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| Sujet: Owen - Un tonnerre d'applaudissement pour Monsieur Loyal! Ven 15 Juin - 21:36 | |
| Owen D. O'Farrell
« L'appas du gain» FT. Mads Mikkelsen | CARTE D'IDENTITÉ
Nom : O'Farrell Prénom(s) : Owen D. Âge : 45 ans Groupe : Classe moyenne.
Nationalité : Irlandaise. Lieu de naissance : Baile Átha Cliath (Dublin). Date de naissance : 1847. Situation Civile : Célibataire. Religion : Protestant. Orientation Sexuelle : Hétérosexuel. Profession : Gérant du cirque de Londres. Quartier Résidentiel : The Stand. Activités Illicites : Esclavagisme, (Commanditaire de) meurtres. |
Jolie petite histoire... Son histoire commence en 1847 dans une famille bourgeoise en Irlande dans la grande et merveilleuse ville de Dublin. Owen O’Farrell vivait dans une famille assez froide et conservatrice qui faisait passer le luxe avant toute chose dans la vie. Ainsi, monsieur O’Farrell préférait passer son temps à gérer sa banque et ses employés qu’il engueulait sans arrêt que de s’occuper de son fils. Le couple n’avait pas eu d’autres enfants puisque madame O’Farrell avait du mal à enfanter et ils avaient eu la chance d’avoir un garçon après des années d’essais, alors ils ne voulaient plus en avoir d’autres. Par ailleurs, ces derniers avaient eu leur fils très tard et ils avaient respectivement 45 et 50 ans à sa naissance, diminuant les chances d’élargir la famille même s’ils l’avaient voulu. De toute façon, la mère du garçon n’aimait pas s’occuper de son fils, alors elle n’aurait pas voulu d’un autre morveux sur les bras. Elle délaissait toute charge parentale à leur nourrisse, Diane, qui était probablement plus sévère encore que ses propres parents. Il devait se lever à une heure bien précise, se laver quand elle l’ordonnait, rester assis en silence quand sa mère recevait la visite de ses amies, faire ses leçons après le petit-déjeuner. Jamais de sourire, jamais de câlins de sa part ou de celle de ses parents. Il n’était qu’une décoration qu’on entretenait jusqu’au jour où il pourrait reprendre les rênes de l’entreprise familiale. Sa vie était dirigée tout entière par sa famille, comme si elle était une sorte de spectacle qui devait finir sur la note parfaite sous les applaudissements du public.
Malgré son emploi du temps chargé, le jeune Owen avait toujours droit à une pause de deux heures où il pouvait s’occuper. Dans la grande maison où il habitait, on lui avait donné une pièce exclusivement pour lui remplie de jouets de toutes sortes. Il avait tout de suite compris comment il devait faire pour avoir ce qu’il voulait. Suffisait qu’il soit trop bruyant et trop envahissant pour qu’ils lui promettent de lui acheter le jouet qu’il avait vu dans une boutique en suivant sa nourrisse qui faisait les courses ou l'emmenait pour lui acheter des habits et que l’objet désiré apparaisse dans sa salle de jeu le lendemain parmi sa montagne de jeux de toutes les sortes et de toutes les couleurs. Cette existence lui apprit de ce fait la vanité et la possessivité. Il n’avait jamais appris à donner à autrui ou à partager. Tout ce qu’on lui donnait lui appartenait et il le gardait jusqu’à ce qu’il ne veuille plus ou qu’il soit trop abîmé pour être utilisé.
Quand il devint adulte, l’homme se fit offrir le poste de vice-président de la banque de son père. N’aimant pas travailler, il déléguait ses tâches à ses inférieurs, faisant ainsi que sa seule tâche était de remplir des contrats, recevoir des clients de temps en temps et d’accompagner son père dans des repas d’affaires. À l’inverse de son père, il était ainsi très paresseux et il n’avait pas d’ambition dans ce travail qui ne lui ressemblait pas. Sa mère mourut lorsqu’il avait 19 ans, mais cela ne toucha guère Owen qui ne l’avait jamais aimé. Cela poussa son père à former son fils le plus vite possible afin qu’il puisse reprendre sa compagnie à sa mort. Il lui promettait richesse et renommée en suivant sa recette à la lettre. Aimant le luxe et la vie sans effort, notre protagoniste fut charmé par cette idée et le laissa tout lui enseigner. Pendant ce temps, il continuait sa vie au crochet de son père, se payant une maison plus grosse que celle de son enfance, des meubles majestueux et des vêtements qui le confondrait avec les nobles de ce monde. Chaque vendredi, il avait sa petite habitude de se rendre à son bordel préféré pour choisir une fille et passer toute la nuit avec elle. Le patron étant avide de son argent le laissait faire ce qu’il voulait et il traitait bien souvent très mal les demoiselles qui recevaient qu’un très maigre pourboire de sa part et elles se disaient entre elles que c’était un pingre, mais elles n’avaient pas le choix de le recevoir sous les menaces de leur employeur qui les menaçait de les jeter à la rue si elles refusaient de s’occuper d’un homme qui le payait aussi bien.
C’est à l’âge de 23 ans qu’il rencontra une jeune femme magnifique qui attira tout de suite son regard. Ses cheveux d’ébène, ses lèvres comme des pétales de rose et ses yeux d’un vert pétillant l’avaient laissée sans voix et c’était bien la première fois qu’il se sentait si petit et si incertain de lui-même. Il était devenu quelque peu gauche, la faisant rire avec bienveillance. C’est en fréquentant cette femme qu’il découvrit le plaisir d’aimer et d’être aimé, de donner et de recevoir. Elle illuminait sa vie et il avait envie de devenir meilleur. Elle ne l’avait pas exigé de sa part, c’était tout simplement ce qui lui manquait pour avancer. Il avait manqué l’étincelle pour choisir la bonne voie et il l’avait trouvé. Ils s’étaient rencontrés dans un cirque de passage à Berlin. Ils avaient partagé le même banc et s’étaient laissés tous les deux emporter par la magie du spectacle. Il avait songé, l’espace d’un instant, qu’il enviait ce maître de cirque. Si libre, sans attache… Il vivait comme il le voulait sans qu’on juge ce qu’il faisait tant qu’il donnait à son public ce qu’il voulait. Pas d’étiquettes, juste la passion. Depuis ce jour-là, ils s’étaient revus et revus, puis sont devenus plus intimes, mais tout bascula lorsqu’elle lui apprit sa grossesse. Il n’aimait pas les enfants. Il avait toujours détesté ces jeunes qui mendiaient aux coins des rues et qui courraient dans les rues. Les cris, leur joie l’irritait. Peut-être un peu par jalousie… Dans tous les cas, il ne se sentait pas proche de la jeunesse et devenir père l’effrayait. S’emportant vivement, il jeta son amante à la porte et l’exilant de ce fait à une vie de femme célibataire et rejetée de sa famille puisque cet enfant était un « bâtard hors mariage ». Repoussant sa honte, il s'était convaincu que c’était mieux pour lui. Il n’était pas fait pour être aimé, pour donner ou s’occuper d’un sale mioche. Son but, à présent, était de devenir riche… Incroyablement riche…
À l’âge de 26 ans, sa vie prit un nouveau tournant lorsque son père mourut de la vieillesse en laissant à son fils unique toute sa fortune et sa banque. Owen fit comme il l’avait toujours fait : il déléguait tout son travail à son nouveau vice-président qui, à son tour, déléguait à ses inférieurs… Il était optimiste de se faire beaucoup d’argent et pensait même ouvrir de nouvelles succursales un peu partout en Irlande et peut-être même s’étendre à Londres! Son amour pour l’argent était de plus en plus fort et son amour des jeux de hasard aussi… Avant ses habituelles visites à sa maison de passe préférée, le bourgeois aimait bien passer au bar du coin et jouer contre les autres bourgeois. Il n’était pas mal bon et gagnait assez souvent, gonflant son orgueil de plus en plus ainsi que ses poches... Sur un coup de tête, un soir d’avril pluvieux, il déposa sur la table de jeu en paris les papiers de la maison, de sa compagnie et la clé de son coffre de banque en promettant à celui qui saurait le battre tout ce gros lot. Le pari fut accepté par un homme qui lui semblait stupide et il était certain de gagner. Au début, tout allait bien et il s’attendait à gagner la partie de cartes haut la main, mais il n’avait pas prévu que son adverse sorte une carte qui le fit perdre toute sa fortune. Il supplia son concurrent de faire une revanche qu’il refusa puis qu’il lui rembourse l’équivalant de tout son gain s’il lui laissait au moins sa banque et sa maison, mais il refusa encore en laissant Owen bien seul, fauché et à la rue. Un vieil homme qui vit la situation eut pitié de lui et s’approcha du jeune homme à qui il proposa un toit et assez d’argent pour vivre ou partir s’il le souhaitait en échange qu’il travaillerait un peu pour lui. Il suffisait qu’il lise pour lui les papiers importants puisqu’il n’avait jamais pu apprendre. Il accepta et il le fit pendant quelques mois. Il décida qu’il allait économiser pour partir à Londres refaire une nouvelle vie à la conquête de richesse.
La veille de son départ, on frappa à la porte. S’attendant à un dernier service que voudrait lui demander l’homme qui l’avait aidé, il ouvrit, mais il tomba sur une femme toute trempée tenant un bébé qui devait avoir un an dans ses bras. Elle mit la petite dans ses bras en disant qu’elle s’appelait Diana.
- Mais elle n’est pas à moi!, s’énerva-t-il en tentant de la rendre à la femme qui recula sous la pluie. - Je vous assure qu’elle est à vous, monsieur O’Farrell! Je suis une amie de Anne, celle que vous avez abandonnée… Elle est morte de la pneumonie. Je ne peux pas m’occuper d’elle, j’ai déjà 12 enfants à nourrir. C’est à vous de décider si vous la gardez où l’envoyer à l’orphelinat. Au revoir, monsieur…
Posant son regard sur l’enfant qu’il avait dans ses bras, il sut de suite qu’il ne pourrait jamais l’aimer. Étonnement, il la garda avec lui et c’est ensemble qu’ils regagnèrent Londres. Cela lui prit quelques années pour trouver les fonds nécessaires et les employés qui allaient devenir les vedettes de sa nouvelle troupe de cirque : le cirque O’Farrell. Pour la première fois de sa vie, il avait travaillé sans relâche et comme un forcené pour arriver, enfin, au résultat attendu! Le premier spectacle fût monté et il fit sensation. Ils purent continuer encore et encore. Il avait l’intention de refaire sa richesse en profitant de ses employés, les faisant travailler dur pour un salaire misérable. Malgré tout, il ne réussissait pas avoir une somme conséquente, vivant beaucoup trop aisément pour son salaire. Ainsi, il restait relativement pauvre malgré ses habits de noble qu’il se payait et cela l’obligeait à vivre dans une caravane.
Au cours de sa carrière, il se fit de nombreux ennemis, dont Loban Renfeild. Ce dernier avait fait en sorte que sa meilleure employée quitte son cirque. Après une altercation assez houleuse, il lui avait fait une vilaine cicatrice à l’œil avec un couteau et depuis, il espérait le voir mort parce que cet homme était un risque pour tout ce qu’il avait bâti! S’il découvrait qu’il faisait de l’esclavagisme, Owen O’Farrell risquait la prison et il était hors de question que cela lui arrive à lui! Alors, il flambait une grosse partie de son argent en tueurs afin de l’éliminer lui ou d’autres, nuisibles, qui viendraient trop dangereusement près de ses affaires. Il avait eu raison au final. Il n’était pas fait pour être "gentil". Maintenant, tout ce qui comptait était lui-même, son luxe et une bonne bouteille de whisky!
CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT Owen est un homme qui manque cruellement d’humanité. Ainsi, il est que froideur, mépris et cruauté envers les gens qui l’entourent. Tout ce qui compte, c’est sa petite personne et il ne montre de la charité pour personne et même sa fille ne reçoit aucun amour de sa part. Il a déjà aimé, mais il voit maintenant cela comme une faiblesse. Pour lui, l’amour finit toujours par faire souffrir et ajoute des problèmes dont il n’a pas besoin de s’encombrer. Ainsi, il n’aidera jamais personne. Au contraire, il n’hésitera pas à les arnaquer au besoin ou à leur faire payer le prix fort. Seule sa fille a droit à une « faveur » par respect d’une certaine manière et en espérant qu’elle accepte bien de poursuivre son œuvre lorsqu’il sera tant pour lui de prendre sa retraite. Il ne pense pas que les gens sont égaux et que seuls les blancs sont des êtres humains. Il n’hésitera pas à faire de l’esclavage pour cette bonne raison. Ses employés sont toujours sous-payés malgré le travail qu’ils font jour et nuit pour faire fonctionner le cirque. Pour avoir de l'agent, il est prêt à tout, mais il évite soigneusement de se salir les mains s'il le peut. Avec les prostituées, il manque énormément de classe et il les traite comme des jouets. Il s'est déjà fait jeter de chez Belinda pour être en retard dans ses paiements et pour la manière dont il traitait ses filles. | CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES Owen est un homme de taille moyenne dont les cheveux bruns se garnissent légèrement de gris depuis quelques années. Ses lèvres assez larges sont toujours marquées par le dédain, la moquerie ou la colère. Ses yeux bruns expriment encore plus sévèrement ses trois sentiments qui caractérisent l’homme et il s’illumine lorsqu’il trouve une nouvelle manière de faire de l’argent. Même s’il n’est plus un bourgeois après avoir tout perdu, il est très fier de sa personne, ainsi il porte toujours des vêtements neufs et il se rase de près tous les jours. Il aime bien porter de grands chapeaux hauts de forme pour lui donner une allure distinguée. Il a une cicatrice sur le ventre, marquant une bagarre qu’il a déjà eue dans un bar pour une raison qu’il a oublié à cause de l’alcool. |
plumyts 2016 |
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| Sujet: Re: Owen - Un tonnerre d'applaudissement pour Monsieur Loyal! Ven 15 Juin - 21:36 | |
| Sauvages créatures
« LIENS FÉMININS » Prénom P. Nomlien ⊹ ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. | |
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plumyts 2016 |
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| Sujet: Re: Owen - Un tonnerre d'applaudissement pour Monsieur Loyal! Ven 15 Juin - 21:37 | |
| Le plus beau titre de l'homme est celui d'homme
« LIENS MASCULINS » Prénom P. Nomlien ⊹ ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. ici tu décris votre lien en quelques lignes. | |
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plumyts 2016 |
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