Une femme mariée comme il faut. [Augusta Baldwin]

Augusta Baldwin

« Les hommes se sont rebellés, et Dieu les a livré à des passions avilissantes »

FT. ROSE LESLIE

CARTE D'IDENTITÉ

Nom : Baldwin.
Prénom(s) : Augusta .
Âge : 30 ans.
Groupe : Bourgeoisie.

Nationalité : Anglaise.
Lieu de naissance : Londre.
Date de naissance : 2 janvier 1860.
Situation Civile : Mariée, deux enfants .
Religion : Anglicane, tendance high church.
Orientation Sexuelle : Et bien, comme tout le monde, hétérosexuelle, non ? Bien sûr, elle couche régulièrement avec une femme, mais c'est... un égarement. Et c'est probablement l'alcool qui lui fait ressentir plus de plaisir qu'avec son maris. Non, vraiment, Augusta est une femme qui respecte les règles. .
Profession : Femme au foyer, assiste parfois son maris pour quelques paperasse dans son travail (il est fondateur d'un cabinet d'avocat spécialisé dans la finance).
Quartier Résidentiel : Westminster.
Activités Illicites : Adultère, homosexualité. A avorté

Jolie petite histoire...
Une main se referme sur son sein. Elle soupire. Elle sent une autre main qui, doucement, s’insinue entre ses cuisses, la taquine, la fait gémir et…

Elle se réveille. Brusquement.

Regarde autour d’elle.

Elle est seule dans sa chambre. Son mari n’est pas là. Ce n’était qu’un rêve. Un rêve stupide, un rêve malsain, un rêve qui l’amènera en enfer.

Un rêve qui a laissé son entrejambe humide.

Elle tente de résister à la tentation. Bande sa volonté. Pense à sa vie, la vie comme il faut qu’elle doit mener.

Elle a dix ans. Agrippée à la main de sa mère, elle se tient droite dans sa tenue noire de deuil. Comme on lui a dit, elle retient ses larmes et baisse pudiquement le visage pour montrer sa tristesse. Après tout, elle enterre son père. A la fin du service, elle accompagne sa mère pour saluer le célébrant. Soudainement, Victoria Saint James ne semble plus si endeuillée, alors qu’elle minaude face au jeune pasteur, un quarantenaire jamais marié.

Elle a quinze ans, et s’assoit avec réticence face au bureau de son beau-père. Comme trois fois par semaine, elle doit recevoir des « cours particuliers » pour qu’elle ait une « bonne moralité ». Elle, elle se doute bien que le Révérend Robert est moins intéressé par l’état de son âme, que par celui de son décolleté. Elle remarque bien ses yeux qui s’égarent. Elle se raidit dès qu’il la touche – et il le fait bien plus souvent que nécessaire. Et lorsqu’il n’est pas occupé à profiter de la vue, il parle. Il lui explique bien comme le monde est fait : ceux que Dieu a jugés digne de régner, règnent. Les autres doivent obéir. C’est pour ça qu’il faut combattre l’idée pernicieuse que le travail des enfants est mauvais, ou que les femmes ont des droits. Elle, elle reste immobile, elle écoute, et elle ne bouge pas. Elle ne dit rien. Jamais.

Elle a dix huit ans. C’est une belle jeune fille, et elle fait la fierté de sa famille. Par son maintien, son éducation, et son visage, elle a réussit à s’imposer dans des cercles légèrement plus riche que ce dont sa famille a l’habitude. Avec un père soldat mort en service, une mère toujours belle à quarante ans, un beau-père dont les prêches sont très appréciés des politiques, et un jeune frère qui semble promis à un avenir brillant, elle a le profil parfait pour se faire inviter partout. Et depuis quelques semaines, elle croise régulièrement le même jeune avocat à des dîners et des belles. Elle aime son humour pince-sans-rire, sa gentillesse, et surtout, surtout, comment il la regarde parfois, quand il pense qu’elle ne le voit pas.

Elle a vingt et un ans. Et ce matin là, pour la première fois, elle se réveille Augusta Baldwin. Après encore quelques mois à se tourner autour, Edward a demandé sa main à ses parents, qui ont accepté avec enthousiasme. Les fiançailles ont été longues, mais qu’importe. Le mariage a été parfait, si on excepte le sermon parlant d’enfer et de damnation éternelle de son beau père. Edward n’avait d’yeux que pour elle, et sa belle-mère d’une rare amabilité. Bien sûr, il y a eu ce moment un peu gênant, au moment du coucher… Elle en sent encore une douleur entre les jambes. Mais enfin, ça n’aura duré que quelques minutes, et puis dans le futur, ils feront chambre à part.

Elle a vingt trois ans. Elle regarde d’un air curieux sa fille Maud faire quelques pas maladroits sur le tapis. La nourrice se tient fièrement derrière elle. Son mari à un léger sourire fier – cela fait un moment qu’elle ne l’a pas vu sourire. Sa belle-mère, elle, pince des lèvres. Elle a déjà fait savoir plus tôt que quand un bébé marchait tôt, il avait mauvais caractère plus tard. Mais enfin, sa belle-mère n’est de toute façon jamais contente. Augusta ne sait pas vraiment si elle aime la maternité ou pas. La grossesse et l’accouchement ont été désagréables – sans parler de la conception. Mais maintenant, tant que Maud ne parle pas, c’est plutôt sympathique, non ?

Elle a vingt cinq ans. Elle dévale un escalier à toute vitesse, furieuse. Elle devait aller à un thé chez sa bonne amie Margaret, mais bien sûr, Edward aimerait bien qu’elle lui trie quelques papiers – apparemment confidentiel, parfois c’est à croire qu’il détourne de l’argent. Et évidemment, la bonne d’enfant a un jour de congé exceptionnel, pour enterrer sa sœur ou quelque chose comme ça. Alors voilà qu’elle se retrouve avec Maud, deux ans, et Lilian, trois mois, sur les bras. Et vraiment, elle n’a absolument aucune idée de que faire avec ses deux gamines. Qu’est ce qui lui a pris de se marier ? Qu’est ce qui lui a pris d’avoir des enfants ? Elle en a marre.

Elle a vingt six ans. Elle est allongée sur son lit, pâle comme la mort, avec l’impression qu’on lui broie les entrailles. Et son mari tourne autour de son lit, furieux. « C’est ridicule, Augusta. Tu es malade. Tu saignes. Pourquoi, enfin, refuses-tu d’appeler un docteur ? Je vais le faire, tiens. » « NON ! » Elle se redresse difficilement, lui attrape le bras, gémit. « Non. Par pitié. Si tu m’aimes… Si tu m’as aimé… » Elle ne peut pas. Elle ne peut pas lui dire qu’elle n’est pas malade. Elle a juste avorté à l’aide d’une longue aiguille et d’une servante, dans sa salle de bain. Mais personne ne peut jamais savoir. Jamais.

Elle a vingt sept ans. Elle est venue confronter pour la seconde fois la pute de son mari. Ou du moins, était ce son objectif. Lorsqu’elle a découvert qu’Edward voyait une prostituée… Son sang n’a fait qu’un tour. Elle allait confronter cette petite gourgandine, et récupérer son mari. Cela faisait peut être quelques années qu’ils étaient devenus un couple enfoncé dans la routine, mais enfin, il l’avait bien aimée, un jour ! Elle aurait dû hurler sur trainée, la frapper, et l’oublier. Elle aurait dû faire ça la première fois. Alors pourquoi donc est-elle en train de l’embrasser ? Pourquoi a-t-elle une main sur son sein, et pourquoi, pourquoi au nom du Bon Dieu, sent elle un brasier se réveiller dans son bas-ventre ?
Elle s’arrête là, secoue la tête.

Oublier. Elle doit oublier.

Elle est une femme mariée, elle à deux enfants, le second mari de sa mère est un pasteur.
Elle n’a pas le droit. Pas le droit. Pas le droit. Pas le droit.

Et c’est en répétant ça qu’elle s’abandonne, qu’elle glisse sa main entre ses jambes pour apaiser la lancinante vibration qui à chaque minute l’emmène plus loin en enfer.

CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENTEdward s'étire, prend une gorgée de whisky, et regarde l'homme qui vient de le rendre heureux. Le beau-père de la femme qu'il veut épouser a dit oui. Maintenant, ils partagent un moment virils entre hommes, tout deux propriétaires de la même personne.
"Augusta... Malgrès le drame de la mort de son père, nous l'avons bien élevé. Elle connaît les règles de la société. Elle a la politesse, le maintien, la grâce, trouve facilement des sujets de conversation, et, la plus grande de ses qualités : elle sait se taire !" Il éclate d'un rire gras.
Edward hausse un sourcil, douteux. Lui a mieux observé sa femme que son beau père. Il voit parfois l'éclat de rebellion dans ses yeux, son ennuis face aux tâches domestiques, son amour pour le luxe et l'argent qui semble très peu chrétien (mais ça tombe bien, lui aussi il aime ça).
Il a remarqué qu'elle s'énervait rapidement et donnait ses ordres d'une voix sèches, et qu'elle n'était satisfaite que par une obéissance immédiate. Parfois, il la trouve pleine de mélancolie, fixant le vide sans rien dire, déprimée. Non, vraiment, elle n'est pas une femme qui sait se taire. Lui non plus.
Mais bon. Aux yeux de la société, ils respecteront les règles.

CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES
Elle tremble un peu alors qu’elle se déshabille.
Edward est rentré un peu ivre, ce soir, et c’est ce qu’il lui a murmuré à l’oreille.
« Déshabille toi. Je veux te voir. »
Et maintenant, assis sur son siège, il la dévore des yeux.
Dévore sa chevelure rousse en cascade, ses longs cheveux couleur de feu qu’elle refuse d’attacher, qui fait rayonner son visage.
Dévore ses yeux bleus qui tirent sur le vert, sa peau pâle parsemée de quelques tâches de rousseurs, son visage de poupée de porcelaine, fragile et puissant à la fois.
Dévore ses petits seins, qui donnent une prise parfaite à sa main, ni trop petits, ni trop gros, la taille parfaite.
Dévore ses jambes immense, égare ses yeux sur sa toison rousse.
Un corps parfait. Pas de cicatrice, pas de marques de naissance, rien mais la pure beauté.
Edward se lève de son siège, et murmure à son oreille. « Je vais te dévorer, ma belle. »

Dans la vraie vie, je suis...
Quel est ton pseudo ? Palo. Un mec ou une fille ? Fille. Quel est ton âge ? 21 ans. Comment as-tu connu le forum ? Par Liesl Un avis dessus : Ma foi, ça m'a l'air sympathique !. As-tu un DC ? Non. Code de validation : [Validé par Amy.]

Code:: <t>Rose Leslie</t> → <y>Augusta Baldwin</y>

Bienvenue et bon courage pour ta fiche !! coeur

Bienvenue ! Et bon courage pour ta fiche ! N'hésite pas si tu as des questions ! :heart:

Bienvenue ! coeur

Je vois que Liesl a ramené du joli monde.

Je sens le scandale publique arriver avec Augusta. huhu

Bon courage pour ta fiche ! N'hésite pas à venir nous trouver si tu as des questions ! coeur

ROSE LESLIE bave

Je l'ai jamais vu sur un RPG encore et OMG que sa bouille fait du bien à voir love

Bienvenue parmi nous, j'aime déjà beaucoup ton personnage et j'ai hâte de le connaitre davantage.
En tous cas hâte de te lire et de te croiser en jeu luv

Awwn Rose Leslie... *fond d'amour dans son coin* gnon

Bienvenue à toi ! Quel plaisir ça va être de suivre le lien entre Augusta et Liesl, on va se régaler

Bon courage pour la fin de ta fiche suck

Bienvenue à toi sur TAAVT, bon courage pour ta fiche que j'ai hâte de découvrir.
Bon jeu parmi nous guedin

J'aime beaucoup Rose, je dois dire, très bon choix.

hmmmm.... une demoiselle cédant aux plaisirs saphiques!

Femme d'avocat spécialisé en finances? Faudra se croiser en jeu ♥

T'es bonne.

Bienvenue à vous, Madame. dance

J'espère que vous arriverez à survivre à la bande de fous que nous sommes... huhu

Une femme mariée comme il faut. [Augusta Baldwin]

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