Âge : 30 Emploi : Fille de joie Avatar : Eleanor Tomlinson Messages : 512Date d'inscription : 15/02/2017
Sujet: Lucy Elizabeth Wood Mer 15 Fév - 16:00
Lucy Elizabeth WOOD
« Le bonheur est un mythe inventé par le diable pour nous désespérer »
FT. AVATAR
CARTE D'IDENTITÉ
Nom : Wood Prénom(s) : Lucy Elizabeth Âge : 24 ans Groupe : Les démunis
Nationalité : Anglaise Lieu de naissance : Campagne londonienne Date de naissance : 20 mars 1866 Situation Civile : Célibataire Religion : Anglicane Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle Profession : Fille de joie Quartier Résidentiel : Whitechapel Activités Illicites : Prostitution
Jolie petite histoire...
Campagne du Grand Londres, 1881
Obscurité totale. Lucy a pourtant bien essayé, des heures durant, allongée sur sa paillasse, délaissée par Morphée même, de se souvenir de son père. Rien. Le néant sépulcral de la maladie avait effacé la figure paternelle de sa mémoire. Mort dès sa plus tendre enfance, pas le moindre vestige de son existence ne lui revenait en tête. Ce vide cruel, abyssal semblait un trou béant au fond de sa poitrine. L’absence de ce père paraissait incurable, tant la souffrance était vive. Le manque d’idéal masculin dans son existence renforçait la douleur de cette perte. Car l’homme qui tenait ce rôle auprès d’elle ne le jouait qu’avec une violence primaire, une vulgarité sans nom et une luxure infâmante.
Les coups pleuvaient souvent sur Lucy, devant une mère soumise, spectatrice inerte des mauvais traitements infligés à sa fille unique. Dévouée corps et âme à son ivrogne de second époux, sa docilité maritale devenait insoutenable, presque indécente, au fil des insultes, des hématomes et des gifles. Un jour que Lucy était un peu trop lente à le servir en eau-de-vie dont il s’était déjà imbibé plus que de raison, il lui décocha un soufflet qu’il l’envoya à plat ventre sur le sol. Puis, ivre d’une rage irrationnelle, saisissant le tisonnier à portée de main, il en battit le dos de l’adolescente, dont les cris ne firent pas même hausser les sourcils de sa mère, qui paraissait soudain vivement préoccupée par la cuisson du ragoût. Percluse d’atroces douleurs, vouée à l’immobilité totale durant plusieurs jours, son ivrogne de beau-père pestait et enrageait, se retrouvant soudain dépourvu d’une main d’œuvre précieuse.
Du haut de ses quinze ans, Lucy n’ignorait pas le stupre dans lequel il se vautrait lors de ses longues heures passées à la taverne. Car loin de s’en cacher, c’est triomphant qu’il contait ses exploits devant sa femme et sa belle-fille, émaillant ses narrations de ses bien tristes exploits avec force de détails ou prédominait la lubricité sordide de ses nuits agitées. Le silence servile de la mère de Lucy à l’infâme comportement de son mari ne lui sera pourtant pas venu en aide. Les sévices physiques avaient déjà empêché deux grossesses d’être menées à terme. La troisième coûta la vie de cette pauvre femme sans cesse outragée, qui mourut épuisée d’une septicémie suite à cette énième fausse couche.
La rancœur ombragea d’un voile crépusculaire le deuil de Lucy. Sa mère l’abandonnait, seule, aux mains de leur bourreau. De l’inconscient de l’adolescente naquit une haine injuste envers sa mère, comme pour alléger, de par la violence gratuite de ce sentiment, le fardeau écrasant du deuil qui la frappait. L’impulsive rage qui soufflait en son âme l’aidait à survivre au chagrin de sa nouvelle condition d’orpheline. Aux coups, au manque de nourriture et aux conditions de vie insalubre s’ajoutait la charge de travail que sa mère endossait.
Lucy supporta quelques temps cette vie misérable, mais somme toute commune à tant de jeunes filles de cette époque dans une Angleterre exsangue par les épidémies et dans laquelle la pauvreté s’accroissait à une vitesse vertigineuse. Pessimiste et résignée, elle semblait accepter son triste sort jusqu’à une nuit fatidique. Lucy avait seize ans lorsque son beau-père, alcoolique, brutal et vulgaire, devint incestueux. Alors, à l’aube grelottante, sans se retourner et sans le moindre frémissement d’hésitation, Lucy partit.
Londres, 1890
Londres. La sublime, la majestueuse Londres ne lui avait rien apporté d’autre qu’une déchéance complète, avilissante et lugubre. Belle et grandiose certes, mais dont les portes restent cruellement fermées aux nantis, aux anonymes et aux paysans, Lucy, sans l’appui de quiconque, n’est jamais parvenue à trouver un travail décent.
Alors, lasse de mendier un travail qu’il n’y’avait pas, un morceau de pain ou un bout de paillasse, Lucy accepta de suivre ce grand homme, au regard dissimulé sous un haut de forme sombre, rencontré au détour d’une ruelle, qui lui promit quelques shillings en échange de ses services. La répulsion et l’horreur d’actes charnels monnayés furent vite étouffées par l’urgente satisfaction des besoins primaires. Car la demande était là, et la besogne, si iingrate fusse-t-elle, payait bien. A présent fille de joie, Lucy louait une chambre miteuse et exigüe dans une ruelle malfamée des bas-fonds londoniens. Alors elle relativisait. Elle était salie, mais elle avait chaud. Elle dormait sur un lit, mangeait du pain et de la soupe en quantité suffisante, et pouvait même parfois s’offrir, dans les périodes prospères, un peu de vin ou une noix de beurre.
Lucy n’avait de toutes façons pas le loisir de se lamenter ; ce labeur usant, éreintant et humiliant l’épuisait et, à l’aube naissante, elle tombait plus que ne s’endormait sur son matelas crasseux, vidée de ses forces par ce travail infâmant qu’abritait avec secret le ciel vespéral de Londres. Quant à la nourriture, si elle parvenait à satisfaire son maigre appétit, elle manquait cruellement de variété. De fait, Lucy restait maigre, pâle, chétive, manquant de force. Mais elle mangeait globalement à sa faim, et c’était bien plus que beaucoup de pauvres hères sillonnant les quartiers défavorisés de la capitale.
Aucune lueur d’espoir ne venait illuminer son quotidien. Cette vie, ou plutôt cette survie, ne laissait entrevoir aucune échappatoire. Elle ne connaissait aucun métier, ne savait pas lire et était complètement inculte. Inculte mais pas idiote, elle ne se méprenait pas à rêver à un amoureux chevaleresque, qui l’arracherait à l’enfer de son existence pour l’épouser. Les épouses devaient être femmes de vertu. Les prostituées étaient perdues, parvenues. Elles avaient à jamais perdu leur valeur dans la société victorienne prônant la pureté et la vertu féminine, et aucun homme ne prendrait le risque de se fourvoyer en convolant avec une ancienne fille de joie.
Alors Lucy endurait, encore, toujours, cette vie exécrable, vivant au jour le jour, profitant de son pain tant qu’elle pouvait se le procurer. Car à l’ignominie de cette profession s’était ajoutée, depuis plusieurs mois, une peur terrible, atroce, de celle qui ronge les entrailles avec avidité. Un tueur introuvable sévissait dans les bas-fonds londoniens. Sa cible préférée ? Les prostituées. Les crimes, à ce qu’en disaient les ragots, étaient absolument épouvantables. La gorge tranchée, les mutilations génitales et les éventrations étaient la signature de ce meurtrier sans visage ni nom, qui narguait avec une insolence déconcertante et orgueilleuse les meilleurs agents de police de Londres.
Pourquoi les prostituées ? Pourquoi une telle barbarie ciblée vers un groupe de pauvres femmes esseulées, sans le sou et inoffensives ? La psychologie de cet homme déconcertait les esprits les plus brillants de la capitale, et personne n’avait le moindre début de piste et l’on ne pouvait qu’attendre, frémissant d’horreur et de désespoir, la découverte de sa prochaine victime, atrocement mutilée et laissée à l’abandon, ses organes souillant plus encore le sol des ruelles crasses dans lesquelles l’assassin sévissait.
Lucy n’avait d’autre choix que de poursuivre son métier infâmant malgré tout, la peur lui dévorant les tripes à chaque client, se demandant si sous le grand manteau de ces hommes ne se cachait pas l’ignominieux instrument criminel sous lequel étaient tombées tant de ses congénères, cherchant à trouver en leurs yeux une lueur sadique, dissimulée sous la concupiscence et l’envie. La moindre passe manquait de la faire défaillir de terreur et, continuellement au bord de l’évanouissement, c’est chancelante qu’elle rentrait en son taudis après sa nuit de travail, surprise, soulagée, mais fatiguée d’être toujours en vie, car demain, le supplice recommencerait, tel un étau, perpétuel, cyclique, et sans aucune lueur salvatrice à l’horizon.
CARACTÈRE ET TEMPÉRAMENT
Le besoin de solitude de Lucy frise la misanthropie. Trait de caractère somme toute étrange chez une femme si jeune, mais qui s’explique aisément de par la médiocrité des rares rapports humains, antérieurs ou présents, qui ont parsemé sa vie. Taciturne, Lucy, dès sa plus tendre enfance, ne fut jamais bavarde, à tel point que sa discrétion pouvait, à s’y méprendre, ressembler à du mutisme. Une pudeur exacerbée rend impossible l’épanchement de la moindre émotion. Aussi personne ne peut se targuer d’avoir un jour vu une larme rouler sur sa joue, une plainte concernant son chagrin, sa peur ou sa colère ou même déceler le moindre changement d’humeur sur son visage. Stoïcisme qui sied bien à son métier ; les clients apprécient cette humeur égale, cette absence de sensiblerie expressive qu’ils croient propre à la gent féminine et sont certains de ne pas subir les lamentations d’une femme outragée par cette affligeante vie de débauche. Sensible à l’excès malgré tout, Lucy, pessimiste, résignée, ne voit simplement pas l’intérêt d’étaler des sentiments personnels qui ne regardent qu’elle et dont personne ne peut rien. Personne ne peut lui faire cesser d’abhorrer son existence minable, de même que personne ne peut lutter contre la peur rationnelle de se retrouver égorgée dans les rues de Londres. Alors refouler ses humeurs, revient, pour Lucy, à conserver le peu de dignité et de décence qu’il lui reste. Anglicane par ignorance, parce que l’étaient ses parents, la religion ne tient qu’une place infime dans sa vie. Elle y croit parce que, dès sa plus tendre enfance, on lui a dit que c’était ainsi, mais jamais dans sa terne existence elle n’avait pu ressentir la moindre présence du divin. L’esprit vif et éveillé, malgré son ignorance totale, elle avait l’intelligence du cœur de ceux qui savent se taire et écouter les autres, ressentant leurs désirs et leurs besoins. Cette qualité comblait son absence totale de culture, qui n’aurait été de toutes les façons qu’un ornement superflu dans l’exercice de son métier. Presque sauvage, Lucy, si elle n’est certes pas la meilleure compagnie qui soit, était, de par son empathie, quelqu’un de profondément bon. Elle n’aime pas être entourée, mais on ne l’a jamais vue causer le moindre tort à personne. Quant à l’envie, elle en est totalement dénuée. Les femmes riches, belles, heureuses et aimées, le sont car c’était certainement leur destin. Le sien était d’être une prostituée esseulée, proie apeurée des criminels londoniens, survivant dans la crasse de Whitechapel et luttant pour son pain. Il y’a forcément une raison, et puis c’est ainsi.
CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES
Lucy est jolie. Ne nous méprenons pas, elle ne représente pas vraiment l’idéal masculin de la femme fatale. Elle est petite et frêle, presque maigre, quand la mode est aux poitrines agressives et aux hanches larges. Mais son visage mutin est charmant, presque attendrissant, comme celui d’une enfant. Il est rehaussé de jolis yeux d’azur pâle. Les petites pommettes saillantes rosissent vite au contact du froid. De très légères tâches de rousseur les parsèment. Une cascade de boucles fauves, indisciplinées, tombent sur ses épaules. Cette coiffure débraillée ajoute à l’aspect candide de ses traits juvéniles. La peau, très blanche, pareille à l’albâtre, a tendance à pâlir plus encore sous la fatigue et la faim, lui conférant parfois un air fragile, presque malade, qu’agrémentent parfois de profondes cernes bleuâtres. Elle a des mains exceptionnellement belles pour une fille de sa condition, ayant exercé de longues années les travaux ménagers. Elles sont longues et blanches, et les doigts sont fins. De son corps se dégage une grâce de mouvements plutôt inattendue chez une paysanne. Ce physique, loin de la perfection certes, attire tout de même le regard des hommes et Lucy ne manque pas de clients. Elle porte sur elle une aura de fragilité qui éveille les primaires instincts masculins, de désirs mêlés de protection. De par ce physique grâcile, leur orgueil de dominant se trouve flatté, comme si la vulnérabilité de Lucy leur conférait plus de pouvoir sur elle. Un atout donc ; car ces hommes, qui nieront avec force l’ineffable vérité que le sexe opposé les impressionnent, se sentent rassurés dans leur virilité par ce petit bout de femme qu’ils possèdent pour un temps et pour quelques pièces durement gagnées. Alors Lucy, lucide et perspicace, entretient cette image de jeune ingénue qui transparait malgré elle et que ses clients, embrumés par leur misogyne vanité, apprécient tant.
Dans la vraie vie, je suis...
Quel est ton pseudo ? J'en ai pas, on va dire Elodie Un mec ou une fille ? Une fille Quel est ton âge ? 26 ans Comment as-tu connu le forum ? Topsite Un avis dessus : Très joli As-tu un DC ? Non Code de validation : [Validée par la Hobbit]
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<t>Eleanor Tomlinson</t> → <y>Lucy E. Wood</y>
plumyts 2016
Felix J. Adler
Admin
Âge : 38 Emploi : Horloger Royal. Informations : Souffre d'un autisme d'Asperger • Dyslexique • Est obsédé par son métier • Rêve de travailler sur l'horloge de Big Ben. • Insomniaque. • Parle peu • Se sent mal à l'aise dans une foule • A quelques bases d'Allemand et de Français • A le corps glacé et est d'une pâleur à faire peur • Origines Juives • Possède une Pamphobeteus Platyomma mâle pour animal de compagnie • Est le mari d'Amy S. Adler. Avatar : Johnny Depp Quartier Résidentiel : Lambeth. Messages : 3763Date d'inscription : 14/09/2016
Sujet: Re: Lucy Elizabeth Wood Mer 15 Fév - 19:31
Bienvenue parmi nous !
Si tu as des questions, n'hésite pas à venir nous trouver et bon courage pour ta fiche !
Amy est très douée dans son domaine, la couture. ⊹ Ressentais une profonde frustration envers son mari durant les cinq précédentes années, ce qui l'incitait à accepter plus facilement les avances d'autrui. ⊹ A des tendances névrosées et borderline. ⊹ Ne supporte pas/ou difficilement les enfants en bas âge. ⊹ Apprécie la compagnie de l'alcool et du tabac bon marché. ⊹ Est d'une grande immaturité. ⊹ Très facilement morte de jalousie en compagnie d'autres femmes. ⊹ Manque de confiance en elle-même et a souvent besoin qu'on la rassure sur son apparence. ⊹ Passe beaucoup trop de temps devant le miroir à peigner ses très longs cheveux noirs. ⊹ Femme de Felix J. Adler. ⊹ A ouvert récemment un bordel de luxe dans un vieil hôtel rénové de Whitechapel. Avatar : Eva Green Quartier Résidentiel : Londres Messages : 3210Date d'inscription : 17/09/2016
Sujet: Re: Lucy Elizabeth Wood Mer 15 Fév - 21:34
BIENVENUE !
Tout pareil que Felix, n'hésite pas à nous parler si tu as des questions sur quoi que ce soit, même le temps qu'il fait, je suis certaine que nous pourrons te renseigner.
Lucy E. Wood
Âge : 30 Emploi : Fille de joie Avatar : Eleanor Tomlinson Messages : 512Date d'inscription : 15/02/2017
Sujet: Re: Lucy Elizabeth Wood Jeu 16 Fév - 8:46
Merci pour l'accueil, je n'hésiterais pas
W. Bartholomew Collins
Âge : 38 Emploi : Héritié du compte de York. Fabricant de jouets et autre objet en bois. Informations : Fils du comptes de York ☞ Il à perdue sa mère alors qu'il avait 7 ans ☞ Sa sœur ainée est morte l'an passé, en mer ☞ A une jeune sœur qu'il n'arrive pas à aimé et tiens pour responsable de la mort de sa mère ☞ Fiancé de force à une bourgeoise Londonienne (Maddie), qu'il va épouser en octobre 1891 ☞ Froid, hautain, rustre d'apparence, c'est en réalité un homme au cœur d'enfant et à l'âme déchiré ☞ Il fabrique des jouets et divers autres objets, en bois principalement, pour le plaisir. Même s'il en vends parfois ☞ C'est un homme en réalité très simple et qui aime les choses les plus simple de la vie ☞ Le manoir familiale de York lui manque, ses grand champ l'entourant surtout ☞ Vit au jour le jour ☞ Il ignore même son orientation exacte. Si les hommes ou les femmes l'attire. Peut-être les deux en réalité ☞ C'est un noble, mais qui à le coeur sur la main. L'argent n'est qu'un moyen de pouvoir pour la plupart, pour lui c'est juste un moyen d'être généreux ☞ Il aime parfois aller dans les bas quartiers distribuer des jouets, gratuitement ou contre une petite pièce, par principe aux gamins des rues ☞ Avatar : Tom Hiddleston Quartier Résidentiel : Londres Messages : 351Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: Lucy Elizabeth Wood Jeu 16 Fév - 10:18
Oh mais qu'elle est trop mimi, j'adore les rousses en générale en même temps Bienvenue parmi nous et très bon courage pour la suite de ta fiche. Hâte de connaitre davantage ton personnage
Joséphine E. Morel
Âge : 28 Emploi : Officiellement aucun, officieusement romancière. Informations : ◈ Fiche de présentation
◈ Fiche de liens
◈ Mes RPs
✎ Eugène Morel est le pseudonyme utilisé pour signer ses romans.
Joséphine est féministe et fait de ses convictions le sujet principal de ses romans.
Habite la demeure du cousin de son père, M. Devlin Stanton, dans The Strand.
Afin de mousser son inspiration pour ses romans, Joséphine s'habille parfois en homme pour se promener incognito dans les rues de Londres. Avatar : Helena McKelvie Messages : 1620Date d'inscription : 25/11/2016
Sujet: Re: Lucy Elizabeth Wood Jeu 16 Fév - 11:55
Bienvenue!!!
Fergus Lynch
Âge : 36 Emploi : Fondeur Informations : Orphelin déposé au seuil d'une institution quelques semaines après sa naissance ✘ Ignore tout de ses origines, et n'y accorde aucune importance ✘ Fraie dans le monde de la petite délinquence depuis sa plus tendre enfance ✘ Ancien chef d'une bande gosses aventureux, à présent dissolue ✘ Suite à ça, a passé plusieurs mois en maison de correction ✘ La mort d'un de ses meilleurs amis, atteint de syphilis, a suffi à le convaincre de ne pas s'approcher des prostituées, règle qu'il suit toujours ✘ A fondé la Tribu, gang des rues sévissant à Whitechapel, dont il connait les moindres recoins ✘ Participe régulièrement à des combats illégaux organisés dans des bars, desquels il tire un joli pactole, ainsi que quelques petites cicatrices sur tout le corps ✘ Amateur d'armes blanches, il se sépare rarement de son couteau de boucher, tout comme de son vieux chapeau melon ✘ Se moque bien des forces de police, avec lesquelles il n'hésiterait pas à en découdre ✘ Ne voue que mépris à l'aristocratie et aux autres parvenus, mais grâce aux paiements reçus en échange de l'aide de son gang, il recrute de plus en plus d'adeptes, et accroît l'influence de la Tribu : son ambitieux objectif n'est autre que de faire tomber sous sa coupe Whitechapel et Southwark, pour mieux leur donner un second souffle, ainsi qu'une capacité de réponse envers les injustices infligées par les strates plus aisées de la société. Avatar : Michael Fassbender Quartier Résidentiel : Les bas quartiers de Whitechapel, son modeste fief Messages : 365Date d'inscription : 05/10/2016
Sujet: Re: Lucy Elizabeth Wood Jeu 16 Fév - 12:18
Eleanor Quel excellent choix d'avatar !
Bienvenue parmi nous miss, et bonne rédaction ^^
Lucy E. Wood
Âge : 30 Emploi : Fille de joie Avatar : Eleanor Tomlinson Messages : 512Date d'inscription : 15/02/2017
Sujet: Re: Lucy Elizabeth Wood Jeu 16 Fév - 16:04
Merci à tous c'est super gentil !!
Indianna Peters
Âge : 25 Emploi : Servante, fille à tout faire. Informations : Se pense orpheline ➸ Es servante pour Miss Bolton au bordel depuis toujours ➸ Est en réalité la fille illégitime de M. Harrington. Mais ignore tout, évidement ➸ Est sous la protection de Miss Bolton pour une obscure raison, mais la considère comme une mère. Même si cette amour n'est pas réellement réciproque ➸ Travail très dure chaque jour, mais ne s'en plein jamais ➸ Ne sais pas lire mais tente d'apprendre seule ➸ Parle assez peu, mais écoute beaucoup ➸ Peu avoir un tempérament de feu. Pourtant la plupart du temps elle sera douce, agréable et serviable ➸ Malgré son corps de femme c'est une enfant qui à grandi trop vite ➸ Son plus grand plaisir, courrir dans les champs sous la pluie. Ce sentir libre et sans attache ➸ Est "amoureuse" d'un homme qu'elle ne connais pas an réalité ➸ Dessine parfois le soir à la lumière d'une bougie, quand Morphée lui refuse ses bras. Avatar : Sophie Turner Quartier Résidentiel : Londres Messages : 482Date d'inscription : 29/09/2016
Sujet: Re: Lucy Elizabeth Wood Ven 17 Fév - 17:00
Une copine ROUSSE Bienvenue parmi nous, bon jeu sur TAAVT
Amy est très douée dans son domaine, la couture. ⊹ Ressentais une profonde frustration envers son mari durant les cinq précédentes années, ce qui l'incitait à accepter plus facilement les avances d'autrui. ⊹ A des tendances névrosées et borderline. ⊹ Ne supporte pas/ou difficilement les enfants en bas âge. ⊹ Apprécie la compagnie de l'alcool et du tabac bon marché. ⊹ Est d'une grande immaturité. ⊹ Très facilement morte de jalousie en compagnie d'autres femmes. ⊹ Manque de confiance en elle-même et a souvent besoin qu'on la rassure sur son apparence. ⊹ Passe beaucoup trop de temps devant le miroir à peigner ses très longs cheveux noirs. ⊹ Femme de Felix J. Adler. ⊹ A ouvert récemment un bordel de luxe dans un vieil hôtel rénové de Whitechapel. Avatar : Eva Green Quartier Résidentiel : Londres Messages : 3210Date d'inscription : 17/09/2016
Sujet: Re: Lucy Elizabeth Wood Ven 17 Fév - 18:18
VIVE LES ROUSSES. Et félicitation pour ta fiche réussie !
Félicitations, camarade !
« TE VOILA PRÊT À METTRE TA PATTE DANS LA FOURMILIÈRE ! »
Félicitations ! Vous venez d'être validé(e) sur The Anthill: A Victorian Tale ! Nous vous souhaitons un bon jeu parmi nous et nous vous conseillons d'aller consulter les liens ci-dessous. Vous pouvez désormais RP, flooder et faire de nombreuses autres choses. N'hésitez pas à faire votre fiche de liens, celle des RP's ainsi que celle du Journal Intime ! Gardez aussi un œil sur les annonces! Bienvenue parmi nous ! N'oubliez pas que vous avez à disposition un cadre de rp dans la Gestion ! Pour toutes questions, il y a la foire aux questions et suggestions ici !
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