Sujet: Wang - When I become my worst enemy Jeu 13 Oct - 14:08
Wang Jiao Smith
« Le remords n'est qu'une rouille sur le tranchant d'un acier splendide. »
FT. Lee Byung Hun
CARTE D'IDENTITÉ
Nom :Smith. Ce n'est pas son vrai nom de famille. Lors de son premier travail, le contre-maître a lâché un "Va pour Smith" après avoir entendu son vrai nom. C'est rester. Prénom(s) :Wang Jiao. En fait, il s'agit de son nom entier, Wang étant son vrai nom de famille et Jiao son prénom. Lorsqu'on l'a baptisé du patronyme 'Smith', Wang Jiao a fait office de prénom composé. Parfois, il en fait la remarque, plus par principe qu'autre chose. Âge :36 ans, un vrai miracle étant donné ces conditions de vie. Il n'espère pas passer le cap de la quarantaine et vit chaque jour comme s'il s'agissait du dernier. Groupe : Classe Ouvrière
Nationalité : Chinoise. Lieu de naissance : Hong Kong. Date de naissance : 22 Décembre 1854 Situation Civile : Célibataire. Religion :Agnostique. Il a été élevé selon la philosophie Taoïste. À leur arrivée en Angleterre, ses parents ont essayé de comprendre en vain les étranges croyances anglaises dans une tentative de mieux s'intégrer. Il lui reste des traces de ces essais de compréhension d'une culture très différente de la leur ainsi que des vieux réflexes de son enfance. Agnostique est certainement le terme qui correspond le mieux pour définir l'étrange mélange qui en est ressorti. Orientation Sexuelle :Hétéro. La vie à Londres lui a appris deux choses : que l'amour devait s'acheter et que rien ne vaudra la beauté des demoiselles de son pays d'origine. Profession : Lanceur de couteaux dans le cirque O'Farrell. Quartier Résidentiel : Southwark. Activités Illicites : Accro à l'opium. Sa tendance à accumuler des dettes l'a également conduit à se servir de ces couteaux pour du travail, disons, plus 'salissant' que les spectacles du cirque.
Jolie petite histoire...
La vie est un cycle, comme la roue où est attaché un de ces compagnons de galère durant un des tours du spectacle. Elle tourne, enchaînant un jour après l'autre, marquer par des événements répétitifs : Le cirque pour se sentir en paix, l'opium pour se souvenir, les jeux et l'alcool pour se sentir vivant, les sales besognes pour survivre.
Le cirque pour se sentir en paix. C'était le seul endroit où il se sentait véritablement à sa place. Ici, au milieu de la piste, concentrer sur les mouvements de la roue avec un de ces couteaux à la main, il était chez lui. Comme si tout ce qui lui était arrivé dans la vie ne s'était produit que pour aboutir à cet instant. Rien d'autre ne comptait. Pas même la présence exceptionnelle de sa petite soeur de douze ans et de son oncle dans le public. Comment avaient-ils eu l'argent pour avoir des places ? Cet argent n'aurait-il pas pu être dépensé pour une meilleure utilité ? Ces questions arriveront plus tard dans son esprit. Pour l'heure, toute sa concentration était sur son lancé. Wang souffla doucement. Il sentait une goutte de transpiration s'écouler lentement le long de sa tempe, mais, ce qui l'inquiétait le plus, c'était le léger tremblement qui secouait sa main tenant le couteau. Un tremblement qu'il essayait de réprimer au mieux. Les symptômes trahissant un état de manque avaient commencer avant le spectacle, cependant, pour l'heure, s'était surtout ce tremblement qui l'inquiétait pour l'instant.
Un mouvement rapide et un bruit de choc contre le bois. La lame s'était plantée à un millimètre à côté de la joue gauche de son partenaire, laissant apparaitre une mince coupure. Wang se permit enfin de pousser un mince soupir, autant de soulagement que pour se délester des restes de pressions qui lui tendaient toujours les muscles durant ces démonstrations. Le reste du spectacle se passa sans problème.
"Sur le dernier lancer, j'ai cru que j'allais finir avec une oreille en moins." Plaisanta son comparse dans les coulisses.
"Je n'ai pas raté." Répondit laconiquement Wang, en essuyant un de ces couteaux.
Il aurait pu plaisanter sur le fait que la cicatrice plaira aux femmes ou mentir en assurant qu'il avait fait exprès pour mettre un peu de tension au numéro. Ce n'était pas qu'il ne voulait pas se montrer plus tendre dans ces mots, c'est qu'il ne pouvait pas. Cela faisait presque vingt ans que Wang était à Londres et pourtant son vocabulaire dans la langue locale restait des plus sommaire. Mieux qu'à son arrivé où il ne connaissait pas un seul mot d'Anglais, mais, bien qu'il enrichisse son vocabulaire chaque jour, certains mots trop longs ou trop compliqués restaient encore lacunaires. Heureusement, les autres membres de la troupe avaient appris à lire entre les lignes et les mots qu'il ne disait pas.
Comme en cet instant, où un regard lancé par-dessus l'épaule et un claquement sec lorsqu'il remit son couteau dans son étui lorsque Wang vit sa petite soeur et son oncle s'approcher suffit à faire passer le message. Son collègue s'en alla après un tapotement d'épaule d'encouragement.
Le lanceur de couteau n'était pas ravi de voir les deux seuls membres de sa famille qui lui restait. Il aurait préféré compter les pièces qui lui restaient à se rendre à une fumerie afin de faire cesser ces tremblements. Pourtant, il se força à sourire lorsque la petite Liu courut vers lui. Difficile de faire autrement. Parce qu'elle se déroula dans sa langue natale, la discussion fut qui suivit fut beaucoup plus soutenue. Si vous vous demandiez comment on pouvait avoir un vocabulaire des plus mince après plus de dix ans à Londres, vous avez votre réponse. À leur arrivée, ils étaient resté entre eux, une mini-communauté dans celle déjà à part des miséreux. Ce n'est que lorsque cette communauté s'était décimée, qu'ils avaient fait des efforts pour essayer de s'intégrer.
Passons. Son oncle ne tarda pas à sentir que son neveu essayait d'écourter aussi poliment de possible cette visite surprise. Son oncle posa une main ferme sur l'épaule de la gamine de douze ans. "Viens, Liu, ton frère préféré aller chasser le dragon plutôt que de nous voir." Dit-il avec un regard lourd de reproche. Avec son innocence d'enfant, Liu demanda si c'était vrai, imaginant sans doute son frère combattre avec ces couteaux de terribles cracheurs de feu. En un rien de temps, ils étaient partis. Wang jura. Bizarrement, il maîtrisait très bien les jurons anglais. Il jura, mais ne fit aucun geste pour les retenir. À quoi bon ? Son oncle avait raison.
L'opium pour se souvenir. Triste réalité, cette drogue était un lien bien plus fort qui le reliait à son pays natal que celui l'unissant à sa famille. Le mal du pays, c'était ça qui l'avait fait plonger en premier. Lui et d'autres garçons de son âge. Wang ne savait pas ce que voyaient les autres quand ils fumaient, mais lui revoyaient la Chine. Pas celle de son enfance, mais plutôt celle que lui décrivait sa mère chaque soir. La ville de Hong Kong telle qu'elle avait été avant l'arrivée des Anglais. Une ville qui ne vous donnait pas l'impression de ne pas être chez vous, presque trop idyllique pour être vrai, décrit dans des chants qui berçaient ces rêves d'enfant. Des rêves qu'il retrouvait parmi la fumée de la drogue inhalée. L'opium était vite devenu la solution à tout. La récompense après une dure journée de travail à l'usine, le remède permettant de faire taire le mal du pays et tant d'autres choses encore. Tous les prétextes étaient bons pour y retourner. Que son père désapprouve ne changeait rien. Quant à sa mère, elle ne lui avait lancé qu'un sourire triste, comme si elle comprenait, sans oser prendre sa défense. Du moins, c'est ainsi qu'il aimait interpréter le passé.
Les jeux et l'alcool pour se sentir vivant. Presque aussi dangereux que l'opium, sauf que sa famille ne pouvait pas lui faire de reproche sur cet autre passe-temps. Wang avait toujours eu des excuses acceptables à leur fournir. Il disait que c'était pour mieux s'intégrer ou prétendait que les paris servaient à ramener un peu plus d'argent. Des mensonges drapés d'un petit fond de vérité. Il est vrai que c'est en découvrant les paris qu'il a amélioré son vocabulaire anglais, enfin parvenu petit à petit à faire des phrases complètes et non enchaîner des mots en le faisant passer pour un simple d'esprit. L'alcool avait aussi l'effet d'effriter le mur de méfiance qu'il avait érigé face aux Anglais. En dehors de ces moments, il gardait le visage fermé pour ne pas qu'un regard ou un sourire ne soit interpréter de travers. À l'inverse de son père qui affichait un sourire poli en toute occasion. C'était aussi par cet intermédiaire qu'il avait commencé à manier la lame. D'abord entraîné, son lancer avec les fléchettes, puis en voulant tester des jeux qui louvoyaient de plus en plus avec le danger... Le jeu du couteau avait vite eu sa préférence, comme pouvait en témoigner les fines cicatrices blanches qui parsemaient ces doigts. Des années plus tard, le directeur du cirque, Owen D. O'Farrell, l'avait trouvé ainsi : à moitié ivre, la main posée sur celle de l'autre parieur et jouant au jeu du couteau, accélérant toujours plus l'allure sans jamais frôler la peau de son partenaire de jeu.
Les sales besognes pour survivre. Wang ne s'en plaint jamais. Avec des passe-temps aussi coûteux que les jeux et l'opium, il ne pouvait en être autrement. Qu'importe d'être traité comme un esclave par le directeur. N'était-ce pas une chance d'avoir un toit au-dessus de la tête et de la nourriture dans son assiette ? De la même manière, devoir rendre parfois des services à des personnes peu recommandables ne le gênait pas non plus. Les dettes qu'il accumulait sans cesse devaient bien être payées d'une manière ou d'une autre. La méthode l'importait peu. Si ces lames devaient tremper dans du sang, et ces mains dans la boue pour effacer son ardoise : qu'il en soit ainsi !
Le cirque pour se sentir en paix, l'opium pour se souvenir, les jeux et l'alcool pour se sentir vivant, les sales besognes pour survivre. On dirait presque un mantra à répéter chaque jour. En dehors de cela, on mange, on dort, un jour s'achève, pour qu'un autre jour commence et ainsi de suite, jusqu'à la fin. La vie n'était pas seulement un cycle, c'était courant qui vous emportait au loin. Wang ignorait si ce courant était dirigé par le Tout-puissant, comme le déclaraient les prêtres d'ici, ou par quelque chose d'autre. Sans doute. En tout cas, il était certain qu'il valait mieux se laisser emporter en profitant des maigres plaisirs ressentis durant la traversée. Agir contre cet équilibre, essayer de lutter ou de nager à contre-sens, avait des conséquences dramatiques. Son père aurait dû le savoir. Qu'est-ce que cela lui avait apporté de rêver d'une vie meilleure en conduisant sa famille ici ? D'abord, il disait "tout ira mieux en Angleterre" puis, lorsqu'il avait constaté le contraire, il avait tout misé sur Londres. Pour le même résultat. Voilà ce qui se passait quand on convoitait la vie des autres. Qu'est-ce que ces convoitises lui avaient apporté ? Qu'est-ce que lui avait apporter le fait de trimer plus que les autres ? Au final, il était mort dans un accident à la fonderie, quelque temps après la naissance de Liu. Il avait été enterré sommairement avec les autres ouvriers ayant perdu la vie dans l'accident, sans qu'on ne tienne compte de leurs croyances. Si durant cette première perte, Wang s'était révolté, une certaine fatalité l'avait habité lorsque sa mère mourut à son tour, quelques semaines plus tard. Un hiver trop froid, l'accouchement l'avait affaibli, Wang avait balayé ces excuses. Pour lui, il était évident que sa mère était morte de chagrin. Heureusement, il avait pu compter sur leur oncle. Malgré tout, le sentiment fataliste qui abritait son coeur ne le quittait plus. Il aurait aimé que son oncle tire les leçons et décide de retourner en Chine. Mais il s'entêtait à rester, parce qu'on était têtu dans la famille. Aujourd'hui, Liu était assez âgé pour travailler dans une filature. Lorsqu'il avait rejoint le cirque, Wang en profita pour couper les ponts avec ce qui lui restait de famille. Il n'était pas un modèle à suivre et puis il ne voulait pas assister à la descente aux Enfers de sa petite soeur. Quel destin peu enviable l'attendait. Mieux valait boire et essayer d'oublier. Vivre sa vie, un jour après l'autre, jusqu'à la fin.
CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT
Froid et distant, c’est la première impression qu’il vous donnera. Une fausse première impression, car s’il se montre méfiant ou sur la défensive envers vous dans un premier temps, vous découvrirez ensuite très vite que, ces lacunes en anglais est la réelle explication de son silence. Même après des années dans cette ville, il ignore encore la signification de certains mots et préféra essayer de deviner ou se taire plutôt que d’avouer son ignorance devant des mots trop complexes et des tournures de phrases qu’il qualifiera de tordue. Pour la même raison, il parle sans détour (ce qui peut être une qualité comme un défaut chez lui) et réfléchira longuement avant de prendre la parole, faisant beaucoup d’effort pour formuler une phrase aussi complète que possible.
S’il est prudent dans ces paroles, on ne peut pas en dire autant dans ces actes. Il peut se montrer brusque et têtu, mais surtout, il est prompt à formuler des paris. Un travers qui s’amplifie quand l’alcool est de la partie. Il n’y a que dans ces moments-là qu’on le voit sourire ou rire. Par contre, l’opium le rendrait plutôt mélancolique et nostalgique. Malgré tout, il n’arrive pas à s’en passer.
Un penchant couteux qui l’oblige à se montrer débrouillard et travailleur. On ne le verra jamais protester en ce qui concerne la qualité ou la quantité de la nourriture. C’est déjà une chance d’avoir quelque chose dans son assiette. Pareil pour la paie. Il ne rechignera jamais devant un ordre du directeur du cirque, conscient que c’est grâce à lui qu’il a un toit au-dessus de la tête et un travail. D'ailleurs, sa loyauté envers le cirque est sans faille et il n’y a qu’avec ces compagnons de misère qu’il se montre moins taciturne.
En dehors des personnes entrant dans cette catégorie, le destin des autres l’indiffère. Si vous pensez qu’il dispose d’un code d’honneur sous prétexte qu’il est Asiatique, vous allez être très déçu. Pour effacer les dettes qu’il a tendance à accumuler (que se soit à cause de sa consommation d’opium ou à cause de paris perdus), il serait prêt à faire n’importe quoi. Même tuer ne le dérange pas. Personne ne peut rester droit dans ces bottes en vivant à Southwark.
En parlant de stéréotype, il a conscience des raisonnements faussés circulant sur des gens comme lui et, lorsqu’il est d’humeur chafouine, il peut en jouer.
Le secret de son agilité à manier la lame ? Il n’y a pas de secret, mais du travail. Il déteste qu’on parle de « don » ou de « talent ». Dans la vie, il n’y a pas de raccourci. En tout cas, pas pour des gens comme lui.
Par contre, il y a un mystère qu’il ne pourra expliquer. C’est la tendance de certaines personnes à se confier à lui. Peut-être parce qu’ils sont persuadés qu’il va commenter par un proverbe ancestral ou par une perle de sagesse à cause de ces origines, ou que son caractère silencieux incite à combler le vide, ou alors, c'est à cause de son anglais plus que perfectible qui fait qu’il ne comprendra pas la moitié de ce qui sera dit, ou tout simplement parce que les gens qui le connaissent savent qu’ils trouveront en lui une oreille attentive et surtout que les secrets confiés le resteront.
CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES
Il n'y a que dans les alentours du chapiteau du cirque O'Farrell que Wang peut espérer passer inaperçu, parmi les marginaux se tuant au travail pour les spectacles. Ces vêtements ont beau être ordinaire, dans des tons le plus passe-partout possible, aussi rapiécé et usé que ceux portés par n'importe quels autres habitants de Southwark, il jurera dans le décor.
L'autre détail qui dénotera chez lui, est sa ceinture de couteaux dont il se sépare rarement. Il est évident qu'il en prend soin. Là où ces vêtements sont rapiécés et tachés, où ces chaussures sont usées jusqu'à la corde, ces étuis de lames et les armes en elle-même sont dans un état impeccable. On pourrait presque croire qu'ils sont neuf. Wang les nettoie et les affute régulièrement, quitte à sacrifier des heures de sommeil pour le faire.
Bien qu'il donne une impression négligée (sauf lors des spectacles où il fait un effort), des petits détails trahissent un certain sérieux. Par exemple, il porte toujours des mitaines, ce qui permet de cacher un maximum les nombreuses cicatrices dues à ses entraînements ou à des paris mettant au défi son agilité avec ces lames. Pour éviter d'avoir une mèche rebelle de cheveux venant le gêné, il les garde toujours attachés, quelque que soit leur longueur du moment. Ses cheveux sont maintenus par une épingle aussi aiguisée que les couteaux à sa ceinture, une sorte de dernier recours tel un joueur de Poker qui garderait toujours un As dissimulé dans sa manche au cas où.Tous les objets qu'il possède ayant un tant soit peu de valeur ont été mis en gage pour payer ces dettes. Il n'a donc plus aucun souvenir familial pouvant lui rappelant le pays.
Son visage reste neutre (sauf lorsqu'il est question de paris ou d'alcool) tandis que ses yeux noirs et bridés vous décortiquent sous toutes les coutures avec froideur et méfiance. Bien que ses entraînements au couteau et le rythme de la vie au cirque lui aient donné des muscles, il n'a pas une carrure imposante. Sa dépendance à l'opium marque son visage, le creusant lorsque le manque se fait particulièrement sentir, lui donnant en apparence quelques années de plus à cause de rides de fatigue se creusant autour des yeux. Impression renforcer par la moustache et le bouc qu'il porte sans vraiment chercher à les entretenir.
Dans la vraie vie, je suis...
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Amy est très douée dans son domaine, la couture. ⊹ Ressentais une profonde frustration envers son mari durant les cinq précédentes années, ce qui l'incitait à accepter plus facilement les avances d'autrui. ⊹ A des tendances névrosées et borderline. ⊹ Ne supporte pas/ou difficilement les enfants en bas âge. ⊹ Apprécie la compagnie de l'alcool et du tabac bon marché. ⊹ Est d'une grande immaturité. ⊹ Très facilement morte de jalousie en compagnie d'autres femmes. ⊹ Manque de confiance en elle-même et a souvent besoin qu'on la rassure sur son apparence. ⊹ Passe beaucoup trop de temps devant le miroir à peigner ses très longs cheveux noirs. ⊹ Femme de Felix J. Adler. ⊹ A ouvert récemment un bordel de luxe dans un vieil hôtel rénové de Whitechapel. Avatar : Eva Green Quartier Résidentiel : Londres Messages : 3210Date d'inscription : 17/09/2016
Sujet: Re: Wang - When I become my worst enemy Jeu 13 Oct - 14:18
BIENVENUE
Ce perso claque d'enfer.
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Sujet: Re: Wang - When I become my worst enemy Jeu 13 Oct - 14:27
Ouaaaaah ce personnage !! Il claque comme dit Amy, j'adore, c'est super prometteur. ** Bienvenue parmi nous !!
Felix J. Adler
Admin
Âge : 38 Emploi : Horloger Royal. Informations : Souffre d'un autisme d'Asperger • Dyslexique • Est obsédé par son métier • Rêve de travailler sur l'horloge de Big Ben. • Insomniaque. • Parle peu • Se sent mal à l'aise dans une foule • A quelques bases d'Allemand et de Français • A le corps glacé et est d'une pâleur à faire peur • Origines Juives • Possède une Pamphobeteus Platyomma mâle pour animal de compagnie • Est le mari d'Amy S. Adler. Avatar : Johnny Depp Quartier Résidentiel : Lambeth. Messages : 3763Date d'inscription : 14/09/2016
Sujet: Re: Wang - When I become my worst enemy Jeu 13 Oct - 14:40
Bienvenue parmi nouuuuuuus !
Je rejoins l'avis de ceux ci-dessus ! Ton personnage claque ! Si jamais tu as des questions, n'hésite pas à venir nous trouver !
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Sujet: Re: Wang - When I become my worst enemy Jeu 13 Oct - 14:49
Bienvenu! :D
Indianna Peters
Âge : 25 Emploi : Servante, fille à tout faire. Informations : Se pense orpheline ➸ Es servante pour Miss Bolton au bordel depuis toujours ➸ Est en réalité la fille illégitime de M. Harrington. Mais ignore tout, évidement ➸ Est sous la protection de Miss Bolton pour une obscure raison, mais la considère comme une mère. Même si cette amour n'est pas réellement réciproque ➸ Travail très dure chaque jour, mais ne s'en plein jamais ➸ Ne sais pas lire mais tente d'apprendre seule ➸ Parle assez peu, mais écoute beaucoup ➸ Peu avoir un tempérament de feu. Pourtant la plupart du temps elle sera douce, agréable et serviable ➸ Malgré son corps de femme c'est une enfant qui à grandi trop vite ➸ Son plus grand plaisir, courrir dans les champs sous la pluie. Ce sentir libre et sans attache ➸ Est "amoureuse" d'un homme qu'elle ne connais pas an réalité ➸ Dessine parfois le soir à la lumière d'une bougie, quand Morphée lui refuse ses bras. Avatar : Sophie Turner Quartier Résidentiel : Londres Messages : 482Date d'inscription : 29/09/2016
Sujet: Re: Wang - When I become my worst enemy Jeu 13 Oct - 14:55
Bienvenue par ici
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Sujet: Re: Wang - When I become my worst enemy Jeu 13 Oct - 17:33
merci beaucoup
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Sujet: Re: Wang - When I become my worst enemy Jeu 13 Oct - 17:35
Bienvenuuue! \o/ Trop contente de te voir parmi nous! Effectivement, t'as bien fait de prendre ce personnage, il déchire! (et ton avatar omg... ça fait très Django, je kiffe, merci les 7 Mercenaires XD)
W. Bartholomew Collins
Âge : 38 Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois. Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞ Avatar : Tom Hiddleston Quartier Résidentiel : Londres Messages : 351Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: Wang - When I become my worst enemy Ven 14 Oct - 16:02
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Sujet: Re: Wang - When I become my worst enemy Ven 14 Oct - 21:19