[ANDREW F. DOWNCRY] - Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime.
Andrew F. Downcry
Avatar : Alan Rickman Messages : 1Date d'inscription : 18/10/2018
Sujet: [ANDREW F. DOWNCRY] - Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime. Jeu 18 Oct - 12:31
Andrew F. Downcry
« Le crime ne paie pas. »
FT. ALAN RICKMAN
CARTE D'IDENTITÉ
Nom : Downcry. Le père. Evitez « Senior », ça fait si vieux. Prénom(s) : Andrew, Frederick Âge : Il est rentré dans la cinquantaine, et cela se voit sur son visage, certainement accentué par ses années de services à Scotland Yard. Groupe : La Bourgeoisie
Nationalité : Ecossaise, là où les landes sont encore sauvages et le whisky une merveille nationale. Lieu de naissance : Inverness la Magnifique, dans les Highlands. Date de naissance : 12 Juin 1841. Situation Civile : Divorcé. Religion : De confession anglicane. Orientation Sexuelle : Hétérosexuel, Andrew a toujours été attiré physiquement par les femmes. Cela dit, cela ne l’empêche pas de pouvoir trouver un homme beau, sans que cela ne veuille dire quoi que ce soit. Profession : Directeur de Scotland Yard. Quartier Résidentiel : The Strand. Activités Illicites : Sa position au sein de Scotland Yard lui permet de blanchir certain dossier, parfois... Ce qu’il lui arrive de faire, même s’il sait pertinemment qu’il ne devrait certainement pas.
Jolie petite histoire...
Est-ce que les bruyères écossaises lui manquaient ? Indéniablement. Parfois, Andrew fixait cette vieille photo en noir et blanc d’Inverness, des landes autour. Il pouvait presque sentir l’odeur de son enfance. Est-ce qu’il regrettait ? Non, pas réellement. Parfois, il ne dirait pas non à un petit voyage, pouvoir fouler à nouveau ces terres quasi-sauvage qui respiraient le whisky et la chasse. Peut-être, un jour, quand il serait forcé de prendre sa retraite, rentrerait-il au pays. En serait-il seulement capable ? Il se souvenait du petit garçon, maigrichon et souvent recouvert de boue, qui jouaient et couraient dans les rues et les champs, qui se battaient parfois, qui cueillaient innocemment des fleurs sauvages pour la petite voisine. Cela s’accompagnait également d’une précarité qu’il ne pouvait oublier, d’une faim quasi-constante et d’un ventre trop peu souvent rempli, d’une joie simple que l’on pouvait trouver dans le plus pure des sourires d’un enfant. L’autre côté de la pièce reluisait moins. Il y avait ce père qui travaillait le jour, et buvait le soir. Les appels à l’aide silencieux d’une mère qui devait gérer le foyer malgré les beuglements d’un homme qui se transformait de mari aimant à bête quasi-violente. Avec le recul, Andrew a toujours admiré cette femme, si forte, qui portait sa famille et leurs problèmes sur les épaules.
Il ne se souvenait plus exactement de quand, comment et pourquoi ils avaient quitté l’Ecosse. Du moins, à l’époque, il n’avait pas compris. Accident du travail, son père n’avait pas survécu. Pendant quelques temps, ce fut plus un jeu de survie qu’autre chose. Sa mère restait admirable, et c’est peut-être pour cela qu’un veuf bourgeois londonien jeta son dévolu sur cette femme à la beauté indomptable, joyeux brut des Highlands au garçon vigoureux et encore malléable. Lui, il ne pouvait pas avoir d’enfant, et l’occasion pour lui retrouver une femme et un héritier était beaucoup trop belle pour qu’il la laisse passer. Est-ce que sa mère avait accepté ce mariage pour les sortir de leur misère, ou est-ce qu’elle avait trouvé un charme à cet homme ? Andrew n’avait jamais eu l’occasion de lui poser la question. Peut-être n’y avait-il d’ailleurs tout simplement jamais pensé. Le fait est qu’à partir de ce moment-là, le jeune Andrew dit au revoir à l’Ecosse, sa main s’agitant avec entrain pour dire au revoir à ces enfants qui avaient partagé son quotidien et à sa petite voisine pour qui il avait cueilli des fleurs.
Son existence avait totalement changé. Fini, les batailles dans la boue et bonjour l’éducation. Il devait apprendre à bien paraître, autant que faire se pouvait. Lire, écrire, compter, devenir un parfait gentleman. Cela lui réussit, peut-être : c’est en tous cas ce qui le mena sur le chemin de Scotland Yard. Non, il ne voulait pas être médecin, avocat, comptable ou il ne savait quoi encore. Il voulait aider la capitale à être un endroit plus sûr, dénué de cette criminalité qui la rongeait. Un endroit aussi sûr que l’était l’Ecosse de ses souvenirs d’enfant, endroit béni mais idéalisé par le jeune homme qu’il était. Lentement, marche après marche, avec force et persévérance, il gravit les échelons de sa carrière ; enterra sa mère, son beau-père, et se demanda comment elle aurait réagi en voyant ce qu’il était devenu. Outre le fait qu’il parvenait à briller, il se demandait surtout... Comment aurait-elle pris ses relations avec les femmes ?
Il ne savait pas y faire, apparemment. Ou bien il était trop gentil, et les londoniennes trop... Il ne savait pas. Ce qu’il avait appris, c’est qu’il ne fallait pas tomber pour une femme mariée. Cette Johanna Adler s’était servie de lui avant de piétiner allègrement son cœur en miette. Relation courte, trop courte, qui vaut maintenant à la femme d’être haït par le directeur de Scotland Yard. Les souvenirs sont toujours douloureux, mais il ne peut plus dire qu’il regrette. Est-ce qu’il regrette son fils, son cher Harry ? Non, bien sûr que non. C’est peut-être la seule bonne chose qui est sortie de cette relation voué à l’échec. L’amour rend aveugle, dit-on. Andrew dû élever seul son fils. Il tenta de le faire le mieux possible, et pense ne pas avoir trop échoué dans cette tâche. Sa seule déception fut le moment où Harry lui annonça qu’il voulait devenir vétérinaire, et non pas suivre ses traces dans la police. Quelle fierté cela aurait été pour Andrew ! Il chassa rapidement son amertume. Après tout, tout ce qu’il voulait pour son fils, c’était qu’il vive sa vie comme il l’entendait – et qu’il soit heureux. Il n’effacerait pas les preuves et les témoignages de son homosexualité – qu’il ne considère absolument pas comme un crime – si ce n’était pas le cas, n’est-ce pas ?...
[...]
CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT
Aimant et gentil, Andrew est un homme ayant de l’empathie à revendre. Quand il y réfléchit, c’est peut-être ce qui l’a mis sur cette voix, celle de désirer rendre les rues de Londres plus sûres et en chasser la criminalité. Quoi qu’il en soit, vous serez certain de trouver une oreille attentive en la personne du Directeur de Scotland Yard. Celui s’avère en effet posséder un esprit incroyablement ouvert pour l’époque ; indulgent et respectueux (sauf envers les criminels de haut vol), il n’y a pas grand-chose qui soit réellement capable de le faire sortir de ses gonds ou de le choquer, tant que vous restez dans la légalité. Ou sa légalité. Car Andrew n’est pas tout blanc malgré son bel esprit ; il exerce la justice, certes, mais la sienne. Et celle-ci ne correspond pas exactement à celle édicter par la société, puisqu’il lui arrive de fermer les yeux sur certains délits, là où le gouvernement aurait puni le fautif.
Et cela, il peut se le permettre grâce à sa persévérance et son efficacité, qui lui ont permis de grimper les échelons de sa carrière jusqu’à obtenir le poste de directeur de Scotland Yard. Sa logique implacable et son sens de la déduction développée lui ont toujours été de précieuses alliées dans l’exercice de ses fonctions, et en ont toujours fait un excellent policier – même s’il garde un goût amer de la fuite de Jack l’Eventreur. Le retour de ce dernier lui octroi la possibilité de prendre sa revanche, et il ne compte pas s’en priver : déterminé à éradiquer la criminalité des rues de Londres de nature, il n’en est qu’encore plus résolu à parvenir à ses fins.
Dans le privé, l’homme n’est pas aussi flamboyant que lorsqu’il court après les bandits – façon de parler. C’est un homme beaucoup plus timide et renfermé qu’on pourrait se l’imaginer, semblant faire la part des choses entre l’homme de Scotland Yard, et le père célibataire. Certains disent que c’est un exercice auquel tout bon policier devrait se plier : savoir dissocier sa vie des horreurs que le métier pouvait parfois nous entraîner à contempler. Cela dit, Andrew n’a que peu de relations en dehors de ses collègues de travail, puisqu’il n’est pas dans sa nature d’aller de lui-même imposer sa présence aux gens lorsqu’il n’est pas en fonction. Les quelques relations qu’il a pu avoir avec des femmes ont d’ailleurs toutes été courtes, voir catastrophique. En tant que père célibataire, il est très loin du modèle de réussite familiale de l’époque (et ce même si sa carrière est brillante) ce qui lui vaut d’être au cœur des potins des vieilles commères.
CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES
Andrew est un homme que l’âge commence à marquer. Les cheveux grisonnants, les traits marqués par les années qui passe et le dur métier qui est le sien (même s’il l’aime, ce métier), difficile de cacher la cinquantaine dans laquelle il vient d’entrer. Il n’a plus l’endurance ni la souplesse de sa jeunesse, et il sent, parfois, que sa force décline. Ses douleurs articulaires, il est capable des les endurer en serrant les dents lorsqu'il le faut, lorsqu'il n'a pas le choix. Pour autant, il sait rester droit, le bras fort et insoumis. S’entretenir un minimum et garder une forme respectable pour courir après les criminels lui semble essentielle, même s’il reste actuellement plus dans un bureau à lier entre eux chaque indice qu’à parcourir les rues à cheval, l’œil perçant ténèbres et visages. Néanmoins, si son corps vieillit et fatigue, son œil et son esprit reste vifs. Impossible d’échapper à ses yeux qui vous sondent lorsqu’ils vous soupçonnent ; ils peuvent se faire autant inquisiteurs qu’ils savent se montrer doux.
Dans la vraie vie, je suis...
Quel est ton pseudo ? Dukett. Un mec ou une fille ? Wonderwoman. Quel est ton âge ? 22 ans ET DEMI. Comment as-tu connu le forum ? *pointe les fondas du doigt* Je le connais depuis sa création, en réalité Un avis dessus : I'M FINALLY HERE. As-tu un DC ? Nop. Point encore. Pv/scénario/Inventé ? Pv. Code de validation : « J’aime boire de l’Earl Grey et manger des scones ».
Code:
<t>Alan Rickman</t> → <y>Andrew F. Downcry</y>
plumyts 2016
W. Bartholomew Collins
Âge : 38 Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois. Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞ Avatar : Tom Hiddleston Quartier Résidentiel : Londres Messages : 351Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: [ANDREW F. DOWNCRY] - Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime. Jeu 18 Oct - 19:24
Bienvenue (re ?) par ici Super choix de personnage au passage
Felix J. Adler
Admin
Âge : 38 Emploi : Horloger Royal. Informations : Souffre d'un autisme d'Asperger • Dyslexique • Est obsédé par son métier • Rêve de travailler sur l'horloge de Big Ben. • Insomniaque. • Parle peu • Se sent mal à l'aise dans une foule • A quelques bases d'Allemand et de Français • A le corps glacé et est d'une pâleur à faire peur • Origines Juives • Possède une Pamphobeteus Platyomma mâle pour animal de compagnie • Est le mari d'Amy S. Adler. Avatar : Johnny Depp Quartier Résidentiel : Lambeth. Messages : 3763Date d'inscription : 14/09/2016
Sujet: Re: [ANDREW F. DOWNCRY] - Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime. Jeu 18 Oct - 19:28
Papa. Bienvenue à toi pour la première fois. Si tu as la moindre question, meh, je crois que tu sais déjà où nous trouver. *sort*
Sujet: Re: [ANDREW F. DOWNCRY] - Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime. Ven 19 Oct - 5:03
Bienvenue, super choix de personnage
Diana O'Farrell
Âge : 27 Emploi : Dresseuse de lion au Cirque d'O'Farrell Avatar : Krysten Ritter Quartier Résidentiel : The Strand Messages : 58Date d'inscription : 31/07/2018
Sujet: Re: [ANDREW F. DOWNCRY] - Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime. Ven 19 Oct - 11:00
Bienvenue, futur beau-papa Hâte de lire ta fiche !
Joséphine E. Morel
Âge : 28 Emploi : Officiellement aucun, officieusement romancière. Informations : ◈ Fiche de présentation
◈ Fiche de liens
◈ Mes RPs
✎ Eugène Morel est le pseudonyme utilisé pour signer ses romans.
Joséphine est féministe et fait de ses convictions le sujet principal de ses romans.
Habite la demeure du cousin de son père, M. Devlin Stanton, dans The Strand.
Afin de mousser son inspiration pour ses romans, Joséphine s'habille parfois en homme pour se promener incognito dans les rues de Londres. Avatar : Helena McKelvie Messages : 1620Date d'inscription : 25/11/2016
Sujet: Re: [ANDREW F. DOWNCRY] - Ce n'est pas l'échec, mais le manque d'ambition qui est un crime. Ven 26 Oct - 21:15
Bienvenue à toi!
Johanna E. Adler
Âge : 61 Emploi : Officiellement rentière. Officieusement, dirige les affaires Adler et Weil Informations : -1m76.
-Grand Inspecteur Inquisitrice des Francs-Maçons (N°3 de l'Ordre)
-Possède 2 serpents, 2 pythons nommés Bruce et Diana.
-Alcoolique
-Grande forme physique
-Sait piloter et commander un navire
-Parle 7 langues: l'anglais, l'allemand, l'alsacien, le français, l'espagnol, le suédois et le cajun.
-Petite, elle a apprit à manier le sabre d'abordage. Elle a beaucoup oublié, mais a encore quelques restes.
-Emploie parfois des termes et un jargon de marin.