qu'il avait envers la femme face à lui, suffisait à ce qu'il la croit sans plus de preuve.
« Chute, je suis là. Ne tu en fais pas. Et je te crois. Maddie, je te crois, rassures-toi. Si tes paroles ont un fond fort abracadabrantesque, je ne peuvent que te croire pourtant. J'ai confiance en toi et je sais que je peux te croire. »
Bartholomew avait fini par fondre sur le sol, un genou trouvant appui sur le grand tapis poussiéreux et vieillot de la pièce. Ses mains venant trouver celle de la femme, s'apposant sur les siennes comme pour les chauffer d'une chaleur réconfortante et rassurante. Son regard inquiet se mélangeant au sien.
« Nous pourrons toujours aller voir Loban pour des explications, si tu le souhaites, peut-être en aura-t-il a fourni, pour éclairer tout cela. Mais je ne te prends pas pour une folle rassures-toi, tu veux. Je t'ai promis une chose Madelyne. Te faire confiance et te protéger. Alors je te crois et je te protégerais, je t'en fais la promesse une nouvelle fois. »
Se relevant le lord ne quitta pas l'étreinte légère qu'il exerçait sur les mains encore fraiches de sa fiancée. Il pouvait sentir de très léger tremblement de son corps au travers de ses mains. Il ne savait comment la rassurer davantage. Alors il s'approcha du siège où elle s'était recroquevillée. Et quittant enfin ses mains, il serra son corps qui semblait si frêle et fragile à cet instant avec un peu de force. Juste assez pour ne pas lui faire mal et pour lui montrer qu'il était là pour elle.
« Tu dormiras ici ce soir. Je veillerais sur toi. Je resterais dans le fauteuil. Tu as besoin de repos. Mais avant, veux-tu une collation ? »
Elle n'avait pas répondu à sa précédente demandé, trop perturbée peut-être pour en l'avoir entendu. Alors il redemanda. Elle ne devait pas ce coucher ainsi, le ventre vide. Mais il ne voulait pas la quitter un instant, il la protégerait ce soir, il venait de lui promettre encore une fois. Détachant son étreinte, il quitta son corps pour aller à la porte et sans pour autant quitter la pièce, il demanda fortement un serviteur. Une dame venue rapidement le voir. Sans qu'il ne laisse entrevoir quoique se soit, il demanda ce qu'il pensait le mieux pour la femme, du lait tiède mielleux avec un gâteau sablé ou deux. Laissant la femme à son servir s'empresser d'aller préparer le repas demandé tardivement par le lord. Ne doutant pas qu'elle se fasse une joie de bougonner une fois dans les cuisines, il revint vers sa fiancée. Cherchant dans l'armoire, il sortit une couverture marron et la déposa avec délicatesse sur son corps. Se laissant de nouveau couler sur le rebord de la fenêtre attendant que sa commande arrive. Il tendit une nouvelle fois une main vers Maddie comme un soutien.
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Invité
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Sujet: Re: [Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town Lun 19 Fév - 2:01
L’homme se montrait doux et rassurant envers elle. Il lui dit qu’il la croyait. D’un coup, un poids immense descendit des épaules de Madelyne. Heureusement, il la croyait et il ne la jugeait aucunement. Il lui avait pris les mains pour les réchauffer. Il lui avait proposé d’aller voir Loban pour plus d’explications avant de lui rappeler sa promesse de lui faire confiance et de la protéger. Une boule lui prit à la gorge en entendant « confiance ». Depuis quelque temps elle se sentait grandement honteuse de continuer à lui cacher ce lourd secret. Il ignorait encore que lorsqu’ils se détestaient encore, la jeune femme s’était permis un écart de conduite et avait eu une relation de quelques soirs avec le cocher… Depuis, elle gardait son lourd secret pour elle. En ce soir précis, elle se sentait fragile et il suffisait de très peu pour la faire pleurer. Elle laissa son fiancé la serrer dans ses bras lorsqu’elle éclatait en sanglots.
Il était trop gentil avec elle, pourtant elle n’avait pas l’impression de le mériter le moins du monde. Après tout, elle lui cachait depuis trop longtemps la vérité. Ils s’étaient donné beaucoup de liberté lorsqu’il avait redemandé à Maddy de devenir sa femme, mais elle avait quand même grandement honte de lui cacher une telle chose, elle qui prenait son mariage avec lui très au sérieux. Cette histoire était terminée depuis longtemps et elle ne ressentait absolument rien pour cet homme, mais elle souffrait dans ce secret. Peut-être était-il temps de tout lui dire même s’il n’allait pas apprécier. Elle voulait être honnête avec lui et ce serait ce soir précisément qu’elle le lui dirait. Comme ce dernier allait commander à ne domestique d’aller chercher quelque chose à boire et à manger, elle en profitait pour réfléchir à comment elle allait dire, pesant ses mots dans sa tête. Elle lui sourit lorsqu’il déposa une couverture sur elle.
- Barthy… Je dois te dire quelque chose d’important. Je n’ai pas osé te l’annoncer avant aujourd’hui puisque j’avais peur, mais je ne supporte plus de garder cela pour moi.
Elle se tut lorsqu’on frappa à la porte et elle invita la servante à entrer et déposer le plateau à côté d’elle. Elle attendit silencieusement d’entendre ses pas descendrent dans les escaliers avant de poursuivre.
- Tu es important pour moi et je veux me montrer honnête. Tu auras le droit de m’en vouloir, de me chasser… Je comprendrais absolument. Tu sais… Il y a trois ans de cela, nous avions du mal à nous supporter. Nous avions eu du mal à accepter ce mariage arrangé. Tu étais méfiant et désagréable. Je ne veux absolument pas dire que la faute repose sur tes épaules, mais je veux seulement que tu saches qu’aujourd’hui les choses sont différentes et je ne compte plus jamais recommencer parce que ta présence me comble amplement… J’ai…
Elle se mordit la lèvre en sentant les larmes montées à nouveau, mais elle prit le temps de reprendre le contrôle d’elle-même avant de poursuivre.
- J’ai eu une aventure. Cela n’a duré que quelques mois et je ne ressens absolument rien pour lui, mais j’ai honte. J’étais déjà ta fiancée et je te trahissais de cette manière. Je voulais me venger d’une certaine façon, mais c’était tellement stupide et puéril. Je m’en veux grandement aujourd’hui puisque j’aurais aimé te donner tout ce qui te revenait de droit, mais… Il l’a déjà prise… Je suis désolée, elle dit en cachant son visage entre ses mains.
W. Bartholomew Collins
Âge : 38 Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois. Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞ Avatar : Tom Hiddleston Quartier Résidentiel : Londres Messages : 351Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: [Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town Mar 13 Mar - 21:52
Madelyne Errington & W. Bartholomew Collins
Bartholomew se jura de prendre soin de Madelyne depuis déjà fort longtemps. Si leur relation n'avait pas été simple au début. Si la simple présence de la femme avait parfois suffi à brunir son cœur et à mettre en furie son esprit. Il avait su avec le temps apprécier sa présence et bien au-delà. L'aimer . C'était encore bien trop tôt pour le dire, pour oser le penser même. Mais il l'appréciait à sa manière et il tenait à elle plus qu'à n'importe qui d'autre excepte sa sœur. Si Aurora l'exaspérait au plus au point, il l'aimait profondément au fond, plus que quiconque à présent. Et Maddie venait juste après sans son cœur elle avait su prendre la place d'Amy, à présent. Le lord demanda à une servante une collation pour lui, qui en réalité était destinée à Maddie, mais il garderait le secret. Si la maisonnée venait à savoir sa fiancée dans ses appartements avant le mariage pour sûr que cela jaserait sans honte dans les couloirs réservés aux employées. Non pas que Bartholomew en a réellement quelque chose à faire, non. Mais pour Maddie et cette nouvelle vie qui à présent s'offrait à eux il se devait plus consciencieux de messe basse et de son image. Revenant rapidement vers elle à demi assis sur le rebord de la fenêtre ses mains contre le bois blanc son regard calme et doux sur la femme qui serrait la couverture contre elle. Il veillait comme promis sur ses petits os encore tremblotants.
Un léger silence se fit avant que Maddie n'ouvre de nouveau les lèvres. Sa voix tout aussi tremblante que son corps, elle avait une révélation à fait à l'homme. Ses bras se croisant sur sa poitrine seulement vêtue d'un chemisier mal fermé et d'un temps déjà passé, il n'eut pas le temps de répondre qu'on toqua alors à la porte. Bartholomew fut surpris que Maddie invite la servante à entrer. Mais il ne bougea pas laissant alors sa future femme faire comme bon lui semblait. Qu'on la voit ainsi, dans la chambre de monsieur pour sûr que la femme n'hésiterait pas à en faire le rapport à toute la maisonnée. Mais si Maddie avait invité la femme, alors il n'avait rien à redire. Les deux fiancés attendirent alors la sortie de la femme silencieuse pour reprendre leur discussion. Du moins Maddie la reprit, déliant doucement sa langue. Le lord était très attentif à chaque mot qu'elle prononçait e peur d'en perdre le fils ou bien le sens. Il avait d'ailleurs du mal à tout saisir, mais il resta silencieux. Se redressant seulement un peu lorsqu'elle prit sa respiration. Ses sourcils quelque peu froncés, inquiet de la révélation qui ne tarderaient plus. La brune semblait bouleverser, il la laissa faire dans un silence un peu pesant. Mais il ne voulait pas la brusquer et il ne devait rien y avoir de grave. Le plus grave qu'elle pourrait avoir fait . Commettre un meurtre ou un acte similaire. Et il doutait très fortement qu'elle en soit capable. Au vu de son état après cette soirée mouvementée. Et lorsque qu'enfin sa fiancée reprise al paroles débitant son pêcher. Il fut presque... Soulager. Oui, au fond, il le fut. Elle en revanche était totalement bouleversée. Et d'un visage plus détendu encore qu'avant presque amuser. Il s'accroupit face à elle.
« Madelyne, ma tendre et douce Maddie...»
Il prit alors avec une douceur extrême les mains qui cachaient son visage. Le dévoilant au même temps que ses larmes. Il s'en voulait de lui inspirer tant de honte, car en un sens, c'était de sa faute, il le savait. De sa faute, de celle de leurs parents de celle de chacune d'eaux au fond. Ils avaient chacun d'eux réagirent à leur manière. Bartholomew avait été désagréable au possible avec elle, ignoble et abject même. Et elle est bien elle l'avait trompé. Au fond, ce n'était rien, rien de bien méchant. Lui-même avait connu quelque aventure et avait même été l'amant d'une femme mariée. Si évidemment, il n'avait connu personne depuis ses fiançailles, et même avant, il n'en voulait pas à la femme d'avoir cherché du réconfort ailleurs pendant que lui ne daignait pas la regarder et pire encore la détestait.
« Ne te mets pas dans de tels états, je te prie. Je te remercie de cette franchise. Mais je t'assure il n'y a rien de mal. Enfin, je ne t'en veux pas et je ne te chasserais pas ou quoique ce soit d'autre. Rassures-toi. »
S'élevant un instant, il déposa un baiser sur son front, se voulant tel un ami rassurant.
« Tu as évacué comme tu as voulu ce qui nous à été imposer. J'ai de mon côté étaient des plus désagréables avec toi. En un sens, je méritais cela. Et tu ne me dois rien. D'accord. Tu n'es plus pure et alors . Je ne le suis pas non plus. Mon cœur a appartenu à Amy trop longtemps et aujourd'hui, il est libre, libre pour toi. Libre pour une nouvelle vie que nous allons construire ensemble. Ne pensons plus au passé, tu veux. Ne pensons plus à ses erreurs qui nous ont construits au fond. Soyons juste lui-même, tu veux. Comme j'ai déjà pu te le dire. Tu peux tout me dire, la seule chose que je te demande, c'est une sincérité sans limite. Et c'est ce que tu fais. Je t'en remercie. »
Bartholomew se releva alors, un léger sourire sur le visage. Si la nouvelle au fond l'affectait un peu, il ne devait pas se mentir à lui-même. Blessé un peu dans son amour-propre, il ne pouvait pourtant pas en vouloir à la femme d'avoir ainsi agi. Non, aucunement. Il était le seul à blâmer. Et au moins chacun savait les fautes de l'autre à présent. Se reposant contre le rebord de la fenêtre, il saisit à bout de bras le pichet de lait tiède et le verre apporté plutôt par la domestique. Il remplit le verre de moitié et le tendis à la femme.
« Bois un peu, cela te fera du bien. Tu es fatigué et à bout de nerfs, tu as besoin d'un peu de repos. Je veillerais sur toi d'accord. Mais va te mettre dans le lit si tu veux. »
Se redressant de nouveau, il se dirigea vers la cheminée de la chambre et sans difficulté aucune alluma quelques braises restantes dans l'habitacle de pierre. Chauffant la pièce un peu plus afin que la femme soit au maximum à son aise et dans un confort optimal.
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[Barthy] Silver rain was falling down upon the dirty ground of London Town